Dans un dessin fait par le§maùiraliste|. de*a dernière expédition
’hisse, le fond de la codeur paraît d’un beau bleu clair, et les bandes
d’un bleu noirâtre.- ,
Notre individu est long de sept pouqgs.”Sa vessie natatoire est
plu&grande que dans le pilote d’Europe, et occupe le tiers de ta longueur
de l’abdomen.. Nous n’avons pu examiner suffisamment ses
autres viscères.-
Cest, je. crois, cçjtte espèce en particulier, qui a'"été
représenté^ par Corneille Lebrun ; il lui marque ipême
jusquà six ou sept épfoééfr^ p&ndividu avait été pris en
Décembre 1.705 près de la cpte de Malabar ,^|t il y en avait
de semblables depuis sept poüces jusqu’à un piéd de longueur.
Gest probablement aussi celle que donné Stadtis-Müller
dans sajc^ductioniàllemandé^^e lÉîrfnæds ( t/lY , pl. 7^
fis. 2) ,i’etrpù Ton ^m a rq u é sept-éplieà.
L e P ilote de Kcelreüter.*
(Naucrates Koelreuteri, nob. y Sç&mber Kcelreuteri, Bl. k|élm.,
p . ,
K&keuter, dans le neuvième volume des Novi eom-
mentarii dé ^tersbour"gf(p. 4 6 4 ? e t pl. i®, fig. 3 et 4 Î |
décrit un poisson qui pffre
les noftffiVes de rayon» et toutes les formes dlgs pilote^, ~maïsi*qui
paraissait dans .ta liq&eur entièrement roussâtra en .dessus, et%r-
genté en dessous et sur les,.côtés.; ( '
! # . 4 — 2 9 ; A. 2— 195tf. 30; È 17; * . 5.
^Cet individu, long de pinq poupes, n’était peut-être
quun ^ ifô te prainaire^dqpt l^xouleiirs avaient 'été altérées
par-fsbn séjêur dans fpsprit de vin.
• .'L’auteur ne noifb dit point de quels parages il était originaire*.
1 ' - &
?ê?"ésVsup cette indication que Schneider, dans le Sÿs-
A^e^ô'sttiuriië â^Blochyp:57o), a étabK .son e^rèis du
scotftber Koelréüteri.
5<*»EB ÉLACA!|8g|K
Les .mers de la zone,.-.,torri'&èl^ont, ’dès pensons assez
senrêlâbles aux pi|®'t-ëS>par: leurs épines Jrbr'ÿ du dos.-et
par d’autres détalfs; èiaiS qui manquent entièrement de
câièiîé^ à là^ <^ulëiS.G'*et d epine’s kiS?— devant de l’anale, et
dont la fw lffëst aplatie h o rizo n ta lem en t,^ lieu drêtre
lilmpriméo latéralement. J emprunte, pour en designer le
g p p ^ iiem (>n'i kélacate ou élg.catene, qui che^les Grecs
était celui dù^poisson de la famille des thonif, ou dune
des préparations que Ton, en faisait-1
L/*Ém g ATE DE PoNBWfiÉnT. •
' ^ Èlacate pondi&eriana, no'J).) ^
Rmssel a r ep résen té-u n d ^ î t e p o i s s o n s (pl. i&BfSOus
- l ëm tM à e p e d d a -m o tta h j qu’il porte k î^ a g a p a t am ; 4 e t
M! Èëlplfe^iuTt n é^ a * ? é% V ô ^ sin on la m êm e espèce^, Mu
n|$lkêmtê^espècé: ëx<e^^eiÙBtnst;'voisiné, q ue Ion»nomme
à P on d ich é ry k a té -v é rà . ' -
, La fpm®. dedee .ppissqn de^Pdidlchéry est alongée et presque
Ix^ÿhndriqpe* gjfhauieur e% d » .;^ ;,e tsd em ie% ^ s^ (|ëB^®epr,
et soja épâÿ^ ^ ^ ^resque. égale à' sà,^hauteur.-Saf tête^fait le cin-
jt-, * «uième dé 'sâ„r^pa||iJ' j elle ,ést deha^fôis plu^longue que haüïe,
1. Gfeiucr, A<[uat. ,;p.$5g.
8. 3i