qu’elles étaient prises- à l?hameéon, elles déchiraient la
ligne avecdes/d'ents.1 !
Aristôte, qui plus est;*-a très-bien connu la forme et la
longueur.dé -leur vésiclileî^iu fiels « Lavésjipuie du fiel de
« X amia Lg&rsont ses termes) est couchée le long de l’in-
: tes tin : elle en-égale la longueur; souvent même elle fait
«.un retour.
Ces amia étaient fort estimée&^lhfci 'surtout' celles dé
Byzance et de l’Hèllespont; car déjà dans l’Archipel on
në les trouvait plu& adssi bonnes-.® /
Nous, s,omn|és Certains que la pélamicle ne se-renferme
point dans l’enceinte de là Méditerranée ^caf nous en avons
des individus apportée par M. Delalande des îles du ëap
Vert et de là côté du Brésil/ qui ne diffèrent en rien dé
ceux d’Europe. M. Mitchill la décrit parmi ses poissons €e
New-Ydrl4, et sâ description est tellement cbnforme aux
poissons queh’Ôu^avbns sous léà ^éîix, qu’il n^ÿ â guère à
douter de l’identité d’espèces. -•
La mèilleur-è figure/de la pélamide, pour l’ensemble et
pour les raiës, est celle de Salvien (fSl. 123) : il y’manque
dépendant lé'jêbrselet et les carène^ pde la quedes Jpn en
voit une cdpie dans Willughby (pÊM, 1 ). Celle d’Aldro-
vande (p. 3 r3 ), quoique moins exacte ë t’fort grossière,
donne'cependant l’idée du poisson. Il y a trop de raies,
pas-'assez de fautes nageoire's et point de carènes à la
qtieub. Dans la première figure de Rondelet, son amia
(p. 238), les,raies né sont pas assez obliques; la première
dorsale n’a , pas assez de rayons ; la queue n’a pbint de 1
1. Oppien', t. m , n?.x^6^. et Athénée, 1. VII, p. 2*77, 2. Hist. anim., 1. H ,
c, i5. — 3. ÀxchesIlSmkta/ àp. Afhen^lbïYÜ, p. a ÿ S . 4. Mém. d e l’Âcad, de
Neyv-Yor-k*, 1.1, p. 4ro.