Le T rac h in ote% a quatre point§. •/,
(Trachinotmlquadripiw&atusj^hiyi^siomQrmï,
quadrinunctatus, Rupp., pl. 24^ fig- $
Le ccesiâmorus quadripunctatus de M. Ruppél doit encore
tüès-peir différer des deux précédçpi^ y
Les pointes de ses nageoires sont.cependant plus longues. :Cellë dé
JÊk, dorsale atteint la fin de cette nageoire; celle;deTanale la.dépasse.
jLes lobes de la caudale: sont trois.fois dans 1% longueur totale,, et la
' hauteur du cpim ^ •eM^oja ifoisset • demie. Qa ne,Mt_ qjie4eux
points noirâtres sur la ligne latéral^ Ses- pectorales et ses centrales
sont jaunâtres ; ses autres nageoires brunâtres, avec* du'noirâtre aux
pointés. D_ '6 J_iy2S ; P l p l p | *5 21? P. 44-j Y7 1/5»' ‘ •'
L’auteur n’en .a eu qu’un individu, jEpug- d’un pied, pris
à la s»ite .Æpp^violent Teutjidp. gud,'^ ^
, M. ï)ussumier.viei}t de nous rapporter des ‘Séèhelles un
poisson que nous «rayons absolument le meme que celui
de M. Rappel,
et qui a exactement 'les’miêines proportions étalés inême'ÿ timbres
de rayons, mais où les petites^clreï^flë la» ligne latérale varient en
nombre,.depuis trois jusqji’a cinq. Il est argentg^et,a le ddi teint
de gris. Les nageoires vertmâlés’ sônt d’iin gris plus fohCé que le dos.'
. §a taille va jusqu’à un pied ou treizg pouçes. j k
On nomme cette-espèce aux SéchehesTe muscadin$ elle
y ést fort estimée èt assez abondante pendant toute Tannée.
' L e T rachinote de Ru§sel.
ÇTrachinotus Hussein, nob.T
Lé botla-parah ddRussel ( pl. li J4à) ressemble beaûéoup
au poisson de Béton que mous avons décrit à l’article du
trachinote Bâillon>
et par laffonne du museau, et par la grandeur des écailles, et par
sa ligne latérale, sans ondülatiôn^; mais les pointes de sa deuxième
dossienet de son ,anale<sQnt un peu plus longues, et il a quatre
grandes tacK.ë$, touteà. placées Au-dessus de la ligne latérale.
Ses nombres.spnt.m^rgués comme il suit.;,
B.'8 ; - 1 /2 2 5 A. -2 — 1 ; C. '2 4 r P. 18'; Y. 5.
Sa cçuleur/esf aïgentéè sur le’c o ||^ e t plombée survie dos, avecl
une teinte Jaunâtre. Les bords po sté rieu re s pointes sont noirâjges.
L’indïvidu^lcif pa^M. Russéf élait long d’un pied sept pouée?.
' ’M^S^feeiatfkous^^apporté de Pondicbéry> un trachinote,
que npus 'croyohs dh la même espèce que ce botla-
p d rà k .j,.
et q u i l l e ►même se|:'bçhes au^desms dejhhgne latérale, mais au
troiy seulement. Cette différence est peu importante,
qg; ^__'1J23 ;*A. ® ô u ào> P.
^ I fo u s e n ^ S sH n 'iridivîdu'cle sept Jfôucés et un de quinze.
^ ' Lé-T R A c HI L QN • .1!
( Trachino iuS-o bVongusT noïfc)
’ Le. pTnc - traChmQ y ,*de la.,nier des Indes?
et .qui, sans la ^JTtée^pbtusé^t .arrondie de^ son museau?
pourrait être pris pour une licite 'p ti (‘été* énvQyé-{de Java
par "MM. Kuhl et W n Hasselt ^ t 'M e Pondichéry p a r
M. Düssumier.
Sa longueur comprend saj hauteur- au mjheu prçs éettrgisffoid
et JdV^ie. Sa‘tMe.v | | cinÇtLjllLe,é dentsJgit'en fm velours sur
une kahde etrotte. ïe s ^'dînte^ de sa, dorsale et de son,, anale n’at-
teignent," énse'eouchakt, 'qifa'ü milieu de^cés.mkgèôires. Les lobes
' de la Gaudale^ont/quàtre-mi^eldemie dansdal'pngüeur totale.
D. 6 -iafM; A. 2 —l/aO^ etA-1 -
8. P