«ouvre eu dessous ,4 esfj fort épais. Il-faut y faire attention, sans quoi
l’on po.urratt croire aisément que le, pqisson n»lique de V.essie aérienne.
L’eftopoac, était rempli de débris’ (je vpra d ’eau- douce&Spn.
squelette a trente-dbix vertèbres ^abdominales et quarante caudales.
l]jà premières ont des apppliyses latérales, qui descendent ÔS&-
qulment et portent des côtes grêles quf n’envelbppent pas tout
l’abdomen. Les deux dernières de «es apophyses se. portent un peu
en arrière et sè joignent par l’extrémité à l’apophyse epfneusê.d^fé-
rieure deülîjftpremière caudale. Le premier interépineux de! l’anale
est ftrès-fort. Tous les autres, ainsi que-les apophyses épineuses
supérieures et irifésieurês1, sont grêles* * Les os* de l’épaule ne sont
point attachés- à -là tête.' Dans le squelette, ils ne tiennent que par
' l’extrémité inférieure de fhuméral aM feorpsdmpair de-l’osf‘-iiÿè'jLde.
M. Leschenault nous apprend que ce, pOisson.se nomme
aral à Pondichéry;- ©est, le nom spus lequel John a'en-
vhÿé à Bloeb pàe Tranquebàr“iéS mdmdstts dont il a formé,
sa seconde espèce *', qu’il veüt distinguer de la prenrièré ou
de Xorientalis parles dix-neuf épines libres ;de sa d o ta le
et les trois de sdn apalea : mais ces nombres é^iffàüspoenx
des indiy^âuii.bien^ouservés du rjiynchob délia orieritgîijis.
Il n^ nous paraît dpnc pas que Taraldoive en être réparé
spe1îif§|uement, ??
Selon M. L e s ch e n au lt, Tarai h^bïte les rivières etoles
étangs d’ôau «douce des environs de Pondichéry ,, et l’o®
en prend, dafis toutes les saisons. Il est d’un excellent gt>ût.
Sa taille ne passe guère un pied. 1
^ Gronoviu^àvàit^Feçu son individu de Ceilan, duTes-
rièce porté le nom de thelia.
1. Rhynchobdella aral, El. $chn., p. et pl. 89.
* S- Lorsqu’i l ’dit :-JAculeus f&mMs eï tertius pinnoe dorsalis'partiy secundus magnus,
C'est évidemment pinnoe analis qu’il faut mettre. 11