Fæutre., lejmaquéreMi. commun et1 le^^ufireaiafâsHSreââe'
natatoire ^ajd&üe quef^ctlèP^S 'L
. P.^t rlfnnfi .teifite pH&*<à^déiïi&it verte' et ærjii' ne tire point stir le
bleu} qdë-seS »bandes transvetàaM^Vprésefit’ent de^cHaquë eSîê une
d#ub‘ledcéuîbùrevét;som’ proportionnellfemeni! plusféAÉoités,;' nfifis
- cttbei-dernière ckeopstance nous à peu frappés, et'nOîüSjtd^atQns
H qu’elle soit constante. Nos Individus o ^ l^ n r^ ||)a n d e.% émpè$v&on
^.briséÆomma^dansflenmaqpereau commun, mais un peu-plustffieiK
^ rées .et pltîs nombreuses.
^ La plupart que nous avons, sous. le^Yeux n’opiqqg fimt
■^p. dix p^^^^CT^®)|qe.jne passe g u è re ^ tt^ ^m mslon. f *
Ce ma1qù.ereàu pn|umaÈoplior^fe- M. dé J^ r^Æ'e adW j^ielpétit,
réduit presque à un seul lol>é*triangulaWe,^TOéJdansTli^"gprf)ndre
gju^kei^GeTsophage est long etdâ^efj'lje oardi ai-|s^oVtement marqué,
par, un, étP^giement .iqpîi' sépare j oespplïag^iflje^^pmac. Ge
de^ e r x dscère esyxès-^rand,*eii côpe ^oûgg ^^ desc^dmjgulap-
près ^ l ’atyts. La .branche, momanjtq:^ L a u p ^ d% 6Mma,; eljgjrt
^ ctturje, m^s ses paxoiss ont trè^^aists^^Lgj,py
à la.CEQ^e.ÆUe fait le. prem^ r r & p ^d e r^tf^^?^,esl- nfflflî
fraude quapUt^ple ceecums^en'membre moindre c^tfanïpffit qu^au
hnaq n e re a^ ê înm u n ; jlsfsQmauSS jfpii^P^uurts,^ ^
Liptestin fait deux replis avant de se .rendre à l’ànys'. -§on diamètre
esjtjà peu prèsÿégaf sursaute;la
La yesgie,natatoirepst jgblpngûe., termippë en une poînt&algue,
quijse pprtç à peiMrau-dgl| Ae la nxqm^e J’ÿ J .omén.^ps,, parois
. j;aout -Tfii n argèjp1^Si1 ' Le péritoine g
Le s q i3 ^ e f ^ s em h le presque de toqt point à^celui du ma^ue-
m ? !m f m iin. S tropye séujemçiît dés <mes *pnjpeu p k ^ ^m e s et
plus larges.^ ;
Selon M. de Laroche, cette, espèce est -commune .subies
côtes, d jU lçs Baléares1; elle vi^par frou^l-près du rivage,
On la "daigne à îviça.sous le nom de càvallê,
J, tnnalftsdü Muséum XIII,
,a ^ jL e MAQUERpAU^ÇpLîASt
| (Mcpmb'çi? colias, Gm.?)
* Outre c^^riRm^er petit maquereau à vessie natatoire, il
jyémaL^ns laM em te gM iS ^ a u tre P^uS §ranC^ neQ
semblera peu t-e tre. a^qn elanes^uns qu’un pgeplus avancé,
et qui partit ôffrir^pepçpdant qq^lques ^caractères assez
m ^ r a n e s . ^
Ils-c®n^istent principalemepti dajî*s.des écailles plus grandes, s # -
,,àioutadans'la„région pectorale,, ofi, ellpfoforment une espèce,de cîÔr-
spFe#,jnai*SAaui tra n s e beaUcoupGioips avéc les écailles du reste
*du c a rp ^ ^ e c e lu i j u ^O tl 'JfoHs lui comptons de*sôixame à
^st^x®té-six' dents tïe*Ma^e'cote “fdx^TêàekôiTés: '<
- La distribution^es' traits nditss^Êir le'Mëu du dos n est pas non
f ''plT^âtrssi seniBl'améta -cëlle du maquèreautcômmun; ils forment dis
- , .;efe#|es labyrinthes*, èhdâfllMemilieu des mailles il y a souvent
de p e% te s& ^ ^® L séj^loiigitudinale qui Répare le bleu de l’ar-
.gçùté ,du vèrftre Csl*beauc6up moins marquée que dans le maque-:
reau ^ t ^ l j ^ ^ a t^r^çet^%^enté de petites tache^^rises, assez nombreuses,
qui* ne paraissent ^ue sous' cèftâi'nS' jours. On volt sur le
museau le’ même Sespace ‘blanchâtré que dadslê premier pneumato-
pH4S?e*|’eC-toiiâresJles p^cés'ôperciil'aire^ sônè à peu près coupées de
même. Lès écailles,' prisés près^le îa. pectorale, sont minces, aussi
largessque longues, arftïnclies’à!leur bord extéltne, tronquées a 1 interne,
»'sans éyeptail ni er.éùelürej à la loupés elles paraissent finement
et un peu, irrégulière.mept. striées en travers.
r Kous ne trouvons ^ s de déférences sensibles entre,ses viscères
dige§Gfs et ^ u x di^pneumajtopiiore. Le loie nous a présenté le
même volume, et est placé du même doté. Le canal intestinal fait
lés mêmes replis ^ t le .pylore a? de mêrqi| quântite d’appendices
èèecal'e^Gn^iis la vessie natatoire, est plus grande, elle occupe
— presque toute la'longueur de l’abdoipen. Assez large et dilatée vers
l’avanjt de^cetté cavité , elle{se! prolonge en arrière ep un capal