4g | MtVKE jÉBl# SG0MBÉÏ&3W'lfe.
deuxième dm? s&l e # S@k ' é d t a®®e r ï i r©l a t é r a l e ne
se porte en Iapénultième*ou 1 antépénultième
épinede la première, tout au plus; jüsqtéà celle- quifes'préeède.
La pointe dont il aeeefmpagrae la ligne latérale »est ’obtuse,*et jp®>ta
que jusque vis-a-vis le milieu de la deuxi’ènie-dorsaibe. Au-Jeasêus
de cfette-ligne il est coupAôbhqüement jusque» entre les bases de l'a
t pectdrafe et- de: la3:temrale. ‘-Enfih , ««rndessous il ' donne une- SÉrge
I : peinte, dans laquelle TOnir implaiftées’lés ventrales, et qui se-terrmne
.vis-à-vis l'extrémité des pectorales. -
r jwià^^dm’èbaqüjë^ëô^un'dàng^i^V’dans lequel se loge,1e bord
süpêrièiir î'd# la pectorale.*
La ligne latérite e%iirégulèèremèïï.t et légèrement Hexueuse;; elle
a'sur -toute s,^bngu“mr%de'S éfc&ill<fe semblables à celles d-u-èovselet,
et sur le^corselet'mêinè elle-se 'marqùê"pàrdfâîpo®es : elle-y lait deux
angleS presqiæ^draiïs ; le premier dirigé'vers le bas* et leSsecond
Toute la partie supériesiÉPédu' corps du thon-est'd’un xïoirdïlehatFe.
.Les parties du-corselet dont les écailles se marquent le plus, tirent
dà:!si81t^p|AM blanchâtre. Les e^es deJa tête soM blan châtres. Tbut
le ventre est grisâtre, semé de'tachës'serrées d’ün hknchâtre’àrginté.
Dans la partie qui est sous les pefctô raies? ces taches s’alongenl et se
rangent en rubans ^^^^:^5értreaûi ; |d-qs lôin elles-sont dvales ou
presque rondes,-et vers la queue elles s’alOngent en rubans longitudinaux.
ni Là; priaéièl#deft-§afe, lesptétffihlêsv les Ventraiès fi siàm-noirâtres.
La caudale'est un peu^lu^pâle. La deuxième^orsalé etd’aMle-tirent
ad couleur 'de' cbaiP^aVetf'-d êhïëflets' argentés Les fausses -pinnules,
tutit-sHpérien rés qufiflfêfleures*. sont d’un jaune^de soufre, et' bordées
dè noir. m*
L’anatomie du thon donne lieu à plusieurS Observations iwéres-
- Santés. ~ '■ 7 *
SoS-feiîcéjlMslè ’réthâpqiâbîè^ar l ’étendue dtt- cèrveletet par la
complication* dtsi ttobëreûlès intérieurs. Les lobes olfàetifs sont petits
sphériques, avec une échanérifirè latérale en dessous. En les ouvrant,
m&ÿsâ II, THONS. m
©ta voit de chaque cn,té, au lieu ..des tubercules si ordinaires dans les
poissons, une massfe divisée,en trois lobes, qui eux-mêmes ont chacun
un. sillon; en sOrte qu’elle représente connue un cylindre ou
tm eoxdon qui auraitsix. replis; douze en tout Le cervelet est plus
grand que le reste de l’encéphale, et, partant du dessus de la moëlle
alongée, il se porte en avant, çanehé sur les lobes creux et les lobes
iOlfactifs j jusque sur l’cxtrémité antérieure de ceux-ei; sa largeur est
un ppii mpiudre que la, moitié de sa longueur, et il est dépassé latéralement
par les lobes creux. A sa base postérieure il a de chaque
5gÔté. une protubérance arrqndie, _ différente des renflemens qui se
voient^ôpune d’ordinaire sur la moelle, alongée en arrière du cervelet.
La,ca$imnasalg est grande et divisée, en deuxdbges, dont l'inférieure
se prolonge en arrière le long du maxillaire sous le snus-
orhinHPft - c’e»i la membrane du «palais qui la sépare de la bouche.
La-doge supérieure est elle-mêmcsubdivisée en plusieurs autres par
des cloisons dtarnues, diversement situées, line cavité antérieure
estr1p]a.pée verbalement sous l’orifice antérieur de la narinet, et c’est
dans celle-là que^ûqttçnt bps pagnes ou lames de ga pituitaire. Ces
lames sont petites et,,peu nombreuses. Derrière çete eaviité en çst
une,autre, plus creuse,iq«i3ç.ejc.pjt jm tubercule charnu, assez gros,
adhérantjà.la geaq, et derrière ce tubercule est une autre cloison
verticale , qui sépare en deux la chambre qui répond à la narine
postérieure.
LQJ^qukm a levé la peau dja tho®, ®» trouve sous là ligne latérale
m grand vaisseau, qui donne dg faee externe, en dessus et en
dessous, beaucoup de bremckes, >dans les muscles voisins. Sa foee
interne est;oviblêe d’un nombre infini p’oeîfioes d’autres branches,
qui,,yqnt se jprdre j|ur une membrane glanduleuse épaisse. C’est à
plus d’un pouce de profondeur, entre les deux faisceaux du muscle
médian, que l’on-déccxuvre enfin le rameau de la huitième paire,
qui, dans un si grand nombre d’autres poissons, se voit superficiellement
bs.fqsCÇîP a^enleyé. la peau. Ce nerf est petit tt donne quelques
rameaux aux oeuseles supérieurs, peu après qu’il a pénétré dans
r.épaisse.urj ,çlu muscle médian du corps.