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Xauxide, étaM'e jeune thoaylors de;Saîpremi^s©r-tie! du
Pont-Em&n'emântomne1 5 laipéletmide, le t h o n i f f e 4g»*
lorsqu’il Tetourne dans l ë vPoîit au printemps- n j||||j *'
r^feës très^g^arils ithdns? portaientde nom da^eT'nnsl^et il
y ,en avait-d’assez;.gigantesques pour qued’on&BÛudeçoeff
li^ ^ g fK .p a rm W s ^ f c ^ a© ^ :^ ^ H P S® W » $ ' ■*'; ' ® '
^@es^grand^oïpc^nnJ>selon Dori©nf*dans Athénég-^pas-
saiént*pour-'venir de l'Qtéan^cWt pourquoi iLy»en; m i t
davEtntagefep-rèS 'des fe # e s^® sp a g n e^ e t 'dans -la merMe
dSo’scanë et l’on rm supposait point qu’il en* -retournât
dansées werMplus^orientales: h | - I •"'■
-Ma,e thon- occupait une telle piété* dans la dièjæ*tàes^au-
ciens^que l ’on. avait^iussê,des‘ noms particuliërsdpoufr.ën
d é sig n e r ie z difféEens-morceausaou les*dif£érentès*p'^f&r-
rationsSquonîlui faisait^sdbèr.' | -*-*• IH’| H ’V'IS' '
Le grand thon coupé en tranches ;m in ç e s^ eh é e s^ e t
semblableaV&àdes* planchettes iè^ eh ên ev^ ap p ë lâ it melondrj
4%(*chêne h o i f t) .^ IPN M r I * h, rt * W m
* Du-thon plus-jeune on^ éd a pél#hide^ca^pee^ft-petits
morëëaux cubiques, s’appelait tyb ium &(q$$tit-cube)pOn
sqi^aitçee t^ è i um avec d'esÆeufs. durs JG©dp©s.3iÿppirne &©■“-
>jt)Urd’hui nous*sërvons les-anchois9ï*Ce notait pas^dailleurs
thfWetâ" dëfgïand^rixv10 jr i jWjf p P 'l jÉ *
4. lîriS&fikùi. w d i . vT, cSS — £-..b* 2 *5 *-
f 3 .,Piine,l.'XXXn. ÔrcynushwhiptUthiâumgenerismaximm,neque redittnmaeotin.
% 4. Æli&r'0 $ £ È 0 $ > . p £ ,M l
Orc’^ u s ^ q u s r e d itJ p ^oe p ^ n ^ r^
iv-%1- Piinêj 1. XXXS&i clhY. Ofbïtiih iia'vàcatur concfsa pelamfs' quæ p'ost nonugmta
die* à'Piffîo iwMàsoiih reçe'riüufs
9.*Maîtial, 1 . Y, lÊHv&is’^cybiüTiï 'latebit âçh. SHw S ^BS iSH ‘ J É L "
$&£ -Tilartija^’l- X I, é§. 2^ ^ rS p ï’ocBrant à som> ami "d’agir- une-maîtresse cpii se
" prisàitfëllê-mèmeUropipéu:,. lui dit : tlfcMuo frustbïrogai ,ÿrbii, tenuemque lacWum.
CHAPi H . THONS» O ?
Les. parties voisines^d© l’épaule formaient le clidium ;
ïauehenia é ^ it la partie de la nuque, et plusieurs croient
que Vhoreùnèy qu’ils écrivent ureum, était la queue. On
estimait surtout la nuque y le ventre et le clidium1. On
préparait à Cadix le£ clidiums des. très-grands thons nom-
va.és*orcynus.,*,&& Hicesius, dans'Athéné,©) préfère ces. morceaux
aux abdomens .pour le.goût.a
Mais toute cette,aïomenclajure n’était pas tellement fixée,
que le sens de* chaque expression ne* variât selon les temps
et lès lieux.
Ainsi dans Strabonl péîam ide.est pris non-seulement
pour un jeune thon, mais p o i^ l’espèendu thon en général.
Dans Pline- c’est le.genre tJu t entier.4
De sajsamentum sardicum, q u i désignait toutes les salaisons
de l’occident de la Méditerranée ,,on avait fait le
nom de sarda, que l’on- se figurait être- cèlui d’une espèce
par-ticulièEe. Sarda (d it P lin e ^ o c a fn r pelamys loÿga, ex
Ornano venions5, et dans Athénée la sarde est comparée
au coli&s pour la grandeur.6
, Oybium, dans. Pline ..et dans Athénée, était le nom des
fragmens de.pélamides*taillé^ en carré^ séchés et salés.7 *.
Mais danSiVarrondans ®es;tus9,.qest le poisson lui-même.
1 PIEnp. R IX, c.^,5. B i memhratim coesi cerrne et abdomine commendantur aique
cîidio. . . r
2. ' AttïéaéeVl. VU, p ’ 3i3'v _ S: Geogr., % ÏH, p.432*o.|
4r. .Pline,,A ^X X X Il.c*si i^jOrtoynus hic est pelamidum generis maximus. Sarda
ita vocatur pelamis longa.
l . ï f t 'p. ■lËôffeHi' Idem, I. i n ,
p. 120, E , .et Pline'^t. XXXII,,c. 1 1 , roceiCjbium..
8. Vairon 74« ling., lat. ,; 1. IV. Aquatilium vocabula animalium partim sunt
vemacula 'partim peregrina. Fdris muræna cybium», thjnnus.
9. " Fe$tiis> voce Kvßiov. Genus piscis quia pistantes id gentu piscium velut aleum
luddni.