Les'pêcheurs'de Mee ne paraissent pas <|e distinguer
non plus ; ils lui donnent le nom de thon, et M. LaUril-
la rd , qui a passé -un printemps à Met?, n y a pas vu
prendre le vrai thon de nôtre premier article.
La*tai^e ordinaire de l’espèce est de trois pieds.
Le T hon( n’Amérique*
( T h jn n u s c o r é tta ,'tiè ë .y iJ>
La mer des Antilles possëdemn thon qui semble intermédiaire
entre le thon à pectorales courtes et le thon
commun,
? SeS pectorales sont ct? Fomié’cle 'faux^fçfç^ntne dans le.jhon
Lcommun, à peu près du, cinquième de la longueur totale-'mais sa
deuxième, dorsale,et^son anale s-ont à
^ ?^c^rafes^^Mes5^en cor^âét est^ussi taDde àWmé d a n |^ ^ e r ^
nier. Je ne lui trouvé que hm| Faiisses" nageoires dessus et sëht‘dW-
1 ’&ops^-cteïfes qiï’off pourrait ÿ ajouté! tiennent^é-sïpTés'à k^àgtsSiPe
qgi les précède”, qu’oh n’a guère le* dlt»ït;de tëS' dompter:
B. Ÿ^D. 13 - l^fc/J^-iVOT; A. ÿ/i^Cfü} Ijf t j P 31* 0 M
La couleur dans îa liqueur paraît plombée Widèssxrê ,' îa^eméé en
déssotisi sans-taékfes ni harides.'W I Ce p p ifo n nôus a ôe ,1a 9RHB9M |d. PléeT ÿos’ coîôiïS^lê^uom'mepT bonite, et |mt tr^nsleré
le noin d’e /Ao^ à ! u t e * a u t r ^ ^ ^ p , dont
bièntôt àîiChapitre fifêT%ïi}xides. L’individu q a d u e o n /c
pÔu4è§* maïs i e W & u r qui nôus fa adressé not^ a s ^ q
que l’espèce d^vi§htr' aussi grande que le thon d’EuroJe^.
Il y a grandi apparen^'que, c es^ Oeï|e esp ècé cpii est
1 escombrus majortoCosuï d e ^ lo l n e ^ i e n que les noml
. J « » w w .,t.ï ,p l. i , fig.3-
bres des rayons et ceux des fausses nageoires ne s’accordent
pas. A cette époque on faisait peu d’attention à ces détails.
Mais qui pourrait comprendre * comment Bloch, dans son
Système posthume, a imaginé de faire de cette figure de
Sloane un synonyme du scomber pelagicus de Linnæus,
qui est notre ip^ryphèhè A tête oblonguei 'ht surtout comment
il a nais de; to,ut dans son genre des cichles
:^e thon américain, ou eette bonite de nos îles,est probablement
aussi le bonito ou thjnnus oorpore crassiçri et
bretàori pinmilis Mperioriffîhs novëifà, infétioribüs octb de
BroWn^jytdt* Jeé' àe- périt être qu e par erreur qu’il ne lui
Compté que quatre rayons aux ouïes.-Cet auteur en parle
tomme d’un poisson dont la ëhair est sèche et peu estimée,
quoique nourrissante et salubre.
- v ih d b lt y avoir atïsèi des thons dans la mer des Indes, car
j’eri Vofe un, et mérite âssez bien représenté, dans ie danQiri-
yndtigelang'dë Renard ( 1. I, pl. 3 6 ,: fig. 189). L’original,
dans le rétrieil dëComeille de Vlamrrig ( pl.’ri), est encore
bién'mieux fait et nniaisse'aucun doute srif sôn sbuà-gerire.
La deuxième dorsale e t l’anale y sont plus élevéeç que dans
le thon x^üimuri ; mais lès^pfeqtorales y ont à p’eu près la
même longueur. Il y a neuf fausses nageoires. Sa couleur
ést bleuè en dessus, argentée en dessous, comme dans le
thon .vulgaire'/,, ’
Le dondièuff de Renard (pl. np, fig,#24) paraît égale-
mentjetire pn thon, bien que sâ jn^mière''dorsale y soit
coiupee comme dans un maquereau ; mais l’origmal de
4,-Bl. ScMÿ;"p. 54rj^îi."ao. 2. Jamaic., p. 45»*