Des carènes aux cités de la queue*
Museauulmgè en épée ou eh dur à.
Dents ‘en velours ras.
; Espadons . Point 'de ventrales.
Voiliers,. Ventrales longues et étroites. Les makaixa et les tétrap-
. tiares y sont compris.
Les rayons de la première dorsale séparés en épines isolées.
Des ventrues tUoraciqùe'Sr-—
- Une çarfcné de chaque côté de là queue. ' . .
PïKWES^ .
* Point de carène aux côtés de la queue.
nC<w>s alongé&^ k,
Élacates. Tête déprimée,
i Corps comprimé.
Ôeuxfème dorsale et'ànale coutinues.
LiCHEs. Profil peu bombé.
Trachinotes. Profil bombéj museau obtus.
Dernier p a y o n s de la deuxiègne dorsale e t de Fanale séparés.
Chorinèmes.
Des ventrale jiâgulâifesi
A polectus.
Pôînt de ventrales.
Rhïnchobdelles. Museau concave, strié en dessous j nageoires
■ ' vérnOaiéss^arées. ' ■ •
Mastacembles. Museau conique; nageoires verticales unies.
Des yentrales aMommales,;Stjn
JSOt acanthe?. Pas de seconde dorsale; une très-longue anale
unie a,la caudale* # .
SCOMiBÉROÏDESi 5
né sbnt 'iîaè^ài beaucoup près, aussi SéparéesJes unes des
autres'qtie lé1 sont celles dgs malacoptérygiens, les silu-
ro ïd ë^ 'p a r exemple, ex des clupéoides, ou les lucioïdes.
Il est possible du moins de former dans l’inférieur de la
fàniille dès^MoinbeÿiSid'es M groupes dû des tribus mieux
déterminées- que Mifamille elle-même.
Dans«uiïe première‘tribu, pai^exemple,, on peut placer
d!# r^iés%ontmue et les
derniéYs'fâyôûs de la dorsale1 e t de l’anale séparés, ou,
cOmmé on dit > formant àë Jmisses p in n u h s ^ et dont la
qiMie estrcarénéë subies OôtéS, mais non armée de Bou-
•Clidral ;tî
Dans une sëëôndre on peut mettre Ceux dont les rayons
épineux dü doS né forment point une nageoire continue,
maïs demeurent séparés lës ^ps dés àtitrés. *
1 Datts une troisième on peut range» ceux qui ont la ligné
latérale armée en tout ou ëri partie, et principalement sur
les cotés Vie la <fuéuè, dè bbUëlfôfe ,feü de foftés écailles
carénéeséu épineuses.jQe caractère même va»gn diminuant
par degrés*dans certains genres, remarquables d’ailleurs par
uü-'eorps*' tfèS-élevB; e t comprimé.
Il y a en outre dë's gr'oupé|*moins considérables, qui ne
s;e rattachent aux précédens que par quelque caractère
partiel, et ne lienn£nt*ïÿ la grande famine que par l’en-
semble WpeutTéitrè 'pa^la'^etiïesse' des écailles' Les pus,
comme^rès^ëspadons, n’ont de plus que les pailneSmes
co|i|svde la queue; lés autres,,,comme les sérioles, que la
petite nageoire en avant de l’anale, etc.
Vous nous sommes- efforcés de présente^ ces diverses
combinaisons^ de caractères »aussi nettement que noue
l’avons pu dans le tableau ci-joinfc