' De grands JêMems~ée mer qubsomontrentà»cmte époque,
rendent cette seconde péeheJrèsfrped* productive.
Il y»â aussides- madragnes sur la cêtè^ded’Ita'lte.,-.dans
le eftnafde PiombiHOjà'Maricana età- PoMo-&rak>^dans
le royaume de Napies-iàÆaVeiStello ; mais c’est-en Sicile que
les thods? trouvent le plus de ces embûches-»; surtout#à la
ente ^-pteMcmale «depuis^Mélazzo jusqu’à Trapatfi1, Le
n^É^e*- « d d è s ^ ^ d i a g u e S J d e ^ # ^ ^ ^ ^ ^ ® « # 1^ ^ 0
trtlnï®^te?^#y ^ a # a i t eu plusieurs d’abandonnées,'-
Lâ pêché’ dèàrrivM commence* avec-le mois fde>?Maèfet
dure jfcisqu à' la fin dè-Juin-3: La pêche de retour a Heu
depuis la mi-Juin jusqu’à la mi-Août : on y^prêhd encore
beau coup de poissonS ', d i ais ils sont -maigres è® faibles-.*4
golfes de la Méditerranée:'Gn les pêche à la thonâire sur
\ h ^Ôte^dlstrie- et> de cDahnatie.'* On en éprend- surtout
abondamment à Bucâriza-, dans la Creatie^Jlls ’‘ak’-rivent^a
^ K l ^ p r i R ^ É ^ ^ A t ^ ^ u a u m o » d'Qméme,
e t l ’on en' prends qui pèsent jusqu à cinq^ceâts livres j
mais lés plus cOttimuns ont de dix à'quarante« livres.» *
' «LeS'bancs sont ordinairement précédés par dessardineS^
et il arrive souvent*qfre des dauphins les poursuivent et les
ftjfceùf^ih quelque sorte' d’entrer dans èfeS5 thonakes*‘:des
pêèheute se%arènt que c’e ïtp a r amitié pour eu»; -ils disent
même que lé dauphin attire les thons dans les filets ,- qu il
^ u i r ^ à V â t t euxqiour mieux les trOmperyet lorsqu’ils: en
aperçoivent1 un, ils crient fora dolphin^ o u r quil se hâte
d’en sortir6. «Les anciens feisaîeUt'des Montes tout sembla^
Blès;stir fe-pfefiêdéstfiugjésT s- t?i -J‘:V •'
~~ i a v n ü h a m ■ƒ. i55|
Avoliô,' p .‘9 ^ — 5.- f i u h ' d f i É I . « H i P P P i *
.S u rd e i^ te s ièeî l’Qeéan le thon-paraît moins régulièrement
»*®®, en beaucoup moindre ahondance.
Gornide. (p. 65 Rassure que l’on prend quelquefois sur la
cote de Ralliée des thons qui pèsent de douze à quatorze
àrrobes; tM
. s ^ f i n h a m ^ ^ i i ^ f i § ^ m a?maii§êè Brest; -mais
jjky esc trè&-rare«L& seule pêche-un «peu considérable qui
4Ün. fasser selondüi, «sur les- côtes .occidentales de Eranc%
ejsC dans.-le pâys d*es Basques 1 ç>ù:l’on en prend av.êc des
haims depuis le commencement de Mai jusqu’à- la fin de
JuileVeUeneore artrilp ent-être-o©nfbndu legermon avec
jijfeècAqns fréquentent, selon Pennant^ les cotes de la
OranâeÆre®agiie,- mais non pas en grandes troupes comme
colles cl e la M é di te r r an ée. Ils ne#sont - pas- très-rares dans
lés peritsx golfes de la côté occidentale d o d ’^Écosse, où ils
poursuivent les harengs# et déchirent souvent les filets.
Sitôt qu’on.SÆnvaperçokÿOmlènr tend up hameçon: amorcé
daim hareng-.; Le thon.pris fait peu de5 résistance. ^
3 On en pritu n àMoémiy#!eiï9*7fiqy loigi dserseptipieds
dixfpouceSjVet; qui- pesait r quatre» cent>SïOixantel|vres. Les
pêcheursséeossaisies nomment makrel-sture^gtmà maquereau),
de ^oi-yquien danois signifie grandi En Angleterre
ou les appelle m^uereaicr’ d ’Espagne. >
^s sSehoneieldptdit que le thon était»autyefoiiS assez commun
dans k baie d’Ekeford, sur la Baltique9.»Eu t 6o5, au
mois de Novembre, on en prit un de huit piqds et demi de
longueur e t de six de tour. Ils poursuivent lps maquereaux,
qu’ils forcent d ’entrer dans- cotte haie d’Ekeford. Depuis
J, BriU zool., t. IH, p , a35. — 2. ScboneyeMe, Ichtyologie, p. f5 .