en, i 8o3 -dans sa#Zoologie générale (t. IV, part. 2 ^ . 99 )>
mais.crut devoir lui donner encor eun,autre nom nouveau,
qui fut le •cinquième II rappela vandellius lusitaniensy .#6
ne parla point de- §esi ventrales.1 2
Cependant un de' cés poissons fut pris, en 1808, le 4
Juin’, près de la côtp du IJevonshke, et M. Montagu en
donna la d e ^ rip tiç^ e t- la figure dans^s^]^ë5a@i^§s^de la
Société Wernerienne ( t. 1, p. 81,. et pl. 2 ). Cette foisdes
éeàiBes qui tiennent lieu de ventrales , fur en t bien i ndi-
quéesj mais M. Montagu -ne lui créa pas moins un sixième
nom^îçelui de ziphotheea tetradens.
On peut considérer .enfin comme le septième-dgs. noms
dfejce ppisson,, celui de lépidope Pérorijjpie M. Risse lui
a, imposes-en 181 o dans^s^Qn. Itjkyqlqgie
p. i.48., i # p l 5 j fig- Bp i p maâi%fc(|u..rnQ|3p b ^ ^naturafiste
r amen a it d e jip u je au l’espèce à son véritable genre, et il
faisait^remarquer Quelle devait ètçe la, ménte^ que ^celles
d’Euphrasgà e t^ f^ ia n d e lli.3
La meme année 1.81Ç, un huitième nom à^encoreJ: été
imaginé pourjee, poisson par M-,Rafinesquej „car \e scurcina
argqntea. de caratteri .( p%^ . , n*° 4 ^ .. et pl. mé|
ÊimÿjÊm d% sam Indice (p. 3 8 . n,° 284 )t, n^estftoujours pas
autre chose que not^e-xiépidope.| Qpoique Ja^^s^ription
qu’il en donne soit»assez incompfète ,*sa;ifigurei .ne;dai^e
aucune féqùiv0qu€^i|Ge* gui ne faspajS jempêehé= de? mettre
aussi dans ce meme Indice (p. 3 i , n.° a3o)' lé lépidope de
Gouan à la suite des 'cëpoles.
1 . Nans sommes ctautantplus certains de cette sj'nonyrrriev oue npus~ ayons, vu ce
poisson à Londres, et qrfil y en a un autre envoyé par Yaudclli à Blocn> et conservé
au Cabinet de Berlin. H
2. Walbaum, Artedius renov., t. III, p. 6g5,
, Enfin ,>e»R24vM^N:ardo, dansïJe Journal de physique
de Fa Vie (t. VHy £.^227)’,’ reconnaîf*notre poisson pour le
lépîdopé de G o u a h /é tlu i donne11’épithète d'argenteus,
sans paraitre^se d oute r de *tous les noms quil avait reçus
depuis que Gouan en avait parlé.
Qn peut juger d’après le sort d’un poisson si facile a
ca/0fttéri#er :,' ©©• qui, a^-du/îtPii^er^#tant d autres quil était
plus aisé^d^eonlbndre-parmi' de nombreuses espèces semblables
eritre elifts. '
'# e^ncbnlre sur les côtés du Languedoc,’ de
la Ligutie, de la Palmatie’, de l’État de. Venise, d é j à
Siciîfe-,-'du Portugal l’Angleterre :^et que , comme
plusieurs #p©iss on s dc'-la Méditerranée, il-.se retrouve au
cap^dè Bonne^Espérance^M. de la Pilàfe»raMe^iné h
OuëssantF J ’ai* aussida qkëùve qu’on le prend quelquefois
dans hbgoifè dW*Gâscdgnef 'car 'M: d’Orbigny en% envoyé
dé la, Rochelle u n ’bel' individu au'Cabinet du Roi. Ce
Cabinet'1 è n V ^ ù é i ;re'cu'un de Messmâ*’par M. Biberon,
un d eM % p ^ ;-8ï^LaùrïllardÇ ét uii 'pPNaples par M. Sa-
vigiîy. J’en ai vu n n auÇahmet de Florêwpéf qui avait- été
pris A Livourne. Il«s’§n trouve dpnc, pour ainsi dire; autour
de toute l’Europe méridionale et Occidentale.«-
! L e LépiBo^ê AifeÈwtÈ. j! ;
(Lepidopuf argjçreus^ noh ) .
Que l’on se rëprésente-un grand et large ruban d’argent
nageant par ondulations e|.jetant dansées mouyemens de
beaux.reflets de^lumi&e ï##t l’p k aura kne id©P*déd’éffet
du lépidope lorsqu’il est vivant- dans les eaux de la mer.