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O L E A .
aiploic le n ailiri
O L I V I E E ,
.•(•cnsc. O-liii-ci ost formé iron méoaiiismo scmslui
ilu lôotilin h Imllo. 11 ii'v a iramic ilifréiriirc-, siooo i]iic le l.assio est
•,ut ior lie bois ct i[uc la meule est plos petite. On jette ilans ee envier, selon
une quantité plus oo moins grande lie marc d'Olives, surlaqucllcondirige
anal d'eau vive qui se renouvelle eonlinnellement. La meule élant mise
meut, les amandes sont mieux broyées; la sobslance de ees amandes, la
ueilagineuse et les peaux des Olive» viennent àlasurfaee du envier, et elles
àuées, au uioven d'nn second canal, dans uu réservoir oii l'eau éprouve
cucorc nue cluite d'un pied et demi lorsqu'il c.st plein. Cc réservoir a six pieds tic
longueur, trois dc largeur et autant de profondeur.
Les peaux des Olive.;, l'imde qui s'est dégagée des amandes par l'espèce d'émulsio
qui u a l'aile en les broyant, ainsi que l'Iinile adlié
du réseï
l'ace, si
sept poi
.avec Ici
oir. Mais conmic ces divccses subi
a laissait trop remplir le bassin, o
es de diamètre, dont l'oriliee infé
ances s'éeliappcra
donne issue ii l'c
eur est élevé lier
1 pa
nthlasnrfae
il la s
des
usdufouddnrésci
1 de la surface de 1 1
•eond seudilablcan
id que quel que si
eloi qui est le pins I
nfii dix pon.
ir, el l'oriliee supérieur n'a ao
I. Lu sortant du premier rcsi
renner, et on lui menage la i
rieiicc app
l'iioilcdan
linitondix.
Lorsque le mare qn'on avait
tière mucilagiueusc est montée
tiqué au fond dn bassin, et on
ployer an chaull'age. Ou ebarg.
ipninlité de marc qne la premiè
se précipite bientôt an fond et ent
d'Olives. On bat de tems en tenu
qui .s'était déposée au fond, de pi
Par celte maun-iivrc, la mat "
loinbre de ccs réservoirs,
i. On se conleitlc ordinairi
itle
, l'eau est diri.
cliote. I.'expé.
te toute la r
run canal,
Hire ponr l'c
ittant la
is dans le bassin a été bien la
m fait échapper le bois des m
reçoit daos un réservoir, iVoi
•nsuite de nouveau le bassin,
fois. Dans chaque réservoir, h
ila.
itraînc avec elle des panicules d'huile et des peaux
as l'ean de chaque réservoir, et on force cette matière
sser par le luvan montant placé ii leur extrémité,
iiucilaïineusc est lavée autant do fois qu'il y a de
L-mc
:use
lis elle est déjiouilléc d'
.pi'clle retenait.
éservoirs, et ;i cli
ncore, ou des pi
Les peaux ct antres snbstai
nirs, sontmi.ses dans une ebaudio
luarts-d'luaire. On met ensnite ceti
obtient l'huile appelée d.
e partie de Liilc qu'elle contenait
se-s qni sonl rnmassées à la surface des re'ser-
•t on les V fait ])onillir pendanl environ trois
atii re dans des cabas, sous dc forts pressoirs,
qui est d'autant moins limpide ou coulante
qu'elle est i'ormce de plus de partie dc riudlc contenue dans les peai
Le marc d'Olives, an sortir du moid in 'a huile, est composé du bois des noyaus,
de fragmens de l'amande, de la niatière mucilaginensc qui forme la cliair du fruit ct
de la poau (pii lo recouvre. Ces diverses substances se séparent à la recense. Le bois
des novaux el les parties de l'amande <pii n'ont pas été bien broyées restent au fond
du envier. La matière mu< ilaginon.sc forme une sorte de bouillie, <pii, lors<iu'elIe est
retirée des réservoirs, éprouve, on se desséchanl, nno rclraile connnc l'argile,
s.ins avoir toujours la même ténacité ct la même ducliiiK:. i.es pi^aux sont ia malii'rc
principalement avantageuse ii exploiter; il faut <'epondant que ies Olives soient bien
niùn
L(
, ...., Iors<pio lefroid surprend ces i'ruits quand ils
nt à geler, les peaux no ].roduiscnl poiut ou pres(puvp..int
madères des ca.puers .sont formées du inucilago <los Oliv
est restée adhérente, et de beaucoup de pe dii'fér
verts, ct qu'ils
ndio.
de l'Iniilo qui y
l i e s jetait
.•hauffr
O L I V [EU.
rcccn.sécs que dejiuis peu dc lems ; o trcfois, et elles forment ii
m,e partie considéivd.le du revenu d<
Le l)ois des noyaux est onqil,
pour le
mais il flandjc peu. Sos cendres .son
U Irès-lxiiuK
mucilaginouse dcssécliée brùlo (rès-1
ion ct flambe davant;
Cotte subslaiice e.st alors très-légère,
Ses cendres sonl !)oi
.aux rcccn.ses avec los peaux <f()livcs brûlent, au sortir du prcss.i
huilé; ilss'end.iminont .ivcc la plus grande promptiuido, otiis.lc
et durable. M. Bernard a obs
éplu
la flamme se montrait au soiiir
i.el .luUiyau delà ciicmi
tujau eiit dix-huit pieds dc loiij;
ucur. f.es cendres dos j.c
Lcs cendres du marc ii'Oii%
es qu'on tire des moulii
présent dans les savonneries el sont ;ont pavées .h T raison rai.on de de cii
cinq l'rancs le quiiilai. Les eaux
des recenses sont excellentes pour fertiliser Uliseriospr
les prairies cl los terres, quelle que soit la
cullurc à laquelle on .applique c.cl engrais. Il faut cependant avoir rattonlion de ne
l'employer que noyé dans beaucoup d'eau, parce qu'il brûle les plantes délicates.
On voit, par ces détaii^s que l'an d'extraire l'huile d'Olive est plus compliqué qu'on
ne pourrait le croire d'abord, et quo sa description ne peut être que ie résultat d'une
longue suite d'observations comparées. Nous avons décrit les pressoirs qui sout
aujourd'hui eu usage; nous allons faire connaître maintenant la presse à vis en fer,
que nous désirerions voir substituer aux pressoirs ordinaires ; nous on donnerons la
figure et ie moyen de l'appliquer a l'extraction des huiles d'Olive. Cette presse, avec
sa vis enfer ct son écrou de cuivre est représentée pl. ô.'î, fig. ; ies jnmeflos, en bois
en apparence, sont réellement on fer, et compo.^ées de quatre bandes de cpialre i)onccs
de largeur sur un pouce et demi d'épaisseur. La longueur des bandes ne peut être
fixée que sur les lieux ct d'après l'éh^vati.m que ia localité ]icrmot de leur donner;
ainsi nous n'en délerminons aucune. Cotte presse, agissant plus fortement que colles
connues ct usitées, doit nécessairomont conqirimor davantage la pâte cl la dessécher au
pomtde satisfaire lecullivatour et le propriétaire des Olives.Voici sa doscriplion détaillée
Il fournit nno bonne braise,
lessiver le linge. La matière
ige que le i)ois de.s noyaux.
IX qu'on fait
ne ie papier
n feu ardent
î qu'il a fait corn
L^c dn fourneau,
.xUichoNticiin
il iaiiio, sont o
, que
ue le
nployi
: A, madrier en bois très-rustique, d'oiniron deux pieds d'équarissage ou d'épaisseur,
de la largeur proportionnée à la grandeur du cabas, en observant dc laisser tout
autour un vide entre cchii-ci et le rebord, ce qui formera lo récipient de l'huile que la
première pression aura fait couler; B, rebord h pratiquer au madrier ci-dessus pour former
une espcce de caisse; C, cabas en bois, plus relevé que le niveau du madrier ou
do la maye. Cette ma_\e,lecaijas on boisetia naiss.iuce des bandes de fer, doivent être
,0 plaque d'élain iamim;, assez forte j.oiir résister a l'effet de ia
1 bois dans le<jui-i entre l'écrou en cuivre, traversé dans toute
. ixmlons ou l'or E, d'un pouce environ. Le madrier servant
.loivont être do KuUe la largeur de la presse. C.GGG, quatre
ions désignées ci-dc.>sus, qui traversent la iiuive et le sommier
i'i'cs de doux trous dc quatre pouces de liant sur un
icisonintroduit h force descoinsde fer de ia première
lenr naissance et pins gros ii lour extrémité. II. fig.
0 proportion ([ue celles qui font los fonctions dc jii-
[•csdcnianièro ii oe (pie leslKindos los lrav<'rsont en-dessous
du soniniior oii elles doivent recevoir les coins en fer dont il a
propos do, se prémunir do quatre piacpies dc fer percées,
des bandes, p.mr serrer davantage les coins. I, plaque de
garnis ct recouverts d
pression; 1), somiuici
son épaisseur, par de
de niaye ot le sommier d
bandes de fer des proportic
dans leur (-paisseur, et so
pouceetdcmidelargo, dai
proportion, mais plus mit
(lUiitrc bandes de for dc h
melles, et ipii sonl percée
de la mave et an-dos
étéparh^-i-devanl.
qui sont placées sur
fer forgé sur la.piclk
it po
sloMpr
lo ha
iposel'é u fer de •epoai