u i c r c s , donne la liste de S'
d'Uistoire uaLui-cllc, M. le 1J
l i e - q u i n z e variélés dc C e r i s e s , qu'un amateur
de Truclisess, à Retlenbnrg , en Franeonie , est
parvenu à se proenrer, soit en Allemagne, soit dans les différentes contrées de
l'Europe. Cet amatonr a envoyé au Jardin des f i a n t e s dc Paris , cl i» la pépinière
dn Luxembourg , des greffes de toutes ccs variétés, q u i , excepté une seule , ont
bien réussi ; cc (jui peut nous faire e.spérrr de voir nos jardins s'enrichir de quehjues
ncmvelles v a r i é l é s , et notre nomenclature se pcrfcclionner. Cette dernière parti®
est très-esscnliclle , c a r , dans l'élat acUicI des choses, elle n'csl pas assez généralisée,
e t , comme le dit [M. D o c c n i e l dans la Bibliothèque des propriétaires r u r a u x,
« chaque pays a sa dcnominalion particulière , de sorte <pie les espèces que nous
connaissons sous los noms de Cerise dc Portugal, (l'Angleterre, d'Allemagne,
de Hollande, ont dans chacun <le cos jiays un nom diffi^rcnt dc colni (pie nous
adoptons la Ce r i s e do iMontnuironov n'osl p;
l'étrange
c'est prooiscmont cotte
fusion d;
5 les iihk'S. Pour obtoni
que très-utilo. sous lo rapport despèces
connues sous los difforen'
possible, (pi'dii V joignit RIII.-,t()rii]u.
dc
nu'ine connue son;
nomenclature ipii j
•lalure uniforme, qi
il faudrait se proc
oncc
:ido])té
:baque pays
ce nom chez
te de la conne
peut être
rer tontes les
e t , s'd était
ces espcces ot variotos, r
la science , donneraient 1
de toutes les o.>;]iècos ; alo
^t plus apprnprio'o que .
La culture dos :Merisior
minalions toutes los vari
demande aucun soin ex
nl.h:<
0 l e u r origine ou de leur iniroiliiction. Toutes
ans un dos ét<d)!issemens publics consacrés a
le ct à la
iîoalio
me
danj
s on serait a n
L ' I l e qui oxisic
ot dos Cerisio
.opl
•te:
raonl
qu
t c r r em : :m éviter; 1 seulement dsont
argileux,
goùl nu
(Uli p,.i
ire. IN
les pbi!
cliafpie p;
ous compn
po l'U!
sonl ]
dans 1
lit bi
et dans ceux qu
que los fruits y sont d'n
Cerisiers aiinont les pavs
calcaire , ceux (jui sonl lo
chauds ct lr>q> arides, i
délicats, ils y ao(iuièront
plus grande qnantilé.
Le Merisior ct le Corisior se multiplient on
poussent de leurs racines. Le premier on donno for
une (pianlité très-considérable ot souvent iniportun
terres h'gèros et sabl(>nou.Si'S. midliplication par
mnaissaucc parfaite
lonolatiire imilbrine
ons ces deux (h'uoces
l'autre i
;linicilcs
nn sol lroi> lu:
llcnrs "V sont s
arbres.} ne
r la nature du
ide , trop froid ,
(pie 11 .'ttes à avor ter ,
agr(Mbh;, ot (.nliiiaironicnt pins acides. Les
lo inonlagne» ot les cotoaiix élevés ; los terreins de nature
sabioiious , poiD'vu ([u'ils ne soient pas lrop
irlircs ; leurs frnits y sont plus
ne savour excollenle , ot ils y \ionnenl aussi en bien
les bons oultivalours bl;
eux-rnémes une trop g.
et qu'ils sont pins sujo
vergers , cependant, oi
naturollemonl el saii?, «
sujets .pi on peut g
peuvent déjà coniiii
font attendre le b-i
•offer
Les Cerisiers pi
(•t plus vigou
on vcutavoij
de lurnier d
mont c
ndo qi
à la J
(rolito . p l u s
ail jn'
:lès 1.1 soc
lu iVuit
jig-toiris
iccs Ion
pon plus 1.
rejetons
e ceux ]
[linaironi
licim so
.soooiido
le semences ou dos rejets qni
pcn , mais le dernier en fournit
iiand il est £)hmté dans des
rejets (\st très-facile , mais
los arbres élevés ainsi poussent
qui los (-paiseut promptemontj
ovcnns do .semonces. Dans los
nt do drageons , q n i , vomi s
, pro ni ••
ot (
nt de bea,
i(| ou six i
lair e los arbres venus do noyau
ni tu
:s arbres d.^sL
;nj(.'l.'i pour I.';
, „ u l , i p l i , . „ i
idcs plantai
ariélés du
on don pr
surlmit (Il
é!ev(îs
• (piand
il .s'agit
Bigarreautiers ct Iloaumiers. On
faut choisir ponr semer; les uns
antres celle a fruit noir , parce q
que la première a plus d'àcretc
indifférent, et nous pensons qu'
procurer des sujets pour grcff
le semis est destiné pi
deviennent plus gros
les noy
ou peu après
C E R I S I ER
:st pas d'accord sur l'espèce
s veulent ipie cc ioit 1
que la dernière est jtlus douce «
Nous croyons aussi que ce choi
m doit pr(^ndre la Merise noire
;s différentes espèces jardinières
qui pr(
les ciii
les forêts , parce que les arbi
s'élèvent davantage. Dans ti
.l(îs fruits bien mûrs. On doit les semer aussitôt
inle de li
do Merise ipi'il
frnit rouge , les
plus suer.=o, et
ue doit pas élre
lorsqu'on veut se
et la rouge lorsque
.-ionnent de c,clle-ci
il faudra prendre
[u'ils .sont récoltés
; et SI, était forcé dc remettre l'opéralio
mois dc mars, il i'aïulrait los stratilior dans du sable ou dc lu terre. Si on ne prenait
pas cette précaution, les amandes ponrraionlsc dessécher ou rancir et perdre la
faculté dc germer. On choisil pour faire los semis, une torre légère bien labourée;
on y répand les novaux, soil à la volée , soit dans des rayons formés à cinq ou
six pouces l'im de l'antre ; on les recouvre d'un pouce de terre , et par dessus, d'nn
peu de terreau ou de fumier c o u r t , pour empocher la couche supérieure de la terre
se durcir par les pluies (m par les arrosemens ([u'on leur donne, lorsque le
•0 est fav
ce qu
printems est sec et (pie la pi
Lorsque le jeune planl est lov
il située ponr cela,
la fin du primeras, il faut
avoir soin de le débarra.sser dos nianvaisi
continuer dans la suite ccs sarclages , tont
bout d'un au , les jeunes Merisiers sont o
Le nouveau terreiii dans loqnol nn les i
qne oelni dans loqnol le semis a élé fa
à deux pieds l'un de l'autre. Los mois
sonl los mois de janvier ol de févrie
en la faisant, de couper le.pivot, dans 1'
plus grande (piantilé dc chcvolu , et
lorsque par la suite on voudra le planter à (lontoiu-e
avantage, M. Bosc blâme avec raison coltc pratique, p;
a conjié le pivot ne pousse jamais avec aulanl de vigt
aussi beau, ^fuas ajouterons que ccla, en favorisant 1'
zonlalom
herbes qn
Lonles les fois qi
It on état d'être
teltra doit être 1
t , ot les jeunes ,
onvonabl.
s pou
. Plu
de fiii
1 pl
jrraieot l'étouffer , ot
•ioront n<'cessairos. Au
transplantés en pépinière,
labouré plus profondénnnit
arbres doivent être plantés
faire cotte transplantation ,
valeurs sonl daus l'usage ,
prendre an jonne arbre nnc
facilité il reprendre,
i s , quel que soil eet
qu'un arbre dont on
et ne devient jamais
ùssemeiu des racines
latérales , qui s'étendent horizonlaloment, donne lieu 'a une ])lns grande quantité
de drageons qui poussent de lous o(')lés ot f[ui épuisent l'arbre; enfin, privé de
son pivot qui pourrait aller ])oni]>or riinniidilé h une grande profondeur, il souffre
de la sécheresse dans los années où los pluies sont rares; ot dans tous les tems
ssir dans un torroin soc. C'est surtout lorsque le Merisier
s b o i s , (ju'il osl essentiel dc lui conscrvcr son pivot. Comme
• différoiilo dos arbres faroslicrs , ol ipi'il vient très-bien
•niplir le.s cl.iirièros ih-s forêts- Il laut alors attendre
• lo planter ;i demeure, dans des trous d'un pied
cmor snr place dans des trous dont la terre aurait
n éviterait moine par ce moyen dc voir mourir
ie (In p l a n t , dont il périt toujours beaucoup lors
; jonnes Merisiers sont dostiiK's à faire des sujets
i l , on los laisse en pi'pinière, et on les grelïe a
•iir lige a aoipiis trois à (piatre pouces dc tour.
0 so greffent ipià la luuilour do six on sept pieds,
il lui est difficile de
cstdestinoii repeuploi
il est d'line nature I
a I'oinbre, il est trc
.-propr
qu'il ait deux on I
en quarri'. O n pourrait aus
cte convenabloment labour
une plus
de la iransplantatii
p.
on doit c(niper roz terre, ii doux ans, tout ccux qui ne promettent pas d'avoir
C(
grii ide
-reffei