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O L E A . OLIVÏER.
i i 4
plier de plus on pli
qu'on leutcroil, pi
insectes, lenradlie
ne le peruicLtciit p
<|ni sont couvertes
contri])uent béant
1 hiver se fait souli
à en être atlaijués
T.a chcnille uiii
1 0 1 i v i e r , p a r l a t e i
is, et couvrir toutes los fenillcs et toutes les branches. Cost on vain
,r uu moven «luelcouquc, «le nétoyer les Oliviers ; la petitesse des
ronce ans feuilles et aux jeuiu-s rameaux, leur nombre prodigieux
is il n'y a pas «l anlre moyen «pie dc retrancher tontes les branches
pur les cochenilles, et dè los brûler. Les frt.ids un peu rigoureux
oiip il lu destruction de ccs insectes; aussi, dans les contrées où
1' avec un peu dc force, los Oliviers sont beaucoup moins sujets
que dans los pays plus chauds.
eusc nait d'un teuf «k-posé ii la surlace inft-rienre «les fouilles dc
gue (pii iiorlc lo nom de cet arl>rc; elle s'introduit bientôt dans leur
^t do leur parenchyme, jusqu'à ce qne, devenue plus gro.sse et ne
pouvant plus être ccnicnuedansl'épaisseur des feuilles, elle dévore aussi leurpellioule
t xtérieurc. Lorsque cette cliciiilleeslnée do manière qu'elle ait encore toute sa vigueur
an printems, c'est alors «pi'elle devient très-nuisible, parce tju'elle altatjue les bourgc
«ms naissaiis, s'y introduit et détruit l'espoir «les jeunes pousses ou meme tems
que les boutons h fleurs. Ce mal, déjà très-grand, n'est pas le seul qu'elle cause;
souvent, par suite de l.i pitjûro «pi'clle a faite à l'ais.selle des fenillcs, il s'ensuit une
extravasation <k> sève «pii donne lien à des espJ'ces de galles ou à un chancre qui
s'étend successivement et qui détruit eiifm l'organisation «les rameaux. La chenille
mineuse n'est pas gros.se, puisqu'elle n'acquiert «pie .<1. à 5 lignes de hmgueur; mais
elle fait beaucoup de mal quand cheest U•è.^-multipliée, etle meilleur uuiycn de la détruire
est i k rabaure les arbres sur le vieux IKII.,, et dc supprimer tous k s rameaux qui
sont attaqués par l iiisccte. Ou peutaussi alSiimer, à la chute (lu jour, des feux de paille
aux environs tk-s Oliviers, au moment de la nais.sancc des insectes parfaits, pour b r û kr
tous ceux «pii viendront voltiger autour des ilammes,ce(iui en diminuera beaucoup le
nondirc. Mais le mal que la chenille minou.se fait aux feuilles et aux bourgeons, n'est
encore que la moitié du désastre qu'elle peut produire. Elle se nourrit aussi tic la chair
lie l'Olive; le plus souvent même elle pénètre dans l'intérieur dn novau par la partie
nui répond immédiatement au pédoncule, et elle en mange l'amande. Lor.stpi'on
' s par cette larve, et qui tombent ordinairement avant la
ne la place qn'oecojiait l'amande, remplie par des excréflle
mème, lorscpie le moment do .sa métamorphose n'e,st
lémcut, cette nuaamorpliose a livii vers la hn d'août ou
c: l'insecte parfait .sort al.irs .-.oiis la forme d'une teigne dc
et de ctmlcur grise, marquée «pielcjncfois tk tachcs d'un
les ciillivateur> éprouvent, lorstpu' la chenille mineuse
ent tri's-eonsidérable, et elle est sans remède quand ces
trop éloignée de leur maturitii, el lorsqu'ils ne contiennent
peu ])lus tard, on peut extraire celle qu'ils renfernumt, eu
•parer la puljie tl'avec les novaux, poiu- que les excrémcus de
ccu\-ci, n'altèrent pus la qualité de l'Imile.
p h 3 5 , l l g . , o . n'occasionne pa '' '
nons avous déjà parlé. Celle ir
)re et en oett.hre ; elle n'utluiiue
sa matiiriu^. T-a femelle .se sert d'n
jionr pi<(uer le fruit; elle y déjHj
îdes Oiixes allatpiée
nnitunlé des autres, on lr«n
mens noirs et par la larve •
pas encore arriv«:. Commui
dans le courant do septembr
la longueur de doux lignes,
rouge brun. La perte qne
attaque les Olives, e.st souv
l'ruits tombent à unet'po«ju.
pus encore d'huile; u,
ayaut le soin de faire
l'insecte, qui .sont d.ms ecu
La moncltc de l'Olivier
que les autres insectes doiii
commune à la fm de scpleni
avant .péellc soit parvenue
àreMrt^milé «ksonvenlre
lure tpi'elle a faite, el cet «jnf donni; bieiilôt n
l . i p n l j ' e d e l'OliM-. Cet infecte parait avoir
On a propose beaucoup (k moyens pour
loiiiJre ik
l.clio t'Sl SOUVI'
r o l i ï . B llllC |1I-U
i „ „ » , . „ i n l c f i iu
uiuldaiis
; Inrvc ,[,ii .5» ne.
K'nilio i,.STii.raii.
•rit de
; diff«-
O L E A .
rens insectes qni atiuquent l'Olivier
l'nmigalions, les goudrons, les engi
Brousse ; il croit (juc la chose la plu:
ks arbres tons les uns, de los débarr
sd'in.-
du Tabac s
, cl de l i v i e rc
es Oliviers,cor
mais outre que l'eiïica«-ilé de c
souventsocs el arides dans lesq
au Tabac, qui a Ircsoin d'un sol
general, à la propagation d
d'oisc;
r
s In
O L I V I E R . I l 5
lis M. Bern,ml n'a i incune confiance dans les
qui ont clé proposes par l\r3I. Sieii ve et la
,s„,mal,le ail prescrite, est d'i émonder
;r soigneusoment d« •s branches qui s ont cou-
ICS aux flammes. Oi 1 avoit proposé di 3 planter
i«iyen d'éloigner el «•l e faire périr les insectes;
n'est pas du tout pn nivéc, los terrain S,lo plus
iltive ces arbres, ne conviendra icn m ullement;
•as othumide. Uu dernier moyen pour s'opposer, cn
iseolcs, serait de favoriser colle «les peUlos e.spèces
•ctivorcs, au lieu do II
clils animaux, qni no vivent «pi
nuées d'insectes qui dévorent
• faire une guerre opiniâtre pour les détruire. Ces
: dépens de cette proie, jious débarrasseraionl de
plantes et uos fruits.
Ce que ,
pour donne
m,li,,u
MOULINS ET PnEssoins
i s d i t p l
LE (,).
)i preciei
obtenir
rce. Dan
lide aus
portante. Poui
ensuite avec l'c
les ;\laures percent
ils y fixent un ess
broient aiusi les 0 1 1
imaginé pour la trilnratio
Les Grecs et les Romaii
vent faisait tomber dans It
où les fruits étaient cnoon
n'obtenaient cependant q'
des noyaux cetle (piahlé n
haut sur la fabricalitm de l'huile n'étant pas sufTisant
isance exacte des divers procédés qu'on emploie pour extraire
{, nous allons entrer «lans tous k s détails de cette partie im-
'huilc d'Olive, il faut d'abord broyer les fruits ot les presser
la parlie de l'Afrique habitée autrefois par k s Carthaginois,
•re des meules d'un pied cl demi de diamètre à leur centre;
ils les font tourner autour d'nn pivot fixe, par des ânes, et
C'est-là le moyen k plus simjile et le plus ancien qui ait élé
on de ces fruits el l'extraction de l'huile. '
iperccvant qu'en broyant les noyaux des Olives que le
: mois de septembi
«l'octobre, c'est-à-dire dai s i c
verts, et oi'i ils devaient donner imc huile plus délicate, ils
'une huile qui avait un mauvais goût, attribuèrent au bois
isiblc, au lieu delà rapporter aux excrt
5 d'u
i donna lieu à
j , e t p o i u - q u t
nent, où Ion
des iir
ceux-r
t(ue les noyaux renfermaient. 11 s'élablit alors un préjugé qi
lions ing«'nieu.ses ponr séparer la chair des Olives des noyau
fussent jamais écrasés.
Les trapètes étaient formés tl'nn bassin évidé circulaire
Olives el daus lequel k s moules passaient. Il s'élevait au centre nn mas
ré.servé de la meme masse, appelé militaire, garni d'une colonne dc fei
était reçue dans l'essieu percc pour col ciTet dans son juste milien, et i
trou d'un camm de k r . Chaque trapète avait dcnx meules, qui avaient un mouvcmcn
horizontal autour de la colonne on axe do fer dont nous venons de parler, ot qui ci
outre toiirnaieulverlicalement sur leur essieu ou sur leur centro. Ces moules avaient L
mémo courbure que le bassin, c'était des segmens de .sphère, moindres que la moitié
La longueur totale «le l'essieu caail de dix pieds. La ]>]. ô.'i, fig. i , est une copie de
IrapèLcs trouvés à Pompéia el à Slabia. Ou voit d'un côté l'élévation d'un Irapèt.
aettait les
lindrique
qui
sou
verticab
irni d
(i) L'.nitciir moilpriir qui » fsil 1rs olisen'iili
Koii,«voi»pmsi?, uon.Mûlomcnt ibn.w.i M.
(li'S uuli s qu'il n eu l;i l uiiipl.iiiancc de nous foi
lp» ptc-SH.ius, (loiil uue f onslrm
valeurs un piociuit plus roiisidi
4UC les rowiis.'s Icui -issuieni.
a'cxir.inf 1M huiles, est MUS conlredii M. BernJrJ.
oulceqiiB uous publions sur cccie parlie, mftis encore dnns
iiei-oiis i prc'sciUcr iiui'lquesnnjélioiulioiis à iiilroduirc djiis
moins dispendieuse, OBurerail aux propriélaires el aux cnludil6
desniaili-esde moulins,qui cooiplciu irop sut l amilage