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RJA ARMENIACA.
Armem'aca fnictn /mrvi), rotimdo; ri
referentc. ÛI-UAM. L.-c.
A B R I C O T I E R .
mygdolinum simtilel avellaneiim saporeni
c globuleux ; il a environ quinze lignes de diamt-lre,
:id de sa ba.se h sa pointe est bien marqué, quoi.jue
»•eut les lèvres (pii le bordent inégales. Sa peau est d'un
re il l'cmibre, ct d'un rouge fonce dn côté qui est exposé
est {l'un jaune foncé, d'une saveur relevée, excellente.
I sept lignes dc hauteur cl quatre et démit; d'épaisseur;
on-.seulcmcnl n'est poinl amère, mais qui a même uu
beaucoup de celui de l'Aveline ct dc l'Amande doucc.
;lu genre. L'arbre e.st très-fécond; il est rare qu'il ne
ipalicr. Ill HAMCI. dit qu'il donne plus dc fruil birstju'il
Cet Abricot est petil, prcsq
CL le sillon longitiuliiial .ii.i s'él
peu prolbnd, avant le plus souv
beau jaune du èoté qui se u-ouv
ansravons du .soleil. Sa cbair c
Le nojau cstuvalo-arrondi; il a
il renferme une amande qui, n.
goût fort agréable, approcbanl
Ce fruit est im des mcilh
rapporte pas lorsqu'il est
rst greffé sur le Prunicr-CcJ'iselte, cl cpi'il cn rapporte do plus gros, mais en moin<!re
quaulilé, quand il est greffé sur lo Prunier do St.-Jidicn. On peut d'ailleurs l'élever ci
je multiplier do noyaux, sans fpi'il ait besoin d'être grené; ses racines sont alor;
rouges comme des brandies tic corail.
nce. Pl. .M l'ig 3.
:. Arb. I-'r. i. pag. !3<). pl. i- fig. P. Roz. Dict. i . pag. 191.
•ompresioi nucleo dulci. DLUAM. 1. C.
t<le l'Angouiiiois; il est assez fécond, ol réussit aus.si biet
-•ar. 10. APRICOTIUR de Prov.
Vuiucor de Provence. Dr.u:
•Irmeniacu fructu p<!rvo,
Cot Abricotier a lopoi
m des, ton
ds.
ou c.spalier qu'on ])loin veut. Ses feuilles sont jiolites, pres(]uc
une pointe assez large. Ses fruits sont petits, lcj;èrcmcnl aplat
ligncsdoliautcurdimslourplus grand diamètre, et leur rainure, plus profonde que
dans les aulres espèces, a un do ses côtés plus saillant tpie l'autre. Leur peau esl jaune
du côté dc lombro, d'un rouge vif du côté du soleil. Leur cbair est d'uu jaune trèsfoncé,
moins foudanto (jue ccllc de l'Augoumois, mais d'un goiit vineux, relevé ct
iro.^-aromaiique. Le novau cslrafiotonx; il contient une amande douce. L'Abricot dc
ProNoncc mûrit, sous le climat dc Paris, h la lin dc juillet on au commencement
d'aoïit, sebm qu'il ost plus ou moins bien exposé.
2.ATlMLNlACAatro-purpuroa.7'.-ii//^^.i. ABRICOTIER noir. Pl ^ujtg. r.
A. foUis ovatis, acunùr.alU, .wnpiiciler deu- A. fcnillc-s ovales, acuniiiK'es, sinijileinent dentatis
; petiolis glandulosis ; florilni.s suhsoli- t el ce s , j >0 r té es s u r d e s ji é ti ol es g 1 a n d tde u s ; à
tards ; fructibus atro-purpureis, hrevitcrpa- 11 en rs presipie solilai res ; à frui Is d'un pon rdunculalis.
pre noirâtre, aUacbésàde courts pédoncules.
ARIMI'NI.U^A tlnsyc.arpa PFRS. Synop.A. pag. 36.
PLIR.NLS dasrcarpa. KUUH. IWilr. fi. jiag. 90. WILLD. .Sp. 2.
TiERà feuille"s de Pr.niier, .\nRu:ordu Pape, ABRICOT violet.
Ç. Alkm-.-SlM-Apersicffolia, folds longioribus, angustioribi
AISlUCU'ni'.R à feuille.s dc Pécher, jil. â2. (ig. 1.
990, vulgairement ABS
, irregulariter dentatis.
Cet arbr
:st prc.sque u.
ndré, crcvass
noins que l'Abricoi
jours toiLueux, ran
Ses feuilles sont 0'
, dilfér
;ux poi
d'une écorco d'un
ces, très-fincmont
lî'Vnnî n'avons pas rni dpvw fonyr»pr à pel Abricolipr li> nom s;)*cin |u; il; Putycarpa, qui sigmfiB à fruil vel
re ([lie re mraclfrp ne peul ^Ire pris cominr di^linrllf dc celle P»pri e, iiuis-^u'il «Irommun à lous trsfruiù dunu'mo Ren
IS NFIHU pr(<f(?ri; acloplef le ncm viiljîair" qiif iiuel jw! I-ullivalrars IuiiU)nnent, H ijui csl cmprunl^ ilr 1« ruutcur (le !
liilestil'ailleurs, jusju'A ptëfm, le suul .Ibiicjt 4U0 Juu coniiaiise. Joui la pcuu wil d'un i)ouriue uoirilre.
ARMENIACA.
lelécs, gl.ibres, luisantes en de.ssu;
opotit.cs gla.
, portée
iidos.ctiongs d'unpt
naircmonl blauclies, larges d'environ un pouc
imeiiuncii la place qui était fai.s.solledcsfcailli
est composée d'un calice à cinq'divisions obtu;
rondis, un peu concaves, rétrécis en un court
dont les filamens sont violets, plus courts qt
monté d'un style verdàtre, dc la loriguonr di
obtus. Ses fruits sont arrondis, irès-légèrcm
, (juo treize a quatorze, ou tout au plu
ABRICOTIER.
irdes pélioles cai
1 7 5
us de
mètre. Ils sont portés sur des pédo
est d'un rouge violet, trè.s-foncéou
ligiielongiLudinale,<pii vade l'inso
cstscnlomcnt remarquable par sa ci
peu près. Les (leurs sonl ordi-
, lo plus souvent solitaires et di.sposées
: do l'anmieprécédente. Cbacuned'ellcs
;s, d'un rougc-brun; de cinq pétales arjuglet;
<le vingt-cinf| à trente olaminos
lies pétales; <fun ovaire arrondi, siir-
. étamines, o.t tcnniné par un stigmate
nt comjn'imés, pelits, n'avant le plus
quinze lignes dans leur plus grand diacnlos.
lcqiialrc iicinq lignosdolon
Lir; leurpeau
uncôtéd'une
t : celte liqno
:oirdLrc,un peu veloutée, marquée
•tion du pédonculo au sommet du l'rnit : c<
ulour plus foncée, mais elle ne forme ])as d
sensible. Leur chair est rougcàtrc, surtout tlaus la ])arlic qui est
dans le reste elle ost d'uu jaune ou d'nn fauve brunâtre , ol forli
noyau. Leur saveur est <lou<;.iLro, peu relevée, ayant quelquefois
ou d'âcreté, approchant beaucoup du goiit dc certaines Prui
ressemble aussi assez à celui d'une Prune; il a sopt lignes c
hauteur, sur six à six ot demie de largcur; il se tcniiino eu p
isuic de la peau;
L-nt adhérente au
un peu d'anierlumc
:lo Damas. IA- novau
•mie à huit lignes de
0 assez aii;uo, cl c.st
comprimé surson épaisseur, étant un pon plus C(
L'Abricotier à feuilles do Pêchor n'ost qu'une
il s'en distingue seulement par ses feuilles jihis ail
ment dontoléos. On trouve des arbres sur k-stp
feuilles réunies; assez souvent nièuic ccla so rei»
•exc sur m .• facc quo
= dc l'Abr
r l'aiitK
feuilles inférieures oiai (It (n'a]e.s et régu
lières, co innie non s I.-S avons décrites dans
, au c
l'espècc principale; les siLpéiietires
outrai re. étant alio ogées , étroites, et ireégulièrcs
cn leurs bords, «iusi ipi'uu peut Ie voir d ans la (i-ure <[• ue nous cn donnons
planche 02. Los jardii iiers sont pi us, jusqu •tain point, il fixer eette
variété, on ne la t-reffa nt qn-ax-ee ci !S SOI'lunités ga
rnios seul euieul : dc feudles étroites-
colior noi
On ne sait pas bien d e quel pays r.llMi
r c s t i n d i j ni croît qu'il est originaircd'Orient.
Ju.sqn' 'apit'seitte'e Stun arbre plu; ; curieux c Ipi'uti l c , c t q , i i , ' . e a i , s e i lo
la qualité médiocre de; ioii fruit, u'. ÎSt gl lère cultiv 0, si co n" est [la r<pu-lques amateurs
qui sc plai,sent à réuni ir lies collet •lions . complet. es de tom les le.. i espèces. Peut-être
qu'on semant ses novai IX OU ponrra
it obi cuir de n. .uvclles V ariélé s donl le fruit serait
meilleur, et qui dédôni
nia"eraient !l
iien <:I e la peinie <iu'onau rai tp ri.se.Cc qui pinirrail
au moins nous le faire <is pérer, e'es t <iuc celarbro cslassez •au dans nos jardins,
et (pie tout annonce (pi " i l y a . e n p é néral i , p o u d e l eins qu'il est ei dtivé. Or, si on peut
lo regarder comme sau vage, OU .au 1 ilenii-sai ,l'cxp.Ti(meo lions a
appris combien toulcs l^s espèees dc fr uils avaic ut gagné 1 it s'ét aicnt-muniorécspar
une culUire loiigue ot ;soigiuie. De,;Uli. d eux mille nus, par exemple, que le Pécher a
été apporté de Perso ci l E u r o p e . le bre des v;iriétés de cet ar bro, qno nous avtms
oblcnues, ost très-cou sidéralile; n :n avons qui nuus doiui cm. dos fruits d'une
grosseur étoimanlo el i uirtout ifun goût et d'un p arfuiii dél M.M. BnrcvifcnEct
Ouvirii onl rapporlé de l'erse, il dix ans. des noya ux pe :ul-êtrc cic la même
espèce do Pêcher (|ui 1 iit aiureiois trau,sporti'e e Il Europe par 1 es Crocs, et on n'a
obtenu do ectic nouve lle iranspla,iitali
« m qu'un ariire don It les fruits stmt plus que
. n « l i „ a , . , , ••„„iparali
• los î<x eellente s l'éeiies dont la culture, loujours
vomont ave<
d c s p r c u i c r s l IVchcrs, 1101 niieiiis.