i8 CERASUS. CERISIER.
mais ce sont les principales, celles (|ui .-^onL le plus genoralement cultivées, celles
eiifin qui proiluiseiit les meilleurs fruits. Comme il est déjîi a.ssez diliicile dc bien
d i s t i n g u e r , par la \ u e , le touclier et le g o û t , toutes ces varie'tés, parce que
i so confoudcnt souvent Tune dans l'autre , et qu'il esl encore
plusieurs d'(
plus difficile de
n a î t r e , nous a
beaucoup moii
qui auraient i'
négligerons au
])agnes ct qui
fruits , il celici
• leur assigner des caractères qui puissent servir a les faire reconms
jugé superflu do présenter enooro plusieurs autres variétés
. distinctes , ct qui ii'olTriraiont d'autres différences que celles
! produites par le changement de terrein et d'exposition. Nous
;i pIi!.doin-s variclé.s demi-.sausages qu'on rencontre dans les cauinit
fort iuféricure.s, soit pour la grosseu
(pu-nous avons rapport(Vs ; nous ru'glij
que nous jugeons qu'elles uc valent pas ia jiciiic d'être
celle d'être cultivées. L'observation que nous venons de
nous l'appliquons d'avance aux variél(=s de cpialité iiifér
i dessein dans l'article du Cerisier vulgaire, qui
omcltrt
pour la bonté des
•ous ces variétés, parce
nimccs et encore moins
faire pour le Merisier,
i r e , <pic nous pourrons
suivre inmiédiatement.
17. C E R A S L S vulgaris.
C. unihellis .iiihsessUibiis, pan
thciduis, ovato-lanceolatis,
his.
lire.
foUis
f , glu-
C E R I S I E R vul:
C. n ileurs cil üml)clic.s
à feuilles annuelles
d.'ntées, glabres.
CKRASUS vulg.
Cerasus c apron
Cerasus sativa,
Cerus,.
'sfoUi.
Cerasu
Cerasi
Cerasa
Prunn.
Pom
Cerisie
MIM.. Diet. n. i.
DWMSI). Fl. Fr.
.fructu ruhro et acido.
'lahris serratis ovato-ta,
•is, fruclu rotundo. Di
acida. T.VBEAS. IC.
rubra. I'.LACKVV. llcrh. tab.
cerasus. (î;,). ( cxcl. v
Dict. 5. pag. ()()«. PEIIS. SV
• à Puris. Griottier dans bci
eolatis, mu
M. Arb. Fr.
rone producta.
-Ol. I . pag. ,70
S, X et A. j Ma
p. |.ug. 34.
coup de tlcparlcincn..
itis. 3yr>. Wii
I . e CKKISIKU proprement dit
ve moins qiu; I
s .SI haiiletir n'-
t SOS rameaux s
Le arrondie qu'u
ses variétés. Le:
quelquefois la même gro.sseur
a vingt-quatre pietls. Ses brani
moins bien et forment plutôt une tête
le lait le Merisier et la plujxirt do se.'
glabres, moins alongées, moins grain
pélioles plus eourts, jilus Icrmes, et
petites ([ue celles du Merisier, sont
presque sessiles et peu fournies; leur
peu sensiblement éelianerts, plus coui
arrondis, fondans, pleins d'iuic eau pli
leur j)iMU est rouge
la plus fbiict'e ct ju.stj
troue
;pie
d'un '
les SOI
totales ,
et beai
Mi-RtSlEll,
it ordinaire:
ut plus étah-s, se
e espèce de jiyramidi
feuilles sont ovales,
j rd j)lus (tnicé , portées
li.sposecs (
nt ovales,
oup ])hlS I
h a i r , tandis qu
difl'érentes varié
siblement acide
teinte la plus pà
facilement de 1;
tons les fruits d
r."arbre (pie nous venons t
jioiiit encore trouvé dans nos f
comnuin à fruit rond, de Du]
et qui croît dans les i;ampagtn
moins relevé
:s elle pa.sso,
1 i)oiu pre no.
1 est toujours plus
. du M(•ri.^i<•t•.
re n'e.sl point h Ct
L (|ti(! iious ne connu
itn.lans 1.
aticm.
acquiert
de vingt
ticiinent
, comme
dentees,
sur des
. Los flenrs, plus
niöme en ondjcllos
ntiers, rareiucnt ou
•erls. Les fruits sont
re.sque toujours sen-
1 les Varietes, de la
cette peau se st'pai'e
oins adlu-rentc dans
.spoMtanee <[u'on n'a
jias ; c'ost Ic Cerisier
igncs, lesvergers
Mous stippysons
que cet arbre, venu de graine, s'éloigne moins (|U'
p r i m i t i v e , donl sa manière de croître et de se p _
Les variétés du Ceri.sier vulgaire, telles (pie les .lardiniers et les (Àillivateurs les
considèrent, ot telles qu'ils les qualifient du nom d'espèces, sont beauccrap plus
difficiles ii distinguer les unes tles autres, que ne le sont les variétés du Merisier
entre elles. Dans celles-ci, le fruit, depuis la forme très-prononcée d'un coeur qu'il
a dans l a G n i g n e C oe t u -dc-Ponle et le gro.s-liigarrean rouge, jusqu'il la forme ovoide de
la Merise sauvage, eu présente plusieurs aultes as.sez disliucU-s ; la chair ferme et
cassante de plusieurs Bigarreaux est bien différetile ctdie de la plupart de.s
Guignes et des Merises ; enfin la eoideur pâle .
blanc contrastent beaucoup avec la couleur lon^
noir. Dans les Cerises au contraire, la l'ornu!
presque toujours spliériipie, uu peu aiqilalic
variétés, la peau esl assez constamment
teinte ou plus foncée ou plus ji.'de , dans
peu plus petit, dans une .saveur
acide , ([u'on pourra trouver les c
"P
les antres variétés de l'espèce
•<q),iger doit le ra|q)rocher.
:lisliucle;
de cd le
la (iuigne blanche cL du Bigarreau
; de ht ( l u i g u e noire et d u Bigarreau
fruit est moins variable, elle est
; la base, •epté (ptehpi.
itgc ; qu
reledifférentes
variétés. Cela n'a pas t
, ri„.s <„
actères 1
•hé les Ja
les plus légères différences, les
entre ees fruits, pour leur doi
d'espèces distinctes. L'observateur exact, c
d'après les(|ncls il puisse désigner ces jiretei
rarement trouver, mais encore il lui arrive s
les différences qu'on lui indique el (ju'ou lu
Au lieu de toutes ces nombreuses variétés,
peu plus gros ou un
?c, ou plus ou moins
d serviront 'a faire reconnoitre les
dinicrs et IcsPt'piniérisles de prendre
des nuances même, qu'ils ont pu remarquer
;les dénominniions différentes el les qualiller
b i c u prononcé, cl qui sont pour
souvent selon le climat, l'tîxposi
arbres; au lieu, disons-nous, de toi
]dns utile de chercher à les réunir (
alors plus distincts et uiieiix caract
composer UD travail conqilet eu c
a rassembler, (ju'il eut fallu, pu
tances beaucoup plus favorables •
tronvé.s cette aniux^, oii l.i plupa
les pépinières où nous Jtous ])r(
seulement (pudques rapproehenu-j
pii po
cherchant des
s espèces
ni de poi
j i l r e .
•nt plu
caractères conslans
i-seulemcnt en peut
il peine reconnaître
I plupart si peu constant'
:)n, le lori^ein et ([iiehpn
os ees variétés mal délerm
isés. Los
genre , i
• pouvoi
e celles
oui pas de caracti're
.•s ((u'elles changent
fiiis selon l'âge dos
inées, ne scrail-il pas
ibres de groupjies, ([ui seroient
ations tpi'il faudrait avoir pour
longues a faire , c t si difficiles
:uter eu entier, des circons-
;s([uelles nous nous sommes
, Cerisiers n'ont jias porti
ns dc les observer. Nous
l une nouvelle manière dc
Ce
ainsi la
• Fn,
I. Ciiii.-
(Ulu-i
•ti il,ml h, chair
m a llc.li' « iiii.il,
pi-cscntcr (piclii
(le CCLIC varictc
ou (Icu^; pistil;
clilTcrci
£.,« blaiiclul
.nl]l.-. Iiia.1,1
Lu». I,:. 2. l
ulagcs
; f m i t s , dans
oH'rirons donc
d i s l i i b u c r les
cililcr l'él,ude,
••e.nla
Arli. !•-..
r plus ou luoiiis acUh.
. „as. ,.1. â.
)nl < qu
:ni\; uniis il u'v
Quelques llci
la loen.c ,1e
dc lels.
; aussi cet arbre n'est-il cul
e pas, les IV,
-Il pfoduisent •
Is se ilé\e]r)pp(;nt sous
des aulrcs lleurs est
trop ai.ide pour être