s du souiuiior, étaient nécessaires p.iur recevoir «les coins eu fer. Ces quatre
au-des
iiandes ser
laisser le pass.ig«; à un bi^iuine qui Ici
seront percées ii l'extrénulé, «pii sera l
un coin dc fei'. On scellera contre le
sera égalenu-nl percée dc irous dai
on introduira des coins dc fer, et l'appareil sei a solidement établi.
Nous crojons que deux de ccs jiressoirs seraient nécessaires dans ui
n'y a qu'une nuMile , el qu'il cn faudrait «[uatre pom- deux meules, ou a
afin que la pâte eiit le lems de re.stcr davantage sons la presse et di; s'égouller complètcment;
•:iièr(; !i excéder du noudire de pouces jugé nécessaire pour
a les premiers travaux dc jircs.sion. Ces bandes
tournee vers le mur, d'un trou carré qui recevra
nnn-, eu haut et cn bas, une pièce dc fer qui
lesquels entreront ]cs quatre bandes ci-dessus:
:i ....i:,i .1.1-
1 moidin où il
n moins trois,
chaque pouvant, par ce nulycn, être laissée aux elVorts dc la pression
pendant que lo travail se continuerait cl sc ferait allcrnaLivem«-ut sur cliacpie
prcs.soir. Aix, où l'on ne fait usage que de presses cn bois, la pàto est mi.sc en <!onx
tas sous ces presses, elle y reste h peino une heure et demie, ot il est très-difdcilo,
jjour ne pas dire impossible, cpi'elle s'égoutte a.ssez pour (juc le propriétaire des
Olives, ou lo cidtivaLeur, relire ri^cllemcnt toute l'huile qu'elle contient.
Ln abus qui a oncore lieu dans les moulins ptddic.s, ii Aix, c'cst que le premier
cabas appuie sur le sol do la maye, par conséquent s'ind)ibc conlinuellemcnt d'huile,
et ne peul jamais être desséché; et dans le partage dos grignons, qui a lieu entre le
maître dc motdin et lo proprioUiire des Olives, les denx cabas dti fond sont toujours
rt'servés pour être jetés dans h grignonière ou le depot des marcs d'Olives.
Eu préseutaut des idées sur le porfoctionnemcnt des pressoirs à cnq)loyer dans les
moulins pour extraire une plus grande quantité d'huile, nous n'avions"<iucl'cxpérience
tic MM. Bernard et Michel pour guide; mais un bulletin dc lasociété d'agriculture
du dc-partemeut de l'Hérault nous confirme ce que nous avons dit sur l'avantage
dc substituer, it la force motrice des hommes, le cabestan que nous avons figuré,
puisque l'auteur des observatitms assure (jue danslcs Cévennes, où fou n'emploie que
des presses en bois, deux hommes qui font agir le cabestan, obtiennent une pression
plus forte <ptc coile des dix onvricrsqni sont nécessaires pour serrer lorsqtt'ou ne met
cn ac.ti(m «[ue la seule force des hommes; h combien plus forte raison une presse dont
la vis serait en fer, uc promcltrait-cllc pas une dessication complette des gri,«noDS,
et uc serait-elle pas, par conséquent, de beaucoup préférable aux pressoirs en bois,
puisqu'elle offrirail l'avantage précieux de permettre une fabrication plus soignée, et
d'assm-cr aux propriétaires ou aux cullivateurs la totalité du produit de leurs récoltes?
E X P L I C A T I O N DES P L A N C H E S.
n. il. Un r
i5. Un r
11 dc l'Olivier odorant, do grandeur naturelle.
u d(; l'Olivier d'l''.uroj>e. Fi^. i. La corolle, les étiimiues et le pistil, vus à la
lou]ic. rig. 9. Le cniice, \u de même. Fig. 3. Un fruit entier de grosseur naturelle.
Fifl. /(.In fruit cuupt; liorizQutiikmeiit et laissaut voir le noyau. Fig. 5. Le noyau.
Fig. (). L'amande.
fl. 26. Fig A. el li. Deux rameaux dc deux dill'.aeutes sous-varii'li-s de l'Olivier d'Europe sauvage.
Fig, i. Le noyau du fruil dc l'Olivier sauvage.
5. 3i