a.ssorti, cie r.aiilrc la coupc pal
.41eiralliaii'e;I lanioiliedeltourneiil;
K est la coupe du c
donne i.ssue aux Olive.s hr
le milieu dc la mcmc macldne. U esl le creux du liassin;
axe oil colonne de fee au.onp de l.aipielle les Icvieis V V
anoude rcrcpii entre duns la colonne; D est le canal qui
:s; li representerintcxvalle entre la ineule ct lemilliairc;
C l i n t c r v a l l e entre le rcliord et la meule.
Empruntons île Caura cc qu'il y axait dc plus essentiel a faire pour a|i.sler les maeliines
et pour opérer le tritorage. ..Que le bassin soitbicu demveau, que les meules
en roulaut soieot constamment éloignées du rebord d'un travers du petit doigt, qu elles
ne touchent pas au champ du bassin, de peur quelles ne le meurtrissent; qu il y au
entre la meule et le milliaire uu doigt de jeu ; s'il y cn a trop, on le revêtira d tnie
corde dont la grosseur sera égale ii ce rpi'il J a de trop de jeu ; on roulera eette corde
autour du milliaire. (CATOS, c l i a p . ï o . ) » o . •
On voit par ces détails que les incnle, étaient suspendues sur 1 essieu; elle, i agis-
.saieiit doni pas par leurs poids sur les Olives ; mais elles dechiraient la ehaïc de ces
fruits sans bro, cr les nojaux. Celte di.spositiou, qm contribuait beauconp . accclerer
le travail était regardée comme es.seutiellc, parce qu'on croyait qu en firisant les
noyaux des Olives, on donnait h l'Iniilc un mauvais goût. Pour prévenir cet inconvénient
on clcviit ou on .abaissait les uicidcs, selon le diametre des Olives. Craiime il
fallait'peu de force ponr détacher la chairdes Olives des uovaux, le naonvcmcut des
meules était entretenu par des hommes oo par des àiies. Ou ignore le tems ou l on
cniplova des chevaux ponr les faire tourner, et relui encore oii 1 on prolita, ponr le
même objet, rie l'action de l'eau, qni avait été appliquée aux moulins à farine du tems
d'Au.uste. H est rerlain qu'en Provence, an coumicncemcnt du penulticme siecle, les
,™»&!î»5a»fféeaicntmisen mouvementpardesmuicts ou des chevaux; queles n.ottlins
à eau étaient à rodets, conmie ceux !i l'ai iiic; qu'il n'existait que de,ix mauvais
pressoirs dans chaque moulin, et que les moolinsii recense u'exisiaieiit pas encore.
C'est depuis le milieu du ilernier siècle qne l'art ,1'cxtraire l'huile d Olive a commenec
il faire dc plus grands progrès, ct qu'on a emplojé de meilleurs moyens pour bien
brover les Olives et les bien prc.ssnrer. Les recenses sont devenues trcs-nombrenjes
pour avoir riiiiile, qne les procéilés des meilleurs moidins ue piravaient pas parvenir il
exlcaire.On a recense enfin l'amurque ou la lie <|u'on aceumul.iitdans leseaquiers. Au
massé
lieu de jeler cclle amurquc, apri-s
l'a fouillée clcxploitéecomme um
pour les propriétaires de moulins.
au perfeclionnemenl de l'extraction de l'iiiii
des eidlivatciirs et des popriétaices des Oli
ue prceien
nt dû esc il
L'opinion des anciens au sujet du princip
daus le l o i s des noyaux, n'éuiil ipi'un préj
Comme a Aix on fabi ii
broyant les noyaux i f Ol
ail élevc'c ii
',el lesavanlages ,]u
rlcurcnpiililé, dim
nuire eonsidèrablet
irl'ace, on
lut résultés
la convict
connaisse,
quo ces ra.
a faussem
«piclqucs
La plan
aient élé
soi\ante-E
pieds de
Irenle-dei
uix n'ont pas les
It attribué ee ,ju
sectes qu'ils conu
,e 33, flg. 3, in
.iistriiils. Il est
pieds de long
ami'trc sur di:
. auoets: l'arbr,
i.sible il la qiialilé de l'huile contenue
des expériences directes cn oui donné
'l'hudc la inellleure el la plus délicalo qu'on
i et en les pressant fortement, il est éviilent
Icura supp,»sécs, ct
•aises ipualilés q
•lit cire rap,K>rlé au:
Il dans certaines cirr
d i q u e l e p l a n e t l ' é l , ! . a t i o u ,
mis en iiiouvemenl par le
:icnr sur dix-huit dclargcui
laliè nielles de
-Imit poiic
de la roue h „
est fixée sur le i
me il aiigets 11 i
«li\is<.'C pour I
uigcls porte I
OLEA.
Jigiire de l'enscnd^lc, que la pc,
deux meules à 1;. fois, ct par cous
<r01ives pour deux prcs.sura-cs.fois sous le pre.s.soir, se nouiuio mi
Le mpporldesdiar
tK'tre.s de,':
plus oumoiusdovît,
deremlrclcsdeuxro
bien pressurer la pal,
! des Oliv
il esl inutile de Iroji i
cccl.Terl
ir de l'eau est siiifisantc pour fai;
so(jucuL broyer on même loms ]a quantité ordinaire
.
Cette quantit(i <le j)àtc d'Olives, qu'on met en une
looufe en l'rovcuco.
mes dentées varie hcauooup, selon qu'on veiitdonner
de. QnaïKÎ lo volume «l'eau csl considérable, il suffit
[l'ailleurs, comme il faut beaucoup plus de toms pour
i, qu'il n'en fiiut pour ia faire cn broyant ces fruits,
niouvcmenr. dos meules pour la triltualion.
lans lequel les Olives sont broyées; D est une
ndc (pic celle dc la moulo. C'esl sur cette pierre
les Olives sont broyées; B indique la moule,
A esl la coupe <lu rua.s.,il dn Iws'w (
pierre de taille d'une qiais.soui' jilus gra
horizontale que la meule tourne el (]ii.
qui a environ cinq pieds dc hauteur et ((uiiize pouccs d'i^paiss
autour dc l'arbreC, et sur elle-même autour d'un axe de fer U, i
son centre. Dans la plupart des moulins, la meule est placée t
mais on pourrait l'on éloigner avec avantage, en faisant portci
liudre de deux pieds dc diamètre, rt^.scrve de la pierre de taille D, «jui forme le lit s
lequel la meule tourne; alors la meule, on faisant un tour, parcourrait un plus grand
espace, el le même volume d'Olives serait plus promptement etplus facilement lù-oyé.
Lubassin csl revêtu intérieurement deplanches parfaitement joinlcs et assctnhiéës ;
il e.st mieux encore de le revêtir cn pierre de (aille. On donne aux planches ou aux
pierres de taille qui formcnllcs parois inléricurs du ba.ssin, une grande inclinaison,
alin que la pâle d'Olives, qui est poussée par la moule contre ces parois, rctomlje
d'ello-mêmc, et se place de nouveau sur le pa.ssage do la nu-ule.
" " rrêtc le .
ir. La meule tourne
nielle csl traversée à
5-près dc l'arbre C ;
ub r e C sur un cy-
Lorsque les Olives sont bien broyée
dans le ba.ssin, et jette avec unepcllt! de bois
bord, la pâte d'Olives; deux metmiers en rer
appeh's cabas, qu'on nomme cn langue du paj
successivemcul sur le pressoir, ct ou deux ta-;
au lieu d'être d'une sparleric fine, sont faits
défaut de. no. pouvoir être placés ou nondirc et on uno
de retenir beauconp d'huile. Ces pcrlc.s n'auraient p
cab.as fussent en spartcrie fine, qu'on ne se servit que
et qu'une plaque «le fer fi'it mise entre cli.iquc scourtir
la meilleure huile , et en ayaul long-toms fait fabrique
'r dc.sc.cnd
stu- uue table de pierre placée sur le
plis.sent alors des ospocos de paniers
i scoucrto, ou scoiirliu. et les placent
parce que les cabas (kml «m se sert,
•ec des cordes fortes , qui joigneut au
le pile sous la presse, celui
vices dc colic fab
sur kis procedes «pii pouri
v.ilion de cotto portion de
du]ihis grand desintc'rcss«
de spartorie fine, sulfirai.
sonl, a A i x , la (inantite (
mis en un seul las SOILS la
cliaquc cabasangnu-ntcrai
nereticndraitqnctres-po
d'nncabasdansfautro,ei
t il a cm dev.
nt assurer.
e le.-
r nous Ic.-
as lion, si on e
de i>resses avec dc
. Etant du pavs oil
r, M. .Michel apu (
liqucr el nous don
csetauxcullivateu
ail que les
: vis cnfer,
sc fabrique
ment. 1 que
nt pour contonir lo trilnrag<
rdinaire q . ùm pro.s.sc on uue
pre--;se..Les plaques de for ci
>nLd'autanll,i force dekiprc.s.'
. ,m pasdn tout d'huile, pa,
cch.i du fond «11 "
5 la conscrit
avec l'air
1 plus, fails
s f «'lat.
arhi c que la mcnle.
leineiil dc.ssécbé, le serait aillant que lo pJi
bo moulin
desOlivos et I
description <[.
noulinssappropr
iq ou trente cabas
le ludt émines d'Olives, qui
lis, ot qu'ils pourraient être
nlaires qu'on motlrait entre
n, c l la paie ainsi comprimée
«lu'elle ne retomberait pas
ctucl, ne pont être complèt
le pressoir, ropr
i pression de lap,1,
c nous IraiLscrivon, : f.a
. ô.'i, sont ccux en usage pour le détritage
•lui que Duhanud a fait figurer, et c'est sa
i représente le plan, à vue d'oiseau, des