inspirant au malhotiro nxAlyi
mutila lui-même; ct i 1 élail s
passion tardive, la déo ssc Icel
do Pin était d'ailleurs i ••iiiploT
dc ce dieu.
Le l^in était aussi c onsacrc
un accès Oc frénésie, pondant lequel cet inPorlnné s<5
r l o point de se pondre, lorsque, toncliée d'nne cornangoa
on l ' i n , arbro qni lui était consacré. La pomme
c dans les sacrifices dc Bacchus, los orgies ct los pompes
die
portant h la mai
Properce doniti
b r e , et on lui o:
Pau d'une man
Pitys fut, dit-ci
donnait la préférence i
rocher , qu'elle on ir
la faire revivre sons ut:
appelèrent, de son nor
des larmes, par la liqi
ncorc le Pin n
faisait dos coui
reparltcul.ère
La lumière dos éclat;
offerts h Isis ou it Cérès.
t;ourses'a larechoiohe do
i S\Ivain, car celui-ci o.st .souvent représenté
de Pin, oît tiennent des Iruits du même arbre.
1 Pan; il dit que Icdieu d'Arcadic aime cet ar-
. Une aulre fable <iuo ccllc d'Atys fait intervenir
'exisicnoc du Piti. L u e jeune nyntphe nommt'c
ms dc Pan c t d c Borée. Pan, irrité de ce qu'elle
jota, de rage , avec tant de violonco oonli-e un
èmc toi
, a l , h
" du malheur dc Pitys, pria la Torre de
su un arbre qne les Grecs
semble encore verser
lovent Borée.
5 sacrifices mystérieux
urut. Borée, touch
autre forme, et elle fut cl.
, PITYS. C'ost le Pin q u i , dit la fable
•ur qu'il répaiid lorstpi'il est agité pa
[lo Pin onfinnmu's éclairait toujours f
. Celte dernière s'en était, dit-on, ,
fille Proserphio, enlevée parledii
:rvte pour di
I des Lnfcrs :
r SCS
Jllic
m
•endhg.
c Cere,
•s pro Inmpudc Pin
C'est 11 l'origine I
souvent au Pin.
Les jeunes mariés
ct des torch
aété souven
? toeda datur. Ovn>. Fust. IV.
1 do Toedifera, que los poètes de l'antiquité donnet
naicnt leur nouvelle épouse dans lenr maison que la nnit,
0 Pin los précédaient toujours dans leur marche. C'ost de là que Toeda
qiloyé, daus uu sens figuré pour le mariage morne, par les poètes lathis.
ton pertasum lhalami toedoeipiefidsset. "\''jr
Ne,
?tet,di toedas, aut h
conjugis u
PC in farder
Ces fianibeaus de bn
monies expiatoires, li j)a
destination, on les cndu
rest ne 1
lit que, pi
i d'uti
lit inducloe cet
L'usage de bri'ih , pn.
avant l'invention des cliandel
treizième siècle; et les habilans <Ie
autres contrées, s'éclairent encore i
des hautes montagnes tin I);
brûlent très-bien. Cc bois e;
il est transparent. C'esl peut otrc
dont Pline a riil ; Sextum genus •
feliqua, parciare Uquidioreijue i/
les ren
cire ct de soul
ilo sulfure irvd<
ot tii
^ncid. r
YINO. ILid.
us.ige con.sa(
)re plus propi
OVID.
dans los c
mpli
gmla. Lib.
ployé lo mot f l,
une disposition <
des cclotsdodifferen
bougies, <jui ne ron
5 monlagncs, dans lospi
ivcc descopcauxdcPin.
i f o n t , a v o c l e b o i x h i P
[uclbis si n-sincux, ([uo
cottc cspiTc quo los aiii
•st Twda pivprie die tu,
'Min in Picea, Jlanunis .
•onendanl .uie nhisictir.^
s po signifie
. Lcs Pi
c pa
ibois, emit tres-commur
oute pas plus haulqite h
vsdu nordotenplusieiir;
C'i'st aijisiqtndos ])ay.san!
n Mtii^ho, dcs torches qu
coupe on lames minces
ions appelaienl Ta-da, c
ahnndanlior siicco ipian
•c liimiiii sacronun etian
amours nncicns out cm
.li;.rc,.,ueponrdosigno,
la, sutvanl Thc^>hrasto
produisaient souvent une toile surabondance de résine, quo tout le bois, l'écorce et
les racines môme en étaient enlièrement pénétrés, ce qui fini.ssait par faire jnourir
l'arbre, qu'on disait aloFS converti cn torche ( Ticda). C'esl ccl état, celte alfeotion
morbifiquo qui rendait les Pins plus propres à servir dc flandjcr.ux pour ies cérémonies
sacrées ou même pour l'usage connium.
Le bois de Pin élail aussi employé k la construction ties bi'udiors .[ui scrvai
ont a
C'est
briller les morts; .sa grande combustibilité le rendait irès-jirojiro ii cet nsagc.
ainsi que Virgile, nous roprésoiitant les Troyens occupés à rendre les dci
devoirs à Misèno, dil, on parlant .lu btichcr qu't "
Principib pinguem ta:dis et rohoi
Ingeutem straxêrepjram
ait élevé:
Mm-lil \ r.
x jo 1 Isthi me couronne faite
s ont été coupés du
morem cxiirpare,
[lyant pris Miltiade
•une le Pin s'ils no
'Ut lo sens do cette
"C rcpous-
Chez les Grecs, les vainqt
de branches de Phi.
Lo fruit des Pins était appelé par les Grecs canos, slrobilos. Los Romains lui
donnaient le nom de nux pinça, ct quohpiefois colui do pomum. T.e jioiqdo ayant jeté
des pierres contre Vatinius qui donnait un spectacle tie gladiateurs, les Édiles firent
défense de jeter autre chose que des pommes dans l'arono. On y jeta des pommes
do Pin .-sur quoi le jurisconsulte Ca.sélins, coiisnlté si dos pommes de Pin étaient
censées des pommes, répondit que c'était tUîs pommes, si <ui los jetait contre Valinius
: nuxpinea, si in l'atinium. missunts es, pomum est.
Les Pins ne repoussant jamais de leurs racines, lorsqu'une fois
pied, il élaitpassé en proverbe chez les anciens de tlire : Pini i
pour dt-sif-ner une destruclion totale. Lcs habitans de Lampsaqti
par surprise, Crésus ios menaça par un héraut do les .h^trtiiro c
lo renvoyaient. Los habitans do Lampsacpio ne comprenant pas
mcnacc, un des anciens leur expli([ua comnionl cet arbre, uue fi
sait jamais, et Itvs Lampsacicns effravés mirent aussitôt Jliltiado
La pou.ssière ft^condanlc des fieiirs mâles des Pi
1 lif
•abo
el il est
•lté, pous-
arrive quelquefois, dans les pays oii il y a dc i;raiides forêts dc f
•P"
sière, enlevée par les vents, a été tran.sportée à des distances jihis ou moins éloignées,
ct qu'après des orages la icrrc et los eaux s'en trouvaient convcrles dans une étendue
assez considérable. Cola a fait croire autrefois ii l'oxisionco de pluies de soufre ; mais
aujourd'hui qne la cau.se de ce plu'noinène est bieu connue, il n'étonnephisqnc ceux
qui igiioront connnont il so produit. Le docteur MOU(;I;OT, de Bruyères, à l'amitié
du([uel je dois nn mémoire trés-détaillé sur les Pins qui oroi.s.soiit dans les Vosges,
m'écrit que ces sortes tlo pluies causées par lo pidloii des Pins, sont as.sez ooiniuunes
tlans le pays «[u'il h.ibito pour qu'il en ait élé ]ihisieurs fois tiMuoin, ot qu'il on a
éo <lerniH-o. I.e pcdh-n cU-s Piiis n'a aucune
r<;>ine, car si on mot lo feu cn petite masse, ii
me ciiillcr.ivcc do fespril-do-vin, il reste n sec et
de cchii-ei, ot il .'éteint .m lieu do continuer à
u''loqu'impai faitomcnlqt.aud onl'ydélaye,
• )" de
brille
ol ne parait pas
lal ct lentement
prc.s<pio intact après la
briller. H est plus h^gcr
ues'ydis,s,mtj.nnais,.
'i'iiLites les espèces de 1'
les 11 privées lies aiilres i
mures arljiTS. Miili;r,- loi
cstinipiissibleilc les l'aire
•ijeli
; mis dans
eoinlnislio
que l'eau, „
larilepa
.s i.e peiiv
mens de reprodoetie
; les soins cpi'oii don
•dèsqii'
,iilliplier,p,eparles
e le •epo
ences; la;
a la phiparl dcî
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Je leui idliplieuKpied'u