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Les
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Pins,
nt c'lanccs et([ue lamoitic inférieure ile leur tronc est restée nue, quelques
t'eut croitrc entre les arbres assez éloignés les uns des autres, ccs plante.«
ais tros-nombrcuscs, ct le sol a toujours un aspect aride qu'on ne trouve
autres forets. Les plus grands arbres mcmc ont de la peine à venirmclés
:nl par disparaître des Jicux oît ceux-ci sont
arbres, sont sujets k «
e l'on ne peut toujonr
ans los pays de montagnes
aines maladies; lei
inpèclier, tels que
s pa
ns, cl les Cliènes fini
i en grand nom
Pins, comme bicu d'autres ;
sont exposées h des avaries qui
mens des terres, si communs dai
ics ou les grands dégels. Ces ébou
repeuplent h la vérité assez v
des aniuiaux capables do br.;
st qui los prolègont dans loui
lemcns détruisent plusieurs arpons dc for
si on a lo soin do défondre le terrain dc l'apor
les piaules qui y croissent il'ab.nd avant les
•nfance. Sans cette précauiion , ccs arbres n'y
reviennent qu'il la longue et fori dilliciloment. Les chablis sout dus aux coups dc
vent; mais ou remarque que leurs racines .sont le plus souvent gâtées. Le frottement
des arbres les uus coulro les autres occasionne dos loupes en f.,nne d'aunean; alors la
partie j,lacée au de.ssus prend seule do l'accroisscmcnt, tandis que l'arbre languit,
périt ou sc rompt fréquemmont dans le voisinage de l'excroissance. Les Pins ainsi
affectés de cluuicres, comme s'oxprimcuL los biiolierons, ont les fouilles moins verles.
D' s oxcroissauces sont <' abondai
rlos
.es a uno trop f: Mi e sncn
et c'cst principaicmont sor ceux-ci que croit le Guy parasite.
Les inicbcroûsobservcntaussi cc .[u'ilsappellent desiow widés, donllcsccrnes
ou crues annuolles sont moins adbérenles les unes aux autres ; on ne s'aperçoit dc cc
défaut qu'en travaillant le bois, surtout en le labriquant en planches, qui se gercent,
se fendent facilement et sonl tie moindre durée : ils croient avoir remarqué que les
arbres qui se trouvent ilans ce cas ont crt"i dans les lieux
fus violeus auxquels ils se sonl trouvés sans
•cc des couches annuelles, et ils appuient ce
bois de Piu e.st colui qui croit aux expositioi
itbustibililé des Pins rend leurs forèls beaui
faillie
La
que cellos des autres arbres. Ces cmbràsetneiis arriv
ib font ,1e très-grands ravages, parce (ju'on laisse fin,
cn arrêter les progrès. Il est très-.liificile de sc ren<lre n
que les Pins brûlent par lo sommet et .pie la llamme qu.
s-baltus des vents
ie exposés,
s abritée.
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lies vei:
iiijelles
iiiment
nidre s.
les
ipèché
«lue lo
ndies
; de
Dans les Alpes et dans los Vosges, il;
acci<len5, on tâche de l'arrêter cn pratiqua
dc le, faire lors «les iuccndios dos autres foré
Bouleaux, où le feu prend a.ssoz souvent pii
par un moyen fort simple, selon M. Si.co.vn
forêt enlièro. Lorsque le fou a pris dans t
nno autre partie opposée, plus ou moins
l'étonduo dc l'incendie. Il s'établit un coura
vors le second ; ce couranl porto los flarnr
«pii sonl outre deux sont consunu's ;
au milieu d'un c.space vide, le feu
échappe k l'embriiscmont.
Los cbenillosde plusi
Ph. bombyx Pithyocm.
grands dommages aux 1'
n Sibérie,
is chercher
ndics, par.
I dt^gagc est t
•il assez rares; quand
ni dos abattis , comme on est dans l'usage
ts. Dans les forêts de Pins des Landes de
rla négligence ilospasteurs,onl'cmpêche,
i r , de faire «les progrès et dc consumer la
bois, 01
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rascmcnt, selon
d'oinbràsoment
I, tous les arbres
intparsc troi
reste «le f forêt
nirs phalènes, entre ;
tpa ot Ph. bomhj-x 1
ins. Los anciens out
Urcs cellos des Phab
lonacha I.,i.%., cause
nu bombyx Pint,
causent quelquefois de
lilies et leur ont douué
le nom qu'elles portent oncorc aujourd'hui ; Pinorum crucas t/iias Pilyocampas
vacant. PLIS. Les ch oui II es de la Pithyocampa (I) sont souvent si nombreuses sur
un seul arbre, et elles sont si voraces, qu'elle peuvent en manger toutos les aiguilles
en un jour. Los Pins qu'elles ont ainsi dépouillés de leurs feuilles périssent infailliblement;
malheur k la forêt on ellos existent, si on ne chorchc (las k los anéantir ct
k empêcher lour rcproihiction ponr l'année suivante. Cos cbenilj.ïs onlété plusieurs
fois si communes dansle nonl «lo l'Allemagne, cn Prusse et en Silésicsurlout, qu'oll.^s
ont commis de vastes dégâts, dévoraiiL, dans l'e.spaco .le quchpics jours tics milliers
d'arpcns de forêts do Pins. Pour remédier aux terribles ravages exorc<-s par ces inseclcs,
on a été obligé d'employer toules sorles do moyens V . Onadéf.îudn la chasse
des pics, df^sclioupltos, de.s ougoiih'vonts, dosmc'sangos ol .lulrcs oi.soaux fjiii senourris.
scnt dc ces «•heniiles, ou «les phalènes qu'elles produisont. On a aussi fait respecter
los cbativos-souris .pii les dévorent. Lcsfiirêtson s'étaient montrés ces insectes
onl été entourées de fossés ; on les a nettoyées en brillant Lous les dt-bris de bois , los
feuilles qui tombaient des arbres; on los a fait parcourir ])ar des troupeaux de
cochons, parce qucceschcnillos abamlounontlcs arbros on automne ot pendant l'hiver,
pour descendre a l.nirs pieds, s'y cacher sous la nioussiî ou s'euf.mcor dans la lorre,
ahn de s'y transformer cn chrysali.lo. et y rester jusqu'au jiriniems, où ellos doivent
roparaitrc sous leur dernière forme , colio d'in.'^ccle parfait. PEII.laiil l'élé, lorsque les
niâlos vollif^ent. lesoir, après les fomcllos, alin de les féconder, on s'est avisé d'allumer,
au milieu dc ccs forêts, .les feux donlla llainmc attirait los phali-nes ct les consumait.
Aces movcns généraux ou cn a joint de plus dirficiliîsai)rati<îuer dans uno vasti^ forêt,
lois que i'oidèVemcnl, par la main dos liomm.-s, des nid.s dos chenilles, la rccherchc
des chrysalides on Iiivcr et au piomior printoms ; enfin, on a fini par mettre le feu
«lans los cantons cpii ('taionl los jdns infestés des injoct<;.s, alin do los anéantir oiitièreinent
par cc m;)you , et do li^s ouqiêclior «le s'étendre dans lo voi.siiiago.
On voit quehiuefois les Pins et les Sapins, ot mt'ine des firêts onticres dc ccs
arbres, jaunir, k commencer par leur sommet, so «Icssoohor ot mourir on peu de
toms. ('otto sorte d'i'pidémie, qu'ou appelle cn Allemiigne, où elle esl ooimmine,
vvurmtrcckniss, {socherosse occasiomiéc jiar la piqûre des vors ) o>t l'ouvrage de. la
larve très-pclilc du Scolylus typagraphus Oi.iv. [JJerme.'.tcs. Liv. Boslriclius. 1''.VE. )
Les galeries divcr.soment contournées ot ramifiées qu'elle creuse sous l'é.^orce des
aibiTs, bu ont fait donner h; nom û-imprimcur. Chacune «le cos galorics est habitée
(0 La clienille du Piu ( Ph'r :,mpa) e
tdiede
ceux ([ui la loucliiîiil. Ellp.-i même la fsculu' de d.inler c« i>uil> pir flocons a
Proctssicn lin ires i elle \il piriiriil.i'icmciu.siir lj Piiiuiiivage ; nuis on la lio
cbemlleshieniensocii'u', sur um- brandie qui . des cw;<ii.sde In g
fuit belle elfun bmiiie Elles ci sortem lo.ilfs à l.t hie, au k'vtr du soleil, puti
leur pflltice. Uu iil dv soie, qii elles Itii^-eiii sur Iciiis Ir ices en Vi'loigiianl du m
1.1 route nu'i'lle« ont .i ti nir lDrjinrellt:s doivciily reiiliiT deux ou Irois heures i
mièivsiiL'iges, ce <im donne lieu .le ci-oin? qu'elles ixmrraieiil ' ' '
ridioniiii*. Elle» jwiaissonl éire loujoun nn attuiic', connue
»uiil'es, auprès ili' Forgw, de lies-bniis bas .nvec ceilf soie
main et «We. Cf ne sois est irès-forle cl d nn bl.ini orneiiié , ;
pourraît-il ptis travailler ici a iwrrtH:lioiiner riinvrjge de l.T na
• llftitilliablle
ig^aisous à la peau de
le chenille .iu rang des
e nus« sur les .t.ilres Pins el sur les Sapins. Ces
5 rép,-tiidfc sur le.hraiiclics ih f.-irbre elcbercher
guide pour ,y revi'uirel leur uianjuo
clienilles
l'arbre qui les.
qu.»H,r,lle ue
cellule .'ibre.liisi •tnbUbleàcelle qui découle du Ir.
in=qn'ap
uiSfUans nos déparlemeus u;éswit.
Oiilit, ily > quelques
ud>'v.dée, nia.ssiriicli(!e è h
liscr avanl les neiges. L'art ne
.m.-ts-"ed..r^.iiie dort la cavitó
brauclits de ci't atbre, et elle a
u bieu elle ronge la subslauce
L i x',it'nc'uit u nufsi d.'inunlrti que Mlle cliciiille
imiiuiit'meul j.ltn.jît'f Uiul
(a) Vviyer P. üalUAg^,
n a