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Vignes et de Figuiers dont les frn
Dattiers qn'il est impossible d'y tei
taclders, les Caroubiers ctavii
raient eucore être utilement employees pour ft
soit for
udrait tenter d'enrirh
5 arbres ntilcs étant
s croyons qn
a eu vue lei
..Anjourd'i.
es, de la T
jrbres, soit f'i
l'Amcrique, <lout on v
et la nudtipliealion d
richesses de l'État, no
un Gouvernement (pi
qui n'en néglige aucui
nions du pays de Gè
l'étendue de ses j:
huiles est pour elle d'uu grand i
Ces écoles et p(>pinières, que ne
aux contrées méridionales, scraier
leur emplacement devrait être cho
des froids ipii se font toujours pl
surtout (Hre placées dans lo voisina;
<pii cn sortiraient. La première, qui S'
entre Nice et Toulon; peut-être con
ville, et les envirims d'IIières nous pai
pareil projet. Les deux autres écok
lor-que la plantation de la première
sujets y sciaient assez multipliés poi
pourrait être formée entre Perpignan
cette distribution nous n'nv
important par lui-même poi
tation aux environs d'Ajac«
convenable.
L'intérêt du Gouvernement se trou
non-seidement des pépinières centrale
les pays où nu climat plus doux perm
tage général cl particulier qui serait le r
réflexions (jue fait M. Bernard, ;
un terrain sur lequel on culliv
Mémoire, page iWJ « L a manière dut
les parties de la province ; en Provcj
faire connailre avec exaclilude combic
tiquent les experts : ils enteiulent p
rameaux pour produire un sac d'Olivt
aisément qu'il faut souvent plusieurs
d'autres fois uu Oli
issent point à Paris; les Orangers, les
,c lerre; enliu les Grenadiers, les Pismoindre
intérêt. Ces pépiinères pourdcs
essais sur l'acchmatatioo des
des climats chauds de l'Asie, de l'Afrique et de
a d'embelll
,e dcs sour
ces consid('rali(nis ne
dill'(TCutes branches i
surtout que la France
icaue el des Flats Bom.
iouales, la culture de I'Oli
ler(jl.
sol. La plantation
s les pins fécondes des
rontpas déplacées, sous
prospérité publique,, et
:, par les nouvelles réuains,
a plus que doublé
et le commerce des
us croyoi
t fondée;
dans i
xs ou m<
le dehinfoi
ulde d'établir
ans trois poii
;t Narbd
is pas compris i'ih
avoir seul
), nous en.
les arbres propres
dement distans, cl
qui fût le plus possible à l'abri
sentir cbîupie hiver; elles devraient
ifin de faciliter le transport des sujets
•ail centrale et principale, pourrait être établie
iendrail-il de la placer près de cette dernière
liraient très-convenables pour l'cxéculion d'un
ne seraient formées que successivement, et
.erail aussi complète que possible, et que les
auv deux autres. L'une dc celles-ci
me, et l'autre dans la Toscane. Dans
de Corse, parce que ce pays e.st assez
telle pépinière. D'après l'état de la végéns
qu'aucun emplacement ne serait plus
lié acchii des jiropriétaircs, s'il ordonnait,
is même des pi^piuières communales, dans
ulture (les Oliviers. Pour prouver l'avandlat
(le ccs pl.inlations, nous citerons les
i j e t d e la
•les Oli\ier
beaucoup. Dans les gr
(lu'on l'estime
jce J on
:n cette
•ar Olàu
•s dansl'
arbr.
lit pl.
^des villes, il s'élève quehp
, de vingt-quatre livres
valeur. L'estimation de l'Oliv
part, et qui varie selon sa qualité,
« Supposons à présent que l'on
est doux, il ne faudra pas ((uaran
aleiir considérable que peut acquéri
Voici coiuinc il s'exprime dans son
ie les champs plantés d'Oliviers, dans
s réussissent le mieux, peut servir 'a
ilture est précieuse. Voici ce que pra-
:bre qui aurait assez de
i.ed(^s fruits. On conçoit
1 Olivier rédait, et que
le VOlivier réduit varie
soixante livres, el il est
-edi
lée oil il d
pour f<n^mer
Le prefois
i
IS les lieux où i! a le
aile toujr)ursà la vi
intc sixniilli: Oliviei
ins à ces arbres poi
;lu foi , »lu
moins de
n prend à
i dans un terrain oii leclii
r former trois mille OUvi
réduits i par conséquent,
:1e pin
(pi
bit
jdc cenlniilli
i)c tous les auleu
qui a l e phis fail po:
pn connailre, el son li
acquis toute la perfeclii
O L I V I E R .
in bout de ce tems, le fonds territorial se trouve
8 5
enté
r l'Olivier, .^L Bernard est sai
:i déterminer et bien caract(
vail, couronné par l'Acadénii
1 desirable, si cet auteur eut (
observations. C'est ii cc travail, ain.si qu'aux observatio:
et aux dessins qui nous ont élé généreusement conn
qne nous devons la pins grande partie de tout ce qne ii
d'Olivicren particulier : c'est à l'aide dece secours pu.
que nous avons osé écrire riiistoire d'un arbre qi "
contredit celui
•isor toules les variétés qu'il a
! de Marseille, eût sans doute
\ plus de facilité pour faire ses
smanu.scrites,auxéchamil!ons
uniques par le môme auteur,
)us avons dit sur chaque espèce
;sant, uous aimons à le répéter,
•jour do trois ans àNic(
Provence et en Languedoc, ue uous avait fait coimaitrc qu'imparfaitement.
RECllEnCUES lUSTORIQUES, USAGES ET PnOPRlÉTKS.
Les monumens los plus anciens font mention de l'Olivier; il en est question daiu
la Genèse, au sujet d'un événement Li jamais mémorable, cetle terrible catastrophe,
dans laquelle périt une grande partie dn genre humain. Après le déluge, la colombe
apporta dans son bec un rameau d'Olivier à Noé. 11 est encore parlé du même arbre
dans plusieurs antres passages des livres sacrés.
Environ seize cents ans avant Jésus-Clnist, Cécrops, à la tête tl'une colonie d'Égypliens,
vint fonder Athènes, et tran.splanta avec lui l'Olivier daus l'Allique. Selon
d'autres, ce fut Hercule qui, deux ou trois siècles plus tard, et an retour dc ses
glorieux travaux, apporta cet arbre daus la (irèce, le planta
LU-le mont Olympe, et
le consacra h fournir les couronnes des »-ainqucurs aux jei
olympiques. Ceux (jui
avaient remporté les prix dans ces jeux recevaient eiVectiven
:it uue eouronne d'Oli-
vier sauvage et une branche de Palmier.
éraux qui avaient remporté des victoires sur rennemi étaient aussi couronnés
Ajirès la fameuse bataille de Salamine, où la flotte des Grecs défit celle de
•nèrent une couronne d'Olivier à Thénùstocle et ix
I.(
(l'Oli
Xerccs, les Lncédémonici
Eurybiadc.
Il est peu de parties d'architccti
dOlivier employées comme orne
estimées cn sont;
el il sa
Livcnt décorés,
it pour l'Olivier
récolte (jue des v
,erc„ ,[„•.,V..C 1,-
i dans lesquelles on ne trouve des feuilles
chapitaux des colonnes antiques les plus
111 roiipecl particulier. Ils tâchaient de n'employer
erges et des jeunes gens purs. On poussait ce soin
on confiait le soin de recueillir les Olives, (ju'ils
ir femme légitime. On croyait qne ces soins rent
les récoltes plus aboudantes, et l'on n'attribuait qu'à l'ob.servatio
s pratiques la fécondité des Oliviers de la ville d'.-inazarbc
•upuleuse
Toute rAtti(jue était couverte d'Oli'
rapportait le plu,
LcsAll.éniensl'a
x()li^
avoyai
s les j.roc
•nt |.orté.> (h
cn lems da
iers; c'était l'espère d
lit aussi celle duiil on j:
i-e, ctilsavaicnlUnitd'e
la connaissance dc tou;
•ant l'Aréoji
is les campa
Cili
• dont la c
•ulture
t le plus de soin,
estime et de vénération
lis les (l('liU(jui avaient
•t jii^és par lui. Cet angi
des in.spcetcurs chargé;
de
[t)Nii:u. M. IJcrntird donimilcM aperçusen ijfli. Lcsbieiis ri
que lus réiullau scruivut plus cuiisUlArables nufuurd hui.
iisidéijbkmciit aiigmcnld,