2 7 G PINUS.
Les oiseaux sont friands de?
graines des Pins, surtout des an
> dc la variété dont il vient d'être q
es des Pins, il fautremarqi
crochu en haut et en bas
;nt fait exprès pour détacl
Pinier, et pins encore de cell,
ceux qui se nourrissent des grair
Le bec de cet oiseau, difforme,
mités eu deux sens opposés , pai
des pommes de Pin, et tirer la g
Poury parvenir, l'oiseau place le
pour la soulever, ct il la sépan
"ne qui se
diet ijiiërie
ec le erocl
ndes du Pin
Parmi
la Loxie à bec
•ourbé par ses
et enlever les <
ailles
placée sous chaque écaille.
>n bec au dessons de l'écaillé
Les Loxies sont des
oiseaux tristes ct silencieux qui ne se plaisent que dans les forêts noires de Pii
de SapiDS. Leurs amours commencent au fort de Thiver. Ils font leur ni,I dès le mois
de janvier, l'ctahhssent sous les gi-osses branches dos Pins, et l'y attachent avec la
e dc ces arbres. Ce nid, qui est fort joli, est construit avec des fibres, tapissé do
1 de.1, u sorte que l'ii
ou des pluies n
Plusieurs anii
peut guère y pén
Rats, les Loirs, ;
forêts dc Pin se 1
à la disséminatic
ouvrir les écailles.
duit de résine en del
quadrupèdes de l'ordre des Rongeurs, com
lussi très-avides des graines de Pin ; les Écun
Le Pin de Masson, ains
Austral, le Pin à longues f
, plus de soins etde j
nidité delà Ige
ndes
iqnement des amandes de cet arbr
grain en frappant les cùues c
ne les Écureuils, les
uilsqni habitent les
, et ils contribu
les rocliers pour faire
t 20, qui sont le Pin
ndent, pour lenr culs
iniîigènes ou exotiques.
que les espèces u". 19, 20
uilics et le Pin Occidental, dei
- , - -cautions que tous lesautrcs Pins _
Ces quatre espèces, étant originaires de pays plus chauds que le nord de la F r . . . . ..
ne pourraient vivre en pleine terre que dans nos départemens méridionaux, et lu
seule mamere de les conserver sans risque, dans le climat de Paris, serait de les
mettre en caisse ponr les rentrer fiiiver dans l'orangerie. Pour aider la germination
de leurs grames , il serait bon aussi <le les semer daus des terrines remplies de terre
de bruyere, et qu ou enfoncerait dans des couches médiocrement chaudes. .Tusqu'à
I Austral; les trois autres espèces, le Pin de
Pin Occidental, ue sont pas encore vivantes
pré.seot nous n'avons encore que le Pi
.Ma.sson , le Pin à longues feuilles et 1
eu France.
Je n'ai rien ii ajoute
I ce que j'a
est à désirer qne celui q
n'est encore qu'à demi détcrm
se conserver et se multiplier q
De tous ies Pins d'Am.-riqu
de la plus mauvaise qualité
e pa
, le Pi
, et r
sont d'être rempli d.
qualité varie d'ailler . ..
sinenx sur los montagnes ot
concentriques sont très-éca
hérissé, après avoir été ei
Etats-Unis d'Amérique, pe
abandonné sous ce rappor
consomme dans le pavs, et
heu autrefois.
Sous aucun rapport le Pn
forêts de la France ; plusieii
dit du Pin de Californie , si cc n'est qu'il
i Paris fructifie bientôt ; car cette espèce, qui
pourra peut-être, pendant bien des aunées,
seul individu qui est au Jardin des Plautes.
1 hérissé est un de ccux qui Ibnrnit du bois
ne l'empl,)ie-t-on que dans les pays ott il est
•ntraire, les autres espèces sont rares. Lcs défauts dc cc bois
icruds et d'être surchargé d'une grande quanlité d'aubier. Sa
selon les lieux où il crr.ît ; il e,t plus compacle et plus réIS
les l il est tendre, léger el ses couches
4 le; ndr( > hui
faire du goudron
l à cent cinquante
de cette substance
exporte plus en Ai
. imligèi
;rilerd'<
dans plusic
ns, est aujoi
'pi'on en i
glcterre, co
re cultivé Cl)
.. Le Pu
lartie s des
j i pn :sque
encc »rc se
cela avail
d dai i s le.s
ct t m no
doit chercher à répandre que ccux qui égalent au moin
le.s jardins paj-sagers, où l'on sacrifie presque tout k l'agi
pourront faire un très-bel effet, surtout si ou les pl;
il croîtront avec une gramle rapidité.
Le bois du Pin Téda est encorc
cédente ; M. MICHAUX dit n'avoir t
dans des arbres qui avaient
de hauteur. Exposé aux injt
5 espèces spontanées. Dans
nt, quelques Pins hérissés
Ile dai t sol humide,
mauvaise qualité faitqu'iln'estpas d^
qu'à des usages secondaires , comme
on ne se sert que pour les moindre
des États méridionaux , on emploit
corps de pompe pour les vaisseaux
benthine , mais elle est moins ûi
a beaucoup plus tl'aubier, et qm
benthine , M. IVIICLAVX croit q'
chargé
•avoir trouvé qu'ui
un pied de diamèti
res de l'air, il poui
. tout esl
ii chaufft
Ai
les fou
de mei
aiusi qi
:elu
er qui
e dc cceu
r trente
îc une gra
nériquc, (
•s , à fair
obtiendrait peut-être
croître dans les Landi
où on lui reproche di
venir si promptement q.
de l'espece prér
ou de vrai bois
i trente-cinq pieds
nde rapidité. Celle
et qu'on ne l'emploie
re des planches dont
ùserie. Dans quelques ports
le Pin hérissé, à faire des
L'arbre fournil d'ailleurs beaucoup de téré-
:1e que celle du Pin Austral. Comnie le Pin Téda
ce n'est que de cette parlie que découle la téréen
lui faisant des incisions plus profondes, on
le plus grande quantité de celle substance. Si ce Pin pouvait
de Bordeaux avec autant de facilité qu'il croît on Amérique,
emparer très-p romp le ment des terres abandonnées, et d'y
il rend les travaux plus difficiles cpiand on veut les mettre
ilture, il serait très-utile dc le pf
encorenues. Au reste, il vienl bien, en France, dans di
porte, sans en souffrir, les froids qu'on éprouve dan
peut même y fructifier.
Lc Pin tardifn'est employé, en Amérique, à aucun 1
qualité de son bois , qui est teilcment surchargé d'aid)ii
une plus gramle proportion que de coeur, l'avant fait 1
il ne p ™ i l p . i s mériter <l..|ke,
1,1 plaiitatirai des arii
itics qui sont
u Nord ; il snpdc
l'aris , ct il
pl
e part
: que
s pool
ndsja
iir I.i
daus les Li
i pays pli
le dim,
iascdétermiu,:; la mauvaise
• qu'on en trouve toujours
=ghger dans son pays natal,
des personnes qui n'ont en
!, l'att.
It utiles. C'est seul
quclqi
une espèce de
les jardins de botanique, ct dont on peut plai pieds dans les
dins paysagers.
.MBKRT parait avoir fort mal connu le bois du l^in Austral, et il a écrit
d'après de mauvais renseignemens lorsqu'il a dit qu'il pourrissait promptement,
In-ùlait mal ct qu'il n'en .serait pas fait le moindre usage, anssi long-tems qu'on
pourrait se jirocuror toute autre espèce de bois. Ce n'est pas ainsi que l'auteur de
VHistoire des Arbixs foi-esliers d'Amérique l'a jugé. En effet, autant les trois
espèces précédentes sout peu estimées dan.s les Etats-Unis, autant le Pin Austral
est précieux, soit par les bonnes qualités dc sou bois
résineux qu OQ
c p c
a peu d'aubio
grain lin ct ;
beaucoup plus
toutes les autre
des États-Unis,
les deux Flori.
truites, à l'ox<
disticha. C'esl de to
> les
•bre est .s
.riipies s
• P'
des. Dan
i que les
nt qu
ses couches coi
ti ; il se travaille bici
force, ct il est plu.s •
inpacte ot ifi
ipèces d'Amériipie. Ai
.i l'emploic^t-
un grand nombre d't
"OS. Dans le;
plus des trois <juarts des muisoiis c.
ion de la couverture, qui est souvent
;pèces de Pin la plus est
soil par les divers produits
.1. Lo bois dn Pin Austral
rè.s-rapprochées ; il a le
beau poli j il a en outre
ne plus grande durée que
m, dans plusieurs conlrées
Caroliaes , la Géorgie cl
lUl t
États mér
, sont fails
maux, la quille, les
;c cel arbre. Lorsque
,1.,SC
p.n-la
I bardeaux de Cupressus
e pour les constructions
5, le pont dos vaisseaux,
lature du sol où il a cru,