, 8 8 PRUNUS. PRUNIER.
•cliargé d'an slylc (jui est de là même longueur que les étamines. Aux fleurs succède
des (ruits presque globuleux
ssites,
pédoncules dc deux lignes d<
et qui
cavité où ils sont perdus. Ce
noix vertes; lorsqu'ils .sontpai
fleurie, d'un jaune a.ssez dair,
cbair est jaunâtre, un p
l'ado c t p cu agi
une amande a
CcPrunici
llement portes sur des
i s'implantent dans une
•essomblent à de pelites
lent mûrs leur peau est lisse, peu ou pas du loin
quelques taches rougcâtres du côté du soleil. Leur
anl la parfaite maturité, el ensuite d'une saveur
ibl'c. L e noyau n'est pas adhérent ii la pulpe; il est .nssez lisse et contient
roilspoutani
Saint-Chaft'rov, etc..
ViLL-VRs; il
amandes, ci
long-tems del
iiiciUß, ei qu
celle que l'oi
;uhiv
:qu
e pre
.•si aussi iudiipié
ntenues dans les no
i)slelirianc;onnais,i
est deux fois plus cl:
mit la semence di
it de noyau qui la
depuis iin polit r
lez quelques pépii
•ra jamais beaucui
lo faisant furinenl
5 le
dos fruils de c
ileIIne,conni
;pie celle d'Oiiv
e h i
ncon, dans la vallée de Moncsi
l'ait reconnu est le professeur
irons dcBri
botaniste qi
-devant Pii
'ioinonl, par AI.I.IOM. C'est des
celte espèce, <pi'on redre depuis
nue sous le nom à!Huile de Marive.
Cette huile est donce comme
die est plus inflammable, ct conanièro
ct d'un parfum agréable. Cet arbre
l'Amandier
end un peu
,mbre d'
nées seulement, 'a Paris, au Janlin des
lis il n'est pas répandu, et probablement
parce <pie son frnit n'csl pas bon à manger. On
n pourrait en tirer une espèce d'cau-de-vie.
11. PRUNUS domestica.
1'. rnmis muticis ; foUis ovalis, subtùs sul
bescentibus ; ßorihus biteralibus, pedm
Unis, solitariis agglomeratisrjue.
PRUNIER domestique.
P. à rameaux non épineux; à feuilles ovales,
légèreiueat pubescentes en dessous ; h fleurs
latérales, pédonculées, solitaires ou réunies
plusieurs casemble.
PRU-NUS domestica. LI^. Sp. fiSo. WILLD. Sp. A. pag. GGS. ROTH. Fl. Germ. I. pag. 212.
ALI. Fl, Ped. n. 1782. DLSK. Fl. Atl. i. pag. 3<j',. Pom. Dict. 5.pag.673. Lois. Fl. Gall. 289.
PLUS. Synop. 2. pag. SJ.
FWiyL^^ foliis serratis, hirsutis, ovato-lunceolatis; ßoribus longé petiolatis. HALL. Ile!v.
II. 1079.
^'UL^US. RALU. Pin. 4'I3. BLACKW. Ilerb. lab. 309.
PRl >"US satii-a. Fucus. Ilist. .',o3. Ru. Ilist. 026.
Le Prun
uait ii lu
•doi
•même,
on l'arrêt
estique est u
,'élcverait droit
: à la hauteur d^
ge pour le force
èce qu'.m Ir.niv
Le ironcellcsgi
Klrée. Les raine;
remoiit pube.sce
l'extrémité de sa
arbres dc cette es
lièrernentarrondii
ou quelquefois cc
pétiolées, très-log
ct plus ou moins <
pour <pi'on puisse
variations
sibles po.
lii:
dentelées, seh:
ie en tirer des <
a grande,,,- d.-s
lU puisse les ii
.al, sont porloes
LUI po
rbro dc movenne grandeur, qui, si on l'abandon-
; cl formerait la pyramiile; mais comme le plus
le six ou sept pieds, c'esl-'a-dire qu'on retranche
or à émettre dos branches latérales, la plupart des
re daus les lieux cultivés, forment une tête irrognhranches
sont revêtus d'unc écorcc bruui'itre
ont étalés, non épineux, garnis de feuilles
I dessous, ovales, plus ou moins alloi _
les variétés, mais n'offrant pas assoz de ilifférenccs
•aclères distinctifs. Le.^ lleui's ofl'ro.nl aussi quehiues
irolles; mais ces variations sont rarement assez scniqiier
avec certitude. Ces fleurs, dans toutes les
sur dos pédoncules qui ont rarement moins de sis
f longueur: elles paraissent toujours avant les feuilles et
il lit place qu'occupaicut les feuilles dc l'année précédentcj
dl
P R U N U S .
tantôt solitaires, ou ne sortant qu'une
nouissant par groupes de trois, quatre
Chaque fleur est composée d'nn calicc
dccoup:
rdit:
de couleur blancli
;, disposés en
près de la longueu
•de la corolle
d'un ovaire placé
u centre, portant
cuLiire. Les fruits
, beaucoup plus
venons île décrire
distinguer toutes les v
v a r i e n t à r i n f l n i , p a r l i
de couleur de cire, de
de noirâtres; leursavei
est coriace, dure, molle, fondante, sèche
que des Cerises ordinaires, d'autres qui
rence, .sur trente-deux lignes «le hautcui
fois plus longs que larges, tamlis (p
ont tous de commun, c'est qne h
moins couverte (fune sorte de po
et qui s'enlève facilement par le 1
parlie charnue du fruit, varie beai
sépare de la pulpe avec la plus gt
partie; il renferme toujours une ai
^tés. I']]! effet, «
Lilcur, la saveur
s, deiaunc.s, di
il acerbe, acidi
Lc Pruuier domestique , comn
produit r
PRUNIER
le du mcme bouton; d'
I, tres-raremciit on pf
caiice canipamdo, partag<l p:
droilos, de cinq petaJcs ovale
.se; devingtli Ircnte otamincs
aiJortnntiileursommcl des a
ivloflliforme, termiue
lidos quetoutc.slc.'iam
lir seuls Ics nioilleur.s
:c.s fruits, connus sous
•, la gros.seuretlafonn
rouges, deponrpros,
fade, donee, sucroe,
i q u e u s e ; i l y e n a . p i i
pouccs
ont jusqu'à
!•; enfin les
les a
r pcai
189
fois s'opadnombre.
r les bonis en cinq
. 0» cvales-aHonges,
: , f i l e l s b l a „ e ! , a p c i i
ilbere.sjaiines; enlui
.ar „ n slign,alc or!,i-
•es parlies que uous
araeleres pour bien
lc uooi de Priu,cs,
i il y ou a de Wanes,
l o > i o l , . l s , d e b l c u s ,
arliuniiejleurebair
,e .,001 pas plus gros
et plus lie cireonft^
allies ct mcinc deux
itpa ml dobu
esl lisse
blaurbJli
loindrc frollcra
coup daus sa for
inde facilité, lai
lande amère.
3 tons les arbre
très-fine, .
•nt. Le noyai
ne, daus sa g
tôt il y adhè
lombre prodigieux de variété;
jnènies dans les jardins de Paris ou aux en
avons trouvées indiquées dans les meilleurs
se montent à près de quatre-vingts. Ce ne
sans doute encore assez loin dc comprendi
ct encore moins toutes celles de l'Europe
chaque di'parteraent, dans chaque canlon
point ailleurs, et vingt années de soius as
rassembler toutes. Nous nous rappelons i
Languedoc, des Prunes qne nous n'avons
mettre de l'ordre dans cc nombre considi
au lien de les présenter successiveinoul d'apr
a fait jusqu'ici, nous avons préféré les distribn
couleur des fruits, ct nons avous cru ensuite de
SPIOU les rapports (LU'olles nous ont paru avoi
grosseur de ces mêmes fruits.
n i x . C e qu'ils
jours plus ou
loniinc fleur,
nême que la
r; tantôt il se
tout cultivés, a
celles que nous avons pu observer nousronsde
celle Capitale, cicelies que nous
nteiirs qui ont traité des arbres frniders,
libre, tout considérable (ju'il paraîtra, est
toules les Prunes qui existent en France,
t dc rOriont. En France seulement, dans
on cuhive dos variélés qu'on ne trouve
dus ne sufBraicnt jiout-etre pas {wiur les
avoir mangé en llalie, en Provence et on
ird (le 1,1 France. Pour
.l'ospèces secondaires,
r maturité, comme on
is sections, d'après I.i
er ies unes des autres.
nais vues dans le n<
ble de variélés ou
l'époque do leu
d'abord en dei
Dirlesrapprocii
)it d'après la foi soit d'après la
L Prunes u violettes.
IN. I. PPTOIER de Saint-Julie
runus domestica, fructu pa
saporis, nucleo non adhtfrt
' l a s K de Saint-Ju
, Sidiovato, satur
i- Fis- , ct Pl.,™. r,g. g.
'C siihncerhù, itigraù
Celle Pro,
qu'elle n'csl bn gi
Sou pi'.louculc a
esl la plu. petite des Prunes violettes; elle est nn peu plus haïue
lix à onze lignes dc hauteur, sur neuf lignes dc diamètre.
,ncs; il s'implanlo presque à la surface du l'ruit qui n'a pas