)n Ini destine, el il ajoute que. dans
ial, les Oliviers, qu'ea
ils y.«ont du plus grand
igmcntce pardes engra
quantité d'eau de nier répandue snr le fnmier q
le royaume dc Valence, on ne fertilise, de tems immoc
versant dc cette eau sur leurs racines, et que, par ce moye
rapport.
Il n'y a pas de doute que la fécondité de l'Olivier ne soit „
abondans, pas de doute que l'arln-e ne soit d'une végélalion pins brillant
qualité du frnit y gagne-l-cllc? Ou peut assurer que non, puisqu'il est cor
l'huile la meilleure et la jdus fmc est for
naturellement dans les bois, les l i e u x in.
moindre soin. Cependant, comme les p
grand intérêt ii ..blcnir des récoltes abond
nera l'emploi dos engrais, qui d'aill
; mais la
tant que
par les Olives sauvages qui croissent
et dont rhcmtme n'a jamais pris le
udtei
ropriétaircs et les cultivateurs onl le plus
iuites, personne probablement n'abandon-
)fl're encore un autre avanUige, « Dans les
d, l'arbre bien fumé craint
a <[nc des pousses faibles et il
ongs, charg- illage plu
. j s dc'swhcresse, selon M. Bernar
qui no l'a pus élé. En elVel, celui-ci n',
tandis que l'anlrc a des'rameaux plus 1
par conséquent plus propre à aspirer pe
On peut ne fumer les Oliviers que to
dantlaimil i'in
, les deux aus; mais si l'on a la possibilité de
>st trop attendre que d'en laisser passer plus
le faire chatjue année, cc sera mieux : <
de trois, comme on fait dans le pays de G
les quatre à cinq ans.
d'u
l'on ue fume ces arbres que tous
imer les Oliviers à la fin de l'au-
Lous les auteurs ont été du même
avant l'hiver, les pluies, qui suriposenl
Calon et Cohunolle ont donné le précepte de fni
tomne ou au commencement de l'hiver, cl presque K
avis. Effectivement, lorsque les fumiers .sont enterrés i
viennent presque toujours pendant celte saison, déco
au moyen de l'infiltration, les sucs nourriciers ju.sqi
fumiers ue sont répandus «ju'ît la fin de fl
printems, ils deviennent au moins inutil
sibles. Cependant M. do Suffren, qni non
vatioQS sur ia culture des Oliviers, dont il
que la méthode de fumer los arbres pend;
nidité de l'a
que celui
illes dures,
lerbacé, et
suivie dans tous les pays indislinctement, parce qne
les engrais et charrient,
aux racines, tandis que si los
le pleuve pas abondamment au
, si même ils ne leur sont nniqu('
beaucoup de bonnes obser-
' lombre d'années, est d'avis
doit pas être généralement
elle peut avoir des avantages
c t qu
IX arb
ipe depr
ulomne
.exposes
s les cl
i causés pa
•lées assez I
l'on a peu à red
dans ceux qni so
et qui surviennent ii la fî
pour confirmer mes idées,
janvier 1810 : Nous venoi
forts, le thermomètre est descendi
1 r il a même di'i descendre pl
e f o n t q .
c froid,
ebi
•,ide die
des
de l'hiver ou au eommenccn
ions écrit M. de Suffren, ce qi
d'éprouver ici f à Salon, en 1
six degrés an-dcssoi
.as à Arles et a A
sntièrement gelé) : des Oliviers', d'autant pli
pieds des tas d'engrais très-considérables, qui
vement, ont eu toutes leurs pelites branches n
et est pretea se dolaclior,
mort. Pcut-elre que Ic c(
est perdu ponr un an ou
venue, parce que la tcrrc
collet de la racino, a der
mainlejiant a .se dotachei
Oliviers avant I'hivcr, :\I
qui csl un indice certai
iqis de r.irbre n'en monri
deux. Un jeune Olivier
à I'enlonr est souvent ft
trois J
. et les brai
<lc Suffren < cille, d
cut sentir, et où
1 de grands inconvéniens
: à celles qui sont tardives
m du printems. «Voici,
vient d'arriver à la fm de
3vencc ) , des froids assez
du terme de la congélaignon,
car le Rhone y a été
•oureux qu'on avait établi à leurs
i-.ul mis la sève dc l'arbre en mouparla
gelée ; l'écorce s'est fendue
n que ces branches sont frappées de
ra p.is, mais loute.spoir de récolte
dc sepl il buit ans, de la plus belle
imée , a éprouvé ic même sort; le
terre, a noirci, l'écorce commencc
dessociier. » Au lieu dc fumer les
uis tous les pays oii los gelées sonl
c de la t.
On uc taille pas los Ol
laisse croître en liberté. Les anciens, à ce ipi'il paraît
ment, puis.pie Cohunolle dit qu'il suffit de le faire
O L I V I E R . io5
assez fortes et assez fréquentes pendant celle saison :1e chausser le pied des arbres
fm (l'empêcher le froid dc pénétrer jusqu'à la souche.
r^ore dans lesquels on L
t-'iilLueiU qu'assez rari
lans tons les pai
ii en est
.som, et q,
•l de fruits 11
•m, on pou
futilité d'
ins (pi'on
IS le conti)
cille. Less
fiu
Oliviers sauvages, dont la nature seule
tranchant de la serpeUe, chargés de fri
les arbres cultivés n'en portent ordina
véritablement nécessaire à l'Olivier; ma
la cullnre de cetarbre,.sont d'accord sur
M. Bernard dit qu'il n'y a pas long-te
tailler les Oliviers, et M. de Suffren noi
nous écrit ce deruior, l'époque à Inquelli
le pays qni osl entre ie Rhône ct M;
l'origine de la taille de ccs arbres : Il tomba, il y
quantité de neige au moment de la récolte et lorsqi
qu'ils furent tous ébranchés, et (juc l'c
L'aunée suivante on fut fort élouiié dde
tons côtés el avec beaucoup de vigueur, dc sorte q
plus beaux qu'ils n'avaient jamais été. On conclut d
nuisible à l'Olivier, pouvait lui être très-utile, et o
11
les huit ans. En voya
i jamais n'ont été sou
;aucoupj>hisnonibrei
rrait douter qiui ia lai
se sont occupi's avec ^
lilemodéréeetbi
ilrodiiit en Proveiii
. « O n peut fixer à
icéà tailler lestJliv
irds de la contrée ra
Il dcf
que
I fût
•ee soin de
entendue,
l'usage de
ixaute ans,
s dans tout
serpette sur cet arbre. » Dans le départen
est encore plus récent, el ]\I. de Suffren pai
à Toulon, ii y a à peu près quarante ans.
M. Bernard assure que la taille, à laqii
contribué à augmenter les productions dtoutes
les méthodes qn'on a sni
(JUC les cultivateurs des environ;
ployer, à la taille de l'Olivier
l'éducation des vers-à-soie, ral.
Il dire même qu'ils les
•nviron soixante ans, une si grande
les Oliviers étaient chargés de fruit,
fit presque toute ia cueillette dans les maisons,
•oir les arbres (jui avaient été mutilés pousser
'au bout de deux ans ils étaient
là que la taille, au lien <fiHre
ne craignit pins de porter ia
;nt du V a r , l'usage de tailler les Oliviers
it avoir le jiremier introduit cette pratique
die ii('ti les Oliviers,
irbr
lUCOUp
is n'ont pas été égale
d'Avignon, qui se r«q:
ndci
le tems pendant lequel ils i
issent trop, en général, les
lutilent, de manière qu'ils s
n- que très-peu de fruils. Dan
eux qui font la taille, les énio:
prop:
]•
réparer lenrs pertes ct à ne di
est dans l'usage d'abandonner, à •
pratique est très-préjudiciable ai
qu(^ ces ouvriers, ne voyant (ju,
plus qu'ils peuvent, afin de nuil
Quand on coujie uue grosse Ii
nouvelle qui croit à la place de c
des fruits ; cependant celte espè
est prali(juée dans quelques cani
Par celte méthode, la taille ne si
Olivier; ou rapproche une ou dot
les arbres en partie, el leur (lonn^
cessent cependant dc donner du I
branches qu'on leur a laissées; ma
une moitié de l'arbre étant loujo
raj)j)orle. Celle pratique esl d'aul
sJive lont-à-fait imîgale, certaine
d'autres u'en ayant ijue du jeune
, en même toms que
tagenses. C'est ainsi
Provence jiour emlont
pas occupés à
irbr igoureux; on
leur i.iti
iphorleu
rancho p.
die <iu'(n:
;e do laill
ons, elSL
praticjn
plusieurs cantons, ou
ides des Oliviers; cette
laires, el destructive des plantations, parce
•rêt, taillent et coupent sur le gros bois le
rs profils.
ès du tronc, ii faut an moins trois ans k la
a relranclu'c, jwurêlre en état de donner
i , la plus mauvaise de tontes, est celle qni
rtoiil daus plusieurs parties du Roussillon.
tous ies ans (jnc sur une jiortion de chaque
; grosses branches près du tronc
r le moven dc rclàirc du nouvea
afin de; rajei
bois, sans qu'ils
•uit chaque annc-e, par le moyen des autres grosses
s on n'obtient par ce moyen que des dcmi-rccolles,
rs occupée ;i nparer ses perles, tandis que l'autre
nt plus mauvaise, qu'elle cause nue distribution de
parties des arbres n'ayant que du vieux bois, ct
cl la sève se dirigeant tonjom-s jdus de ce dernier