dc ce P i n , comme espèce disUncLe. « Cet .nil,re croit dans le voisinage de Monlc-Rey,
«n Californie. U n de ses cones, rccucilli par COLLICOX, jardinier dc l'expcdition de
L.v PEYROUSE , fut envoyé au Muséum d'IIisUiire naturelle cn 1787. Ce cône avait la
forme de celui du grand Pin maritime, mais il était plus gros d'un tiers dans toutes ses
dimensions. Sous chacune de ses écailles .<c trouvaient deux semences de la grosseur
de celles du Pin Cemhro, et dont l'amande était bonne à manger. Ces graines, semées
au Muséum, ont produit douze jeunes plants, qui, cultivés daus l'orangerie, sc sont
lonservés pendant long-tems. La phipai t onl élé ilonnés il des cultivateurs des dépar-
X. Il en existe encore un picil au Jardin dos Plantes, placé depuis
pleine terre dans le lieu nommé la petite bulle; sans èlre Irèssept
pieds de
temcns méridi«
quelques années <
vigoureux il so m,
haut; que ses feu
et qu'elles sonl re
nticnt en santé. » J'ajouterai que col arbre a
les sont longues dclrois pouces, très-menuos, d'r
nies deux ou trois cnsonddo dans la même "aine.
,-crl peu foi
16. PINUS r
P. Mis tern
ternis quat,
/ms; sqntm.
•• Fet,
la. Tal. :
slrohili.t .
;«,„e,fah
ideo-ub/oiigi
miltö brevio.
rum miicronibus spinosis, .
is muscuHsprn'longis; anth
• (lihUiitd, rotund.,)d.
à trois de la mcm
PIN hérissé. Pl.
ailles ternées:
m qua ten
P. à fei
les fouilles
gaitie.
•hil
strobiles o
;s,beaucour
.. Foresi. Amer.
Knc.5. p.ig. 340 ?
PINCS rigida Mii.i.. Pi
tab. 18 et n). Mioii. :
PINUS loedaA.Voux. Di
du Pin hérissé ost d'une couleui
est cfun fauve brillant, toute fo
la plupart des autres espèces : c
des jeunes rameai
marquées que dai
quées les ui
sont articulé
vert gai. Ion
ciiAUX, depu
des heux irf
un cylindre parfait, trois dans la m
couleur jaunâtre ou tirant sur le fai
pédoncules, réunis au nombre de '
autour des jeunes pousses de l'anm
surpassent toujours de denx k trois p
longement ou une esjièco tic crèto an
quo le reste de l'anthère, et sc dirige;
plusieurs échant
constamment .si
axillaires dans I
plupart des atilros espèccs. C
souventdesvcrlicilles de trois, ([uatrc
séuin des Plantes dc Paris, deux échai
qui portent, l'un quarante, ct fautre
groupe, cl dont la grosseur csl, k p
viennent solitaires ou par trois ou quai
base est rétrécie c l forme une pyrami<
cl c'est au sommet d(
sées aulour des ramea
il de quatre à cinq poi
lijusqi "
lidcs ;
L'écorce du troi
sur les
i. Cellos-ci, disp
Lies ordinaireme
i un pouce ctde
rés-sccs ou très-hu
e dar
màtre su
arrondie.
ivant leurs éea;
™i<le, ó,,i„c„«
itlacrètedesai
4. .'j98.Lv
>ag. 88. id. 8.
iirt.quo
.ées par
r lo milieu de la jei
de la flcuj
cènes f
fauve tirant sur le brun; ccllc
•mée en écailles beaucoup plus
;s écailles sont presque imbrichactmc
d'elles que les feuilles
IX eu double spirale, sont d'un
ces, etvariiint, d'après M. >Ii-
I a sopt pouces, selon que l'arbre se trouve dans
dies sont réiiniosk leur base, où elles forment
rue gaine. Les fieurs mâles sont dos chatons de
•e, longs d'un pouce, portés sur de très-courts
ngt k trente , fbrmant imc grappe k la base ct
, qui, dans le moment de la fleuraison, les
uoes. Leurs (^famines sc terminent par un prondic,
mcinhrancuse, truiie cotdour plus foncée
lt vers le sommel du chalon. Los concs, d'après
:los arbros venus cnFi
pou.sse, de sorte
e l c i
?, m'ont paru vonir
hâtons femelles sont
aux, comme dan
ils fornumt le 1
l n i . l s , c t j ' a i
' rapportés <.
do soixanlcchose
pi'ès,
n'offrent de
latrc, ciiKj 0
la pression qu'ils ont éprouvée
contre les autres. Celte pressir
base, fait aussi qu'ils restent pl
l'écartemeiiL des écailles comm
ne peut pas avoir lieu tant qi
chacun d'oiix reste resserrée
plupart des espèces du môme
année sont {,valos, arrondis, voi
couleur violcllcfouoc^e, el char;
A leur maturité, Icsconosdeviei
la plus ordinaire est alors de deu;
base : ils sont portés sur des pé
leurformccstovalc
3 celle pa
, que toi
t i c , cn él
s ces côn.
^essurlcs
nt serrés et rapprochés les uns
«•'prouvent à leur
, parce que
Les
e la m
'échappent a.ssez facilei
un peu avanl le loms
r e k p l t is
s les mar
sopl pio(
iT de Tbl
Les épines qni.
danslejounofi
lo reste du corn
plus couries tpi
dc long; elles s
ordinairemenl
dans le courant lie m
Le Pin hérissé est indigène de l'An
dans la plus grande partie des Etat.s-U
goudron, Pin noir, Pin a aubier. Dans les
ot sur les montagnes, il ne s'élève guère k
dans les lieux humides, cl surtout da
quatre vingts piods do bauteur, ol six
depuis «pichpjcs auncH-s; feu JI. Htmc.
ans; otlos plants, k l'âge de trois, f|uatre et
sur une surface d'environ vingt arpens,
forment aujourd'hui un bois superbe, d:
trente pieds tie hauteur cl Iroispieds dc cir^
vigueur dans ce sol, qui est de nature sabl
petite vallée, que dans plusieurs sommets
par M. HKRICVRTUE MOXÏPLAISIU, doclei
.ivaiont vingt-six lignes do lotir. La rarct
qu'il ne convenait, leurs branches latéral,
dc ccs Pins ont autant el ])lus de largeur qu
M. IILIUCMIÏ tie Thiiry a acclimaté des l'ulipic
forestiers étrangers. J'ai vu encore un assoz <
jardins «h; Trianon, auprès do Versailles; les
vus ailleurs, étaient lrèsq,clits ot n'avaicnl p
jeunes plants âgés dc six ans, que j'ai eu oco.i
avaient, au i>rinlcms do ccllc année, des chai
amoncelés
rbrcs sans s'ou
iimonçant loujours par la base du l'rnit, cct écartcment
ic la rétuiion dc tous los cones existe, et que la base de
toutes parts. Tons les cônes, d'.nilleurs, commedans la
genre, ne miirisscnl qu'au bout de doux ans ; ceux d'une
:s, excepté ausonunct dc chaque treadle, qui ostd'une
é d'une pointe épineuse longue d'une a deux lignes,
iienld'unocoulcurfauvcoudc canollc; leur longueur
pouces et tlenii, sur quinze lignes do diamètre k leur
oncnlcs courts cl épais, dirigés obliquenieut cn bas ;
rétrocioversleursommolquiestcommc tronqué.
Iles restent de la momc longueur qu'elles étaient
nt par devenir presque dc la meme couleur que
ducs sonl peliles, ovoides, un peu aplaties, ([ualrc a cinq fois
brano ailée dont elles sonl munies, et qui a huit k neuf lignes
eut des cônes, dont les (railles s'entrouvrent
u vers le moment dc la llcuraison qui a lieu
peu allons
le dos des
is elles fin
iquc septentrionale, où
, et où il est connu sons
is lorrains, com:
0 quinze k trento
s, il atteint jti.sqi
détour. On le
y e n a fait semer
s, furent placés d;
•ihimq
an
Tluiry
s Icqu
.nfércn
virons de Soi
de bl
il est très-r('pandu
les noms ihPinà
me dans les sables
pieds, t-indis que.
ii'k .s.,ixanto-dix et
? eu Franco
Jus de vingt
jeunes bois,
50US, où ils
)res qui ont
avcc tant de
n-d, sur une
c . L o P i n hérissé,
l exposé en ponte
;hos qui m'ont été communiquées
en médccine, dos rameaux de deux ans
do ces arbres los ayant fait c.spacer plus
mt lui toi dévcloppomcnt, que plusieurs
:1e hauteur. Daus lo m
, dos Liquidambars cl .
.s indivi,lu du Pin hér
Urcs arbros (le ccttc esp
encore ra]q-.orté de h i
.11 (fobsorvcr au J:ir,liu
s femolles sans af
l le
terrain,
3s arbres
daus les
que j'ai
mais de
Plantes,
rs mâles.
vu, (h ,1,-ries ci lu Hn- 17. PINL'S Taala. Tal. :5. fis. l>IXTt!,la. I'l. -1 :. /,>. a.
Amér iiIiK-par SI. Mil :iiAix, V.foUi, ti'rnû, dongatis ; strobilis /nrooii- I'. • friiillis imiée« , allonge es; i, sirobilei sou.
lix cî> ini.s rciii lis en II n seul clatO'Hhtongis, sufitniric •„tis, .„V„„„„, .mlJeaNiileax, l.Iaseo, insqiieles feuille.
rs qni f'ilio hrei'wribus ; sijuan „so,iirie„t,sspi,tis ajaatlalormc J' aoepyra mideoWongue, m
lilféro iicc <|ii'e n cc qr le leur i„Jlca:i.i a,„he, •,»•„». erisitl orU- jieii liuiiqeée, daat lésée aillissont eliargde;
: six a. n g l c . c c : ijui vi ent (le cuUnd. ,rq,i„esaisi,e.,t cil dedans; i criit.
des aaihèi-csorbii celai I C.