eu arrière,aoroamt le^jdeilraluFes du^s$n©hant
inferieur-sdu»’corps. Le premier intérépifteux, très-grand et dilaté^ à
sa partierâgférieure. sg joi^t-par un ligament aux os du Bassjp. Il
-t^y aneufpairesde côtes, dontjplusîeu^^scendeBft jusqu^au tran-
| cnaiit" infààèuc et ^fettacKent spit au ligament qui jdiqMIe Bassin
aù premier intCTéjtoetix;' :èmil'à ifèLinterépiïieux lui-même. Les
dernières vertèBr^ d gd’aljd&m&àitônt dî| ,£apôpBySéS traàS?ets^$
descendantes , »jdont les Bases s’unissent par une traverse, pour
commencer le^çanal ÿâsctilaife qui règneosous‘le e o i^ é i ls 'V ip -
tètres^cîmdales..
Les interémneux supérieur^ soflfr moins développés que les infé-
^ e u rs. Leur nombre est de vingt-neîm Xes ' mèSj)remiers. rçem-
plissèM rintervSÉe çntre la crêm du crâne et la premiÉre dorsal*
et n’apparïîinBgnt pijgprement a aucune ifei®»re. Lies apôpnÿsts‘
épineij^es deda queue en portant chacune,^eux? '
IM. MitchiH* décrit et représente dans ses,- Poissons ae
JNevv^nrk deux argyréips^, dont n. nomme lu n ^ qui
n’gL qti’urinrayon dorsal prolongé en filament., ze ^s ros-
tp a tu s ï y t i la u ^ re , q u h e n à d e u x , z e i / j c a p illa r is*
■ Noussomqies*certains qu#la premiere] dont nous avons
reçu/le NéV-Ybrk plusieurs échantillon^, ést la mèrbiô1 q;b e
nous venons de d é c É l e *§£. par conséquent qiie \é "^èùs~
v om er de Linnæfts; quant à la seconde, nods'n obérions
affirmer si cé^Jjeuxième filament lui donne un c^Jctere
spécifique suffisant j mais ce dont il es£ facile de ^.ssurer,
güest' que qg n est pas le ca fm la ris^te Blochp qqi *$st
un de nos blephari^Mt
1. Méiji. dü la.iroc. de N^-iforkj t. I, ;pl. 2? figWL. Ibid., ®ï. 2 ,
E t p%rticulf<$wfànt du V omer fil B^ôHvnv.
•■> * \V om ç r BrsPwnii, nob.1) !j
Ce poissom * habite les mêmes mm% que largyréiose.
Nons lavons reçu de#Bew-Yorlt, de- laHa%në| d e Samt-
BdiÉMfiîl, dP la Martinique^de Surinanfç du^B^ë#, et>
même il esfelu petit nômbre#dé ceux qu’on trouveAdans
rol^i^ Atlantique e t^& p llJ ^ l^ fiq u lj ^^MM. Le^spn
fet* Garnit l’ont ^bipporlé de 'Paita au Pérou. Ce q u i nest
pas „moins remarquable, ^c’ést qtfil Imbit<|^ljj^deux cjpjés
d% l’océan Atlfnt^ue, par e’§st le poisson lÊiïe v t|à Jui/U
pfr Desma-rchais2, et dont Lateat dünne la f ig u /e , qt.( le
poisson d#SestfojBseprésènté par Barboté. M, Rang vient
de ri#us l’envoyer de'Corée/mais nous n’en t£quvqns a'u-
cune*râfêe" aux Ind^' ni’xfens leurgArchipel. *
Le prihCé!Mauri#ê4èn»^^ÿ»lai^^uim.trèSibo#në figure
dont ni Margrave ni Bloch n’ont fait ufipge.*Bs®;wn l’avait
déçïit4 assez en détail. mais on ne 1 en avait pfts nioins
çpnfondn avep l’argyréiose jusqu’à M^ Mitchill, qui le
premier l’a*.|ak paraître comme une espàraÀ part
nom de, êeus setapinnis*, jml qui en a~ dônné une figure5
d’aprèlfelaquelle il ne .peut rester aucun doute que son
pdîikômhé^sbit le même qua^l^^mtre.tpelon 1e prirKæ
Maurice, ^ n 1 appelait au^Bfrësil Wfroecatuia tacapà, pour
l e f t di s t i pde Xargyréïose ou» abacatipa ordinaire. On
1. RHOMBpïm alepidola, argenlea, pinnis omnibus orevibus. Browir^Japi.l^). 455.
— 2. Vou de Desmarchais, f?TI, m 25. — 3. BarbotyÇT. F,<Ç>. WS& —j 4. Brown^
J am ., p tA ,