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leur crâne, qui;,appartient îàd’interpâriétal et au front#, et
qui, prenant naissance entre les b ra n c h e s 'in te rm a x ii-
laires" règne jusque sur- Ipociput. Cëst son élévation qui
fait paraîtfl-roeibsi»abaislsé* lie prfem-iëf interépineux, iiént
immédiatement derrière le bord postérieur de cette CrêTe,
et fait p'âfâ4tre la dorsale comme attachée sur le crâne.’On
a cru devoir appliquer aux poissons; de: ce genres les noms
dë :çprjrphoena et d'hippurùs, tirés le premier d’Aristofe
et le second d ’Athénée, qui, sur l’autorité de Bofion^Ct
d’Epanætus1, le dit synonyme de l’autre,; mais^é’è&tebap-
plication s’est faite assez arbitrairement ; =$|r tout ce qui
est dit dans les anciens, soit du coryphoena, soif d'eJAzÿo-
pupusj c’èst que cétaEit un bon poisson, qui avait l’habitude1
de sauter; etaVait été en conséquence arneutis
( &ccçvo'ç,. agneaua) ; qu’il jetait ses oeufs au printemps ; que
son : accroissement était fort rapide ^ et quil se; retirait en
hiver, en sorte’que dans tousdes lieux où l’oEfeen -pêchait,
ce n’était que pendant des intervalles bien marqufés>èt
toujours les mêmesf? Ovide lui donne l’épithète-idiëisapide^;
Oppien.le range parmi les cétacésy-et dit r^râpinapproche
point du rivage6, qu’il suit en troupéj tout 'Ce qui fjrô^te,
sur la mer, et surtout.les débris-des navires, nau&a^é^ÿ
que lagirelle lùirsert d’appât,: et quil; en sert lui-même:
au xiphias8. Ce; même nom d’hippurus .se donnait .aussi «à
féphémgpcl^ î,
- ; Pour - suppléer à des traits si peu distinctifs, Rondelet
a eu recours à ; l’étymologie ,• *-.et à supposé qxihippurus
1. Àthén., 1. .VU, p.3o4-’ Idem., ïbid.~— 3. Aristote, Hist. animé , 1 . V,
ct iu>. — 4. Idem, tbid. jl. VIH, ,— 5. Ofid. ,JHàL, y. g6. — 6 . Oppien,
Pal., 1 ..“*84*. —■-1/Oppiëtr, Hat-, I. IV, p. 4q4 ri «uir.'— 8 .'.Idem ', 1. III, p. 18 6 .
9. Ælieii, I.-XV, S
«i§À&v SnfiS: doaTPHÈït«. PKOPKBteHT DITES. 205
« M M J d ^ l S v à l ^ # i t l’expression de la forme
alontfeé^*te8'# ^ i® i » >deà<IlombreuJI raï ons f f les cIul
supportent leur dW â lè t/rti!îW fi.» » ^7énatt'ae; I jg g »
îammet, s om m M ,'p ^ T16 ceüte.dSrfttt commence des
le4somnïe^pc-l^^»* ' ’ ‘ !î‘ '/ 1
Il p'asnliéssâilë de d’iréjçombien Conjectures
so n% ,h «& % surtout quand il rfe^llMaucùUe trace de
■dès noms da#î le langagé vulgaitë,Ætl"effet, la^oryphene
de la Mé‘#ÿfetauné^e#rare dans les partiefeôptentrionales
démette mes;)t et n’âyajt spispmême de nom-français du
temps de S o n d e® Ce naturaHsmgénf^pposant queson
ib è f e fût ,1a même que la notre, l’avait fait venir dfES-
pagrie elle porterie noM^dé .Lampugo R*s&f <flt;
qu’à- Éc'ei-n? appelle l’hippurus ^/ero> et M. Rafinesque
âJsSù re^q iS ^l,ri8M sfèil^èlPsôht cappone ou c&ppme,
i l ïambacii ôn ld(mpugû.' \ ' ^ ' { n . • , '
s Belon rie paraît pas 1’ 6 / m6
que l’hippurus i i i i i B M M la à&rev ou
S a l v ^ ^ ^ t npu
p lu ^ u n em ie n d o n ; il — B M i
( ^ S t f c navigateurs de surtout les Horlugaisqui
paraissent avoir im p o s a ces poissons le-n°na
de dorfid'ey qüi appakèWit primiriféméîid à la daurade
de lkjifditérrâneê fié cJirÿsdphris des^âncîèyi'Séï le sptitus
aurata de* L ih n iu l|;M qui V produit dans les, ouvrages
desPmpilateùisljeaucoup dequivoqi#Mde ^ntqsions.
Qn lé trou^emplcyé ^en it633, par Base|4; en 164° , par
1. Rondelet, p. 'a5'5. — 2. Bélon, Aquat., tr. fr. > P* j P j j ■
exemple' la Chesnaye-des-beis, Dlct. M | | g É «V mot tfora*,’ et celm de Yalx&ont
de Boniare, même motë^— 4. Laët, Noyas orbis, p* §7 1 . -