dividu long de trois pieds,' et dont le dos était: vert glàcé
d’or ; le ventre blanc argenté. Tout le corps" était couvert
de taches bleues. La hauteur proportionnelle de la dorsale
est bien fendue, e tp a rfa îitè ih e n t Conforme à'ce que
nous observons sur. le poisson empaillé que nous lui cûîn-
parons. Il a trois pieds de long, « ,
La G oryphène d e I æ su eu r . ;
(Corjrphcena Suerii, nob.)
M. Lesueur à envoyé de Philadelphie, au Cabinet du
Roi , une coryphène très-semblable à la précédente.’ par
la courbure e |;l’élévation de la crête du front; maisqles
différences quer|ious observons dans les pièçes.de l’opercule
e t dans la hauteur proportionnelle ^ sy?combinent
avec des différences ;assezr notables dans le nombre des
rayons pour que nous croyions deyoir la regarder comme
d’une espèce particulière.
Le bord vertical du préopercule descend moins obliquement vers
l’arrière, d’ë*sorte que le limbè est plus étroit. Les rayon® de la
dorsale sont un peu plus grêles, et la hauteur des antérieurs^- étant
Ç0 comprise sept fois et demie dans da longueur de la nageoire,
- montre quelle est plus basse que celle des eoryphènes précédentes.
D. 64; A. 26, etc:
Les fourchës de la caudale paraissent plus étroites et plu®tmuttes.
Nous ne pouvons donner aucun détail sur les couleurs
de cette espèce, dont ïë seul individu desséché, dépose
dans le Cabinet, est long de trois pieds.
La Go’ryphèneï do'Ràde.
1 [Xü^rypheenal0çradto nob.p ƒ k
Le Brésil nous a-, e-pydyë une .troisième ;es,p^çe,
i dont*1 le. profikëst encore- un’ peuj différent;, parççque f|(^ciput est
moins relevé. Le c^ps^èstg surtout fheaucp^p ÿûSèlçjngé.' Les
rayqns de la dprsale; sont tù tjL et la hauteur des^ plus longs fait,
à peu de chpseprès ,• lé sixième, dé la îongueur -de' 4a nageoire.
Les écaillés oblongu.es/sont plus/granHés que dans aucune .autre
corypliène.
La hauteur' du corps est six-fjff|! et demie dans sa longueur. !Sa
tête est d’un septième^moins «haute q-u’clTe>, ni^ t |lon'g^ié.>!S.on. profil
•monte jtrès^peù obliquement jusqu’au .milieu de son Contour,
il se courbedavanta^gë^ohr achever d'èmôïïteri An total sa ^courbure
Xéloigï^peu d’unJqbarfcidë-^Pcïe. lia dorsale a, soixanje-im rayons.
L’ânffe ^fpgé-sept. On vôit^êncorê' sur l’iridtvidiPs.ec des 'mouches
hrêù^^slm’eès^shr toute' la p£if tiè'fhfériéure du- corps.
L’individu est long* de trois pieds huit pouces.' '
Il lé?^§Oheràporhé ,de Bio-Janeiro par les natüralistes de
l’expédition de M. Freycinet. “
TJn autre individu tout semblable, et bienëértamement
.dMlf même éS^wMfe«*tît>ûv^jïanni le|M%llections faitë#
Ahx Antilles par M. Plée. On l’ÿfdôlfilm'ë^ él doradô (lë doré}/
Il n’a que soixante rayon§ à la dorsale. Lej^prps', 'et principalement
le« Ventre, parait encore^0 ht||a.qhe^j jSa longueurisurpasse
quatre pieds- ,
» ML* Menestrier paraltavoir vu cette espèce .en approchant;
des côtWffu Brésif; car il nous Renvoyé un dessfrji dont; le
contour est ^ipn celui,.jquejp-rlllwp Ie profil de , notre
pdlléon. Il nous paraît aussi que yft au sud
jusqu’à ptantévidéo, où Mv d’Orbigny l’a dessinée.' Ces
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