presque entière* et le plus souycnt.au moins une portion
considérable5 cependant, à cet égard, la tribu pourrait
être paijtag^^enydeux salions?: dans^Ut première*, qui ne
comprend que le? grand genrei .d^ caranx, cette armure
a plus de force etvd’éleïïdue|* dans la seconde, dont le
genre yomer* est le ftype, elle se rld u it par degrés "à de
petiteslécafilles, qui ne sont supériâlnes à"OMl^ â u reste
du corps*, que parce que celles-ci sont elles-mêmes dune
petitesse excessive.
CHAPITRE
I Des Caranx i.( C dfànx, nob.)i;
Nos caratix nê sont pas tout-à-fait Içs mêmés que ceux
de M. de'Lâcépèdë.'Ge naturaliste, qui a emprunté ce
genre de CoHMOfersonV ^Comprend, comme- cé^savant
Voyageur, tous des scombéroïdes'à d-eux dorsales sans
fausses nageoires,1 et il se'voit ainsi obligérd’en écarter des
és^éèes- très-semblables'aux autres* *0u de les y laisser
contré-la teneur de sa définition,
Pour ’nous, nouâ y?-comprenons des poissons de la
famille dés scombres qui d'exemple du satirel ou ma-
<p#reau bâtard de nos mers, »'dont nous faisons'le type
du genre.*1 ont la ligne latérale cuirassée, sur-une 'plus ou
momsgrahde étendue, de plaques ou de ba»dl||fcaiBeuses
réîevées en carènes et armées'chacune d’un aiguillon.
Çommerson dit avoir délavé-le VLomàeearanx du mot
greWH«?*£jête), justifie cette étymOfogê^, parce que
cës poissons ,• Selon lui, prévalent par la tête (quia capite
proemlent) , et parce que le saurel ($<?. trachurus) exërcé
une sorte de tyrannie sur les pOissohs des côtes ^princi-
p à tiP n e t tjrannidem/eSÊempi ‘W tm littorales püdes).
Ce sont làr'de singulières 4|isons.r et foiy a d’autant plus
lieu déj&étdnnçr qu’un homme tel que, Çommerson y ait
eu recours, qùê:certainement il n avait pas' été chercher
SOn nbm §r loin. Plus d’un. ;Si%eté avant lu# les colons
français des ArftiUes appelaient carangùe les espèces de
'genre* qu’îli prennent #nr leüfs »cotes £ on peut s^n