longue, en sorte que c’est surtout par la.configuration
que Ion diseerne alors les espèces; a
La carène ecailleusè ^ ^ côjés dè la queue,,caractéristique
de la tribu des. carangues, est encore trèfcraarquée
dans les citules, les olistes, les irex, les gais, etc..pelle
immue par degrés, de manière à n’ètre plus dans les
yonjers qu une série de petites ecaâUps un peirsupérieures
a C^Ies du reste.de la ligne latérale; mais dans les bynnis
elle reprend le caractère d’une suite de véritables boucliers
épineux.
La hauteur, du profil dé cès difïerens poissons tient
surtout a 1 extrême hauteur de la crête mitoyenne de leur
craneiÿ qui s’étend depuis l’occiput jusqu’à I’ethmoïde^et
dont le bord antérieur est vertical sur le museau.
_ L élévation et la forme-comprimée de tout leur corps
dépend de la hauteur de leurs os du bras, de leurs apophyses
épineuses et de le u ^ te r é p ite u x , et-de ce que
leurs os coracordiens descefÉent jusqu’au bassin, et leurs
cotes jusqu’à une* espèce d’avance en forme de sternum,
qui est une production du premier interépineux inférieur,
de celui qui limite l’a^bdoinen en arrière, . Il résulte de cet
arrangement que l’abdopiem est enveloppé de toute part
dune espece de cage ©ssêuse^ievéeet étroite.'
La pro tràctâbté de leur museau est médiocrey et
proche pas derce gue nous la verrons dans f e r vrais'^eirs,
c est-a- dire dans lé s ' dorées et leg^sous-genres qui s’en
rapprochent le plus.
■ DES QHS ÏÏIS .. „ .
S o tü le n om ê fo lis te , q u ite s t p a n s G p p ie n (H a l . , I ,
p.; 1 i 3 } , mais sans in d ic a t io f i“ q u i p u is se fairq <çqnnai^re le
p p is son a u q o e ] il ap p a rtena it,- p p u s d é s ign on s p r itie ip a le -
m e n t un p o is so n n o u v e llem e n t la p p b r t é d e là c o t e d e
M a la b a r e t fd e s Tb é e h è iïe s p a r M. B u s su r ïfié ry o t 'q u i m év ite
d e fo rm e r u n p e t it g ro u p e p a r t i c u l i e r , fo f fd é s u r c e ÎJcâ¥âc-
tërè' r em a r q a a b le , q u e le s ‘feyiàhs m ito y en s d ê s3 ”fëct>sücle
d ors al é **heson t pa s b r a n c lfusP palus s e u lem e n t a r t ic u le s ,
e t se p r o lo n g e n t en longs filam en s ; d u re s te i l offre la
m êm e c o n fo rm a tio n q u e le s c itu le s .
L ’G liste d u M alabar.
( Olistifs m a tabaricus, nob. )
Il a le corps haut, comprimé, la nuque en quart de
cercle, le profil très-tomfraiitp®ce qtri, joint a sès filamens,
lui donne une première apparence dê gai ou. de bîépbàris.
Sa hauteur est deux fois et' un tiers dans salongueur totale; §on
épaisseurttrois fois et demie flans sa hauteur?
Jn. longueur de la tête est d’ün cinquième moindre que sa hauteur
, etrne^ait (pas toul-à-faitlé' quart de c e lle . du poisson. L’oeil
est foui milieu t|e la ,lpugueur et au-dessus du milieu de la hauteur.
Les deux,prifiçes,d<| l a narine, sont .ovales . jteès-rapprochés , sans
rebord, à moitié distanm* de l ’exil * au profi# La bouche, fendue
ve,rs le ha^ fju ,p ro fil,:|^ c e n d un peu pbfiqnénreht. en-.arrière,
, sans dépasser le devant de l ’oeil. Le maxillaire ne va que jusque
sous son milieu. Le sous-orbitaire ne se montre point à l’extérieur;
sa forme est rectangulaire., .son bord mince et. entier. l a mandibule
supérieure .est.peu protractile ; ta mâchoire? inférieure avance un
peu plus qn’^ lç ; chaque mâchoire a une bande étr oite de dents