7®
Immédiatement après?. Tient 1* deuxième dorsale* Sa pointe antérieure,
formée pm* fes six ô'm sepfr premiers rayons momsî,. est du
sixième ou du septième de s* Joügueur* totale. Les rayons Suivans
sont tous peu- élevés et .a peut près égau®. Le dernier-redevient un
_peü plus lông. -Le'premier♦de tous est épineux k cache, dans ïJ
* hftid fflaéri®s^,jTdeiit ilfa it environ le-tiers, Wfîài, comnaë dans
les saurels, une premiè®e anale de deux raÿonSi La deiixième a*Me
répond , pour la forme et la grandeur-, à la deuxième dorsale; mais
elle commence un peu plus en arrière. H
D. ïo u éT-^dTe f9 K 2 I; A. 2 -1 i f l l - , (T n < 5 ÉËS
^Fontu la t|te est lisse, excepté la-tempe et la jpue,,qfui onjjdlî
- pertes écaillés.; mais le crâne même, n’en a poin|. Le nu dqrçrâne
se continue par. une ligne étroite jusque .près de la première dor-
; - ^ ^ ^ • outè"la'.-SSf8ï «st nue, et ce nu-s’étend jusque deiapière^lél
ventrales. Jfcy a seulement un petit losange écailleux en avan^dè
cfô, na^ohesi Jte tourd&la base de la.,peet®r«le est également ÿiu. N
- du .GSqpps a- de petites écaüles-, et qq en. voit-de plus
petites •ençofe entre les quatre ou cinq premiers rayons aeuJem'ent
do la. deuxième dorsale et de- la deuxième 'anale. La ligne-latérale
le.;]aaut:,dé
l’quïe jusque sousde cinquième ouf sixième rayonne la .d e u ^ n e
dorsale; là elle devient droite et commence à prendre des,boWiers
d’abord fort petits, mais qui «’élargissent et prennent des ©arènes
plua s a ip a ^ ^ ju sq u ’au milieu de la-portion de queue sans na-
geoires,. après quoi ils rediminuent très-rapidement * mais . sans'
perdre leurs ajginWens. J’en compte ^ngt-neuf ou trente, rejetant
du compte quelques-uns des, antérieurs qui ne diffèrent pas. sensiblement
des antres écailles, Il y a dé chaque côté de la- queue,
: au-dessus et au-dessous de lq e^ène armée ,,lès-petke>s erétes^ou
plis saillans de la, peau, que l’o» voit, dans tant d’autres seomjjé-
. soldes.
îQe poisson est d?uiie belle eoulèur d’argent, teint de; plombé â)u
de violâtre at la pàrtié supérieure. üne tache d’un noir foncé1 occupe
1 endroit échancré de l'opercule. Les nageoires sont jaunes;-L’anale
C S A P , g 'sm ! « C A R A î K G l U i E S . 74
est. d |umAB^}jaunë^ A;.k*a du bleuâtre au .bord
jBj^stérieur»d,e I4 pointe .dq^^dotsalq, ,et un lise^p/brupatre au, bord.
*déla çajida).et .,Qn tacpe^®,p4®ieït fî1ûice dans I^isSelle, de
la pectorpe^et,un t|a i^m f sm : son buipèmey^on et les suivans,
jusqu’au quinzième jnâisjce n^ir manque quelquefois ^ j
Les jeUriés irïd iliq i^ 'com faé . fdanS prèsquét tous les^ s.combé-
roïdes, bifi de darges 'batndes -verticales qÀus fàticéesi
La caranguie 'de^ent grande jusqu à
_vingt-cin£^^Ts. ‘Un ué nos, echantilïo^Mft long ci g, deux
piep's et demi.
C’e6t un poisson très^Gommun dans -tontes les parties
chau d e s d e ïAmëriqae. INkus lavons du-Briésil, d ë!0a<yenhq,
de Portû-Rico, de la Havane. Plumier r^ ^ ie h rej)b |g lité
a la Martinique. Il est du nombre de ceux -qui traversent
l’Ô lllm . M. R a n g n o u s r4 lënvo^e d e G ç ré e .
•Lqstcolons, espagnols,,nommant la^çarangue,fço,mme
d’autres poissons de. ©c genre.,
smimlii b a Havane on lui donne aussi |e môm particulier
de jiguagua. A -Cayenne nos d^ra-neais l appellent dorade.
Elle y passé pour un des meilleurs poissons. On la mange
aVSÎs d'autant plus'de:plaisir, quelle pâ&$el|>our ne jamais
donner cette maladfé,dangereuse de liisiguatera.
L ia $A»s s e uG à»Aï ï©î î«. ■='.
1[Cdrarix jpallax, nob.*)' ,
Ea mer des Antilles et celle du Brésil produisent 'un
autre poissôn de oekésubdivision, et tellement seinblablè
à~la carangue vraie, que l’on s’y trompé quelquefois, bien
que l’on ait le plus grand intérêt à les distinguer^Icar
celui-ci est aussi sujet à donner la siguatera que d’autre