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■ H H argent» brillant Ü y ]a des reflets-macrés
à la partie pue. t e crâne est verdâtpé; le museau noir; le sourcil
et le, tour d e là bouche ,jaune ‘d™é.f Les^ pectorales sont tranfpa-
reûàs,;^t&es aW r e Jm ^
L’iridivfdîéèst loflg'de1 o l f f poWfes^mais l’espèée'devient plus
grande.
<|1|1 un ^
- M. Ruppei' qui-dorme à|son caranx fulvoguttatus dans
son texte Vingt^cinq ‘rkytms mo^ïs'à lu seconde* dorsale} no
lui en inarque qué vingt dansjs^; figuf# (piserait
possible"1 qil’elle eut été fait^^d’Uprès un individu de
F ^ p ^ è '^ tu é ltè l cégeddurii/elle viîigt-deux rayons
â Tanàle.
1 ~ ^ # ÿCARANX
u j ^ fèc^fwè-SÇ?1 eëa -> no))-)-. ;<
M. Roger nous ' a. envoyé du Sénégal ^ e t M. Rang de
Gbééqy un taranx
qui»- lànA âvoîV laSnique«aillanteest remarquable par les pointes
- -déllâ-dbïWlé- et '-del’anale, aussi âMn^ee'‘sièt aigües que dans aucuné
carangu&-"p.roprement dite. Il a le -corps ovale. Sa Hauteur, au milieu
du troue,-*est troislfois, et‘demie dans sa longueur, et sa tête y est
cinq tgi^jSa première, dorsale est petite, t a pointe de là^econde a
les, quatre cinquièmes de la Hauteur dtftèqrps. Celle de l’anale en
a,vla moitié* Ses dent A'sont tou'teè en velours» très-ras. Les lobes
pointus., dg, sa caudaU Qnt phis du .quart de sa longueur. Le nu du
crâne*et de (amoîtrine est comme dans le gymnostèthe «t la càrangüe
vraie; mais il S’éloigne beaucoup du premier et se rapproche:au
L cond’ail'e de l’autre p ar^a ligne la’téralè-qux, d;ab‘ord un peu^om--
‘ éave, fait' {nie* coflfbe tîlèsIponyexé,, devient droite ‘sous le-bord
antérieur dè la deuxième dbrëàle, et ?a -de‘ quarante à quarante-trois
boucliers, tous fortement carénés. '
D. T—-1/èl-; A. 2 — 1/11 ou 18, etc.