après 4’înÛexioü,, est égale en longueur à l’antérieure , dans
laquelle je comprends la partie inËéêffie ou oblique.
Ces deux e^èees ou !mrLétés»son^ comme l’espèoe prim
«âpale> répandues dans la Méditerranée et dans i’Gèéau;
puisquon eu trouve depuis la Sicile jnsqua>la Rochelle
dune part, et à{Çéné®iffe deFautrè; mais je.n’en ai point
encoîïecneçiiodie la ’Sfenq-bgg De^ olaservàtidns faites-akqe
, Fattention necessaire,_nous apprendront pa-rdfr.suke si elles
y; viepnent aussi quelquefois»«!
M. IUssq,. lors de sa première édition ( p. et 17.4JÈ]
admettait dans la Méditerranée deux saurels différëhsj le
commun, que l’on UommeleMicet sêajeJ^cagnenc^sMte blieu|
qui S;yj omme suck-rèla&u : le premier aurait - la ^ chair fade
et ne pèseraifrpas plus de deux MigEes^lé second empèserait
souvent quatre et serait beaucoup meilleur. j¥|
- M RissO appliquait à son sttçk-bictou la dénomination
àe carême amia, qu’il prenait damï Cacépède j mais qui
stest dans cet ^auteur que le résultat d’une fCômf»s!on^
ainsi que mous l’avopsr lait voir au chapitre des liches;
Il nous aurait été impossible d ’appliquer les earaCtljges
que M.Riss© donne à tes deux espèces, aux individus que
nous, possédons ; mais d’après un desriû|qu’ü nous m éèm-
muniqiié, et surtout d’après des échantillons qu’il a remis
à M. f^vigmÿ^jëtiquetés de sa' main; nous nous sômmes
assurés que sou mck^blaou est de notre troisième subdivision.
Bans sa nouvelle édi^on (p. 4^ 1} ce naturaliste« ne regarde
plus ce poisson que comme une variété du sàurël
ordinaire: y
On a'déjà pu remarquer combien d’especes du Cap se
trouvent semblables à leurs ©ougénrères dé la Méditèrranée
: le gstote destsaureh en offre un nouvel exemple;
Feu en # apporté du cap de- Ronne- Espéranco
d#«tellement semblables à ceux de ta Manche, que la
seulej différence quefaye pu y apercevoir ,■ c’eft que leur
Ifn*i latérale n’éprouve pus mue inflexion aussi rapide , et
qu’ellé«descënd; par uue obliquité un peu plus tente : du
resfeytoutustpaffefk fermesy^uleurs^ nombre des rayons,
êt il[%st-impossible d ë ^Oütetiir aVeé quelque certitude
quMs ne sbnt pas de la même «espèce que lés nôtres. Ils
ont dé* même* de s’ôixante-trÇizefl^ soixante-quinze bou-
Clèts.**’
iLes poissons qui peuvent doubler le Câp, n*éprouvant
aucun obstacle à pénétrer dans la mer des Indes| on ne
Sera poÉnt^étouffé d%pprendre qu’il s’y trouve des5 sâureïs ,
et peùi-etrc;îéncorè plus semblables aux nôtres que ceux
du Cap.
Lés. naturaliste de 1’éxpédStjoh de M. Freycine^ép ont
trouvéàffabàiè dès Cbmns-Marinib la NoUvele-Holtandéj
et ceux dé ïèxpéd-ition de M. Bupéirey, à la Nouvelle-
Ziéfcnde ét à Amboinéf Oii Fou ü’observe pas même cetté
différence dont jeHviéns dè parler dans l'inflexion de là ligné
taterale.-Leurs timbres de boucliers vont de soixante-huit
à^soixante-treizei
Les individus sont plus petits; ils né passent pas sept
pouces. •
‘ Forster a' cru aussi avoir, retrouvé une variété de notre
éaureï à la baie Obscure de la Nouvelle-Zélande. Mais
pour peu que le dessin qu’il en a laissé soit exact, il
semble annoncer une espèce assez différente. 11 présente
bien .les mêmes- proportions et 1a même courbure de ta
ligne-latérale que dans nos individus du Gap; mais toute