-. >Le. Câranx d,e ^ S^;i nxe-tH ^ ènæ.
■ •; (^à ra næ Sanctçe MëlettoefïiblS.)
Il y a d’autres représentans de ce. petit groupe dans
l’Àt]antique 5 tous nos voyageurs naturalistes noua en ont
rapporte de Mainte-Hélène une ^espèce remarquable
par tete plus dbfon'gUe et sou museau’ plus pointu même "qu’au
saurèï. Son corps est, aussi bien moins comprimé, et sa rondeur
'égale cellépu' xiaatjuereaü.
Sa hauteur est cinq fois et-Trois quarts? dah^^dôhgüeùr to’tâle.
Sà tête y-est presque èinq fois5,' fet^â^sà-'hailïeur uile fois et "tfois
quarts dans sa longueur.. Sôri museâu *es't pointü.- Sa bouche peu
fendue..'S’es -dents presque insensiblês. Le diamètre Ile l’oeil est’ du
quart de la longueur de la tête. Le limbe dh préopercule est large
et plat. L’opercule petit, à bord inférieur concave11 et presque
vertical. Ses • péctoralès sont 0kiüi-bvalçs et,'du siiibme'sëüièuïent
de la longueur Les ventrales sortent" ùn peu plus err artjVè^et
né Vont pas aussi ïdip. Il y a 1 uri intervalle §HnsJopiii?0 ëad$& la
première ét la -sefc'onde^ dorsale. Le "dernier Lraÿç>h 3"e.la düfsale
-, 6t de l’ansdelforme une fausse nageoire bien - distincte. Sa ligne
latérale n’estpresque ,pas courbée ; elle ne prend des{bo,ucliers que
; spps; ,1e tiers antérieur de la deuxième, dorsale, ; ils sont assez jauges,
dentées bords, échancrés, jtyfeb pne pointe au milieu* Ce n’est
que vers la fîn'de la'dorsale jqûe leurs carènes* et'fours pointes Te
-relèvent d’.unernanière sepsibJje.’Leur nombre test d’en viron trente-
cinq.
B, D. 8 _ 1/35-^1; A . | — 1/30WÈÉ Ç. 17; P. 2.1,- V. 1 ^ * ’
g Ce poisson est d’une couleur argentée. ey> irisée, teinte, de bjeu
sur le dos. Dans le frais, une bande jaune orangée règne tout le
long du corps entré le bleu et l’argeiïté. La ligne latérale est marquée
d ’une suite de points noirs.- Ses .nageoires' sont-blanchâtres* La
tache noire de l’opercule est, petite.
Jïps individus sont longs de neuf pouces,
ji reçu de WMartinique- deux caranx. qui ont
quelquelrappor^ary^eieeljii' dé Saintë-Hélènie' par! la forme
alon|éed|^peefofRles médiacre^f eiUeuayon détaché à
l’arrière'.de la dorsale et de 1 anale.
Le fâ.RÂNX<'PONCfÊTÉ.
GàL'anoè ptyfLcêafja&X iidiB.y v
J^e premier s ^ p o l t^ u s q u e ^ ^ l e ^ ^ t e s , de L’État d |;
New-York, ear_.il ^uté, représenté par lé docteurMitchill
dans ses, PoissopsVdei>Newr-York-^pt- ma^s sous
le nom impropre de scomber Itippos.
' Sa,têta est un peu moins alohgé'e que dans celifl'de^Sa’inté-Hélène.
?-§onÇpr ©fil-un peu plüs en Hgnetdroife ayeefi^èfoss Le bord inférieur
deïsjm opercule uii"peu plus obhque.îSes dents. he se sèntent guère
* qu’a^eciifo'dôi^-.êsiiêéc--latérale est aussi’ùrès-peu coqrheél^Ses
’bouchers comrriencent'sous kLquart antérieunde- sa deuxième dorsale.
Il ÿ en a une' quarantaine, dont Lgs mitoyens sont un.peu plus
larges à proportion que dans l’espèce de- SainterHëlène 5 ilsjie sont
pas dentelés, et ïétirs rcarènes-!se'relèventün peu plus tôt. Sa pectorale
est du sixième db’sadongueur totâle. ;
Dt8^'mi:r^Ij A-’i-s ï$7 —
i il est argenté ét teint de plombé sur le ?<fos-. La tache noire est
.médiocre. .Il a des points noirs semés d’espace en. espace sur la
portion Hisse de ;sa ligne latèî§G.e, ét ils soirt.pfus nombreux et
plus marqués que .dans lé' précédent.
Nol individus.'sont-longs d»' six ponces. C’est M.PIée
qui nous des a envoyés: .L’on noirime c&W^espèce*à la
Martinique quia-q.uia,y.ce qui-dans le jargon" déd’ilé signifie
ji-fi, et marqué quelle .est comihune ^petite peu. èstunée.
Sa plus grande taille est de dix pouces.