- L’huméral -êsfc très-long? forme hvép-l'e radial une grande gouttière*
peu large, mais;? profonde. LeîteOracoïdien est aussi très-long
. et se porte en arrièr.e/p èrs la pointe abdominale anterieure du premier
mterépipeux de l’anale. „
. Oncompte^ neuf’vertébrés abdominales et quatorze caudales. Les
premières vertèbEps|s^ptr^-c<|Ète!tesj Tçs dernières sont alorigées
et quatre fois pliis longues ^ue'ja prëxnièfè. Les trois premiers interépineux,
au-dêyanfde la dorsale" dérçmre le crâne/ sont chacun
terminés par, tfnq massue osseuse. Le premier‘rayon4 de la dorsale
est Sur le huitième interépineux.
Les interépineux des nageoires dorsales et .angles sont totis renflés
à leur articulation près de ,1a nageoire, et ont de chaque jCÔlç une
Jfbrte carène.
L’individu que nous avons1 décrkbeèfelong -de, quinze
pouées. Il vient de java et ,(€$t cdBseiqwk dans f esprit? d©
vin j. /e s t celui qui nous *&''fourni ses* »vise ©tes.
(Ceux qui ont ét.é envoyés de Pondichéry sont desséchés ;
l’u# des deux est long de trois pieds, l’autre de neuf ponces ,
seulement,
M. Êeschenaullà qui nous les devons, dit que l’espèce
parvient à une longueur de cinq pieds et qu’elle est bonne
à manger.
JLê Sev»is D’Ar.ExWDHiE.
( Scyfis Alexandrina, nob. J
La Méditerranée a aussi des espèces de cette famille,
mais- dans sà partie orientale seulement:- On trouve près
d’Alexandrie un scyre $j§ un vrai gaL $j
. Le scyr%|a *dté grav4 dans la. grande, description de
l’Égypte (Zool., podgs., pl. 22, fig.ajsous le nom de gai
d’Alexandrie. M, Ehrenberg*, qui l’eû a rapporté en dernier
lieu, nous a mis a inême d’en faire une comparaison
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