CHAP. XVIII. CORYPIIÈNES PROPREMENT DITES. 241
servi de modèle au dessinateur, [(Cependant cest cette
figure. qui a. -été copiée par Gesner, p. 42^ i Par Aldro-
vande, p. do.6 ; par Joùstou, p l.'i, fig. i®, par Willughby,
pl. O'j 1, fig.; fit; «et même on peut diré qu’il nen existe
pas d’autre, exécutée sur une eoryphène de la Méditen-
ranéey Bloch n’ayant faûçque copier celle de Plumier, qui
a étfi dessiuée, aux Antilles, et. sur une; espèce différente.
Des Coryph'enes de la Méditerranée voisines de
F HippuPUSi1 1
'Npîi| n’avQiîs v^'p&'qqus-tnémes de gpryp^èneg proprement
dites que l’e;spècq,j)récédemment dfjç^e^, ,
' 'ïlei kTiJ ^ tdqgistgg -djes temps, antérieurs n’en indiquent
PWçfêt Bafi^é^uqen nomment
'et e °U deux, qui p||$i^G%t
ffie u la ipéme grandeur que
Iamr(fiÆm‘nte , et sur, ksquelles il est nécessaire que nous
entrions dans quelques dgtaijg.
JÈSs devons supposer que c’|sq nôtre pqis^on qui .esL l.ç
çpryphoena hippuruss de ceq.'deux naturalistes; car c’est
S e l * Gertainêment l’espèc^ vulgaire, Ip^côtes de la
Médi|êrrknëe/AL Rissq considère la se^ntle espèc^çomme
Yequisetis de.JLiifn^uS. ou le doradon ^L a c ép èd e f*et il
la c^cféqis^*, indépendamment des uoouleurs, par | un
opercule qloqbïe ,et cinquante-trois, rayons ^ l l a ’ dorsale ;
mailè’il na pas pris simplement. qes^yar^et^yejs. dans Lacéj
pède, il semble en fésylter qu’il n’a pas,(yu, l’hippurus; car
bien- sûremeiit_spn opercule niest pas moins double que 1
1 . Risso /-Ichtyol. de.Ni^e, p. 1 7 9 .,