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rén^ues des, Indes, en Ifes fapj^cHarit Aacune dè celle
qui lui ressemble 4e plus Ækutts1 l’au tr e hémisphère:
]^a C arAisgue sem.
Çaranæ sent, nob$<*>
Nops parlerons d’abord d’une espèce. ,qui ressemble., à
s’y mqnxendre, \ la fausse carangue d’Amérique par la
taille^ par fabsenp£. de tacbe. npire r l’Qpl^piJLe (£t; par
tous les détails, des p a rtie sau point qu’il nous a f|llu la
plus .grande attention .pour y découvrir quelque différence.,
qui même paraîtra bien légèrej ,..^.
-c^st ijue la ligne de son profil tombe plus rapidement, ou en
d’autres termes, que sa nuque est plus élevée, que dans l’espèce
d’Amérique ; ruais cet excédant ne va pas à un dixième. Le nombre
des rayons mous de sa deuxième dorsale varie ç|e dix-neuf à vingt,
ï)u reste, tant estcommun entre ces deux espèces. M. Leschenault,
à qui nous devpns çelle des Indes, nous dit qu’elle parvient à trois
pieds et demi de longueur, "et qu'élu?‘est azurée, avec des nageoires
jaunes. Avec l’âge; ces teintés Se rembrunissent un péa. Il y a du
noirâtre à la-pointe de la deuxième dorsale j^comme dans la fausse
carâUgue d’Amérique.*’ Son sous-orbitaire est lfe§Ç. Sa hauteur , est
n t r o is fois et denüç dap§ sa longueur ; la pointe de' 4a première
dorsale, deux, fois dans sa-hauteur.
Cette fausse carangue des Indes, si I on peut s’exprimer
ainsi, ne paraît pas sujette' aux inconvéaiens de lautre>
M. Leschenault nous assure quelle est très-bonne à manger,
et ne fait mention d’aucun, danger dans son emploi. On
la nomme à Pondichéry sem-paré.
.Dè toutes les espèces de Ru&sei, eest le wôtim-parah
(pi. 148) qui lui ressemblé le*plus.