Enfin, daprès un passage d’Aristoteyrapporté par A-ihe-
nee % calliehte avait dès dents* tranchantes il?ise .nourrissait.
de chair et vivait en so,ciétë.>iAucun de«;cès traitswe
peut convenir à la fiatéSI| poisjson faiWe/îra^è^ Étî à ifùi
sa petite^Bouche et «es dents à peine visibles ne ^rmet§;
tent pas de vivre d^. grosse proie;
La fiatole’dè fa Méditeiranée*c'st un poisson de forme oblongue
■et comprimée, dont la plus grande hauteur', à-peu près au milieu
du tronc, est deüx fois et trois quart^-ou près de trois fèiS^dirfs
sa longueur totale; longueur dont une caudale fourchue »prend ;à
peu près quart. L’épaisseur ne fait guères:plùsl^u .quart de cette
hauteur. La longueur de ladite.est d’un,peu moins du cinquième
r de longueur totale, et sa hauteur égide'^longueur. La ligne d u
dos descend lentement ët s’arrondit au bourd'u museau, q u l f p
^ 'PW ^ fr’onypé. Boeil est au-depôusdédaigné moyerin'ê el plus
_ en avant que lè milieu de-la longueur. Sdii^dilftiètre "ést dû ‘cfm
quième de la longueur de la tête. La b o u c h e r s -p e u fendue', ne
va pas même ju’sque. sous l’cëil. La m£c»erittfériëUrê aVaUcé^un
^ ■ p ^ q u e - l ’attirei et c’est sous f oeil qu’a f t i a J R arBcuîatlihn
Les dents; spnpsur .une seule rangée- à '<^quç(m à c > « ^ ’ et sidui^
et fi «courtes qu’il faut une loupe, ppurJLes distinguer; if n’y e n a'
ni au palais, ni sur la langue".' Le voile membraneux existe/comme,
aaf rQrdi? r . ’ deiirièEe J®? dents- Le m a x iÜ â h n ^ S c ^ S ^ r ÿ r è "
on n’en’^pii dans l’état de'rëpbs-quuh petit triangle derrière la
^ commissure. Le sous-o'rbitaire est ,côupé te r dW è 'ë tc le fcoljfÉ#
' sans dentelure. Les‘orifices d<r là -narine 'sbnt au niveau 'dirhc#d
- -supérieur de l’oeil," et Un peu au-dessUS dëda mâchbW^hpérie»î.|,4
à peu près-à égale distance de l’oeil et dujhaut' du mnséau,;et
“ P Poe s feL u n de l’autre,;-ljantérieUr est rond-, lë-postériéur ;ovab;
. joue à peu d’&oedue; le prç&percule est coupé presque en djagl
L Athén., uti sup. ' ~ 2 . M. ,Ri^o,n9uy:-édit,,;E. 28-g,,dit lé .palais-hétisséde
dentsp mais cela n’est certainement point.
cercle, et^adedimbe.-la^gent plat,.un peiR-^einé vers le bas, et le
hopdiéài^ denteluce. L%>eWdïe.‘est un peu strié vèrs sa base; mais
les, écàiflles cachent ces stries. Son bord a un petit angle saillant
bbtu^^le sousrbpér cialesforme au-^ssous de. cet angle une lame
étroite et,presque verticale; lhnhrôpercule,'est plus large,:et l’ensemble
dés trois pï'èües' forme-une valve arrondie., La fente des ouïes
descend. s.ous lé hord inférieuridj^l’oeil; je nsy -ai, trouvé que
six .rayépi^'-et le sixième est<ngfêihe diÊcp^’àîidecbuvrir1 dans, une
membranestépàisse jetîcharnue, qui l’unit'à elle; du'côâéi.’bpposé en
passant sous l’isthme. L’épaule .dônùeiunë lajne triangulaire, courte
et ol)tuse^iL-dëss,%s dé lais sellé*, mais happas« d’autre, armure, La
pectorale est.-avalé,'»d’un peu :mojh;s du sixièUiélde la .longueur
touTïf-jtVfajompte vingt-trois râÿon^dont le sixième et le septième
spnt les plus longs^Je me suis assuré pfr- ûhçxamçn fait exprès,
qu’il rfy" a,aucun vestigÿdèly entrâtes, i^ais^quel’on- voit- seulement,
à- hendTQitJ ©4 ^l®ha’gRqireshsôi|L|brdinàirement dans les ■ poissons!
dits* th(jHaeiqjji, im 1i|lld.éger ÿoturelèY de«,çhaq^ f ç é té, ,du. tran^j
chant mais monpàs(une épinqc<pn|mè
et lorsque M i|\© ^ (lil/q u c 'fa fiàtïUe' aVfh 7. rès'-petités' ventrales
composées, de quatre rayons, il eri'cride^vpïfur moi qile'C-ést un
^a'Èitrfe'- poisson- qu’il a,décrit, et -probablement Lanus
^ êst assez-loin deragjÈfrtvcêtie i t rip ifessipn^èt' én? |i||a p £ duï b © r d antérieur
banale. 'La dorsale commSlemslâ'-Vi^le» milieiî de la peclorale;
son .bord» sWontinûe'aye'cdà li^'é^eila nupue1, j i p ’éTève paridfegyeS'
'jus^,ôer -vi‘sià^ris le milieu dùUsrone&pù elle'.pre^&^ïviron le cinquième
dë4 a hauteur; ensuiffefèlfè diminue éfïSe termine a une distance*
delà candaléi^àlehu^efttRtôa0 êne:|M la lônghêur-totale; elle
estlépaâskb'etfjrintervalîg^d^ps mérU^ranes ’est^rempli dé''graisse,
" j^ n e lui trouveupie>cinq râyonso,épineux, et j ^ ^ a ^ p t e quarante
moül; -le huitième ?èt ïlëj|h(euvième derniers - sont les plus»
longl-^anale-commend«|pAUS le milieu, du ,UîtOncp.ëllëîprend:^ son
quart antéricun à péu» près la hauteur," de la dorsale;-.’ diminue de
- mèmeoet ^àlterhi4neivtsBc»s, dtf- mêm^nomt.;» skl|übstancegest, sem*-
blable : j’y troüv^r.èis;épines el! trenteftipis- fÊy,onsjmpus. ,Le bout
. de queue derrière ces ,deux>?nageoires êé:-ài peu» prèssaussi haut que
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