On estimé sa chair. Il se nomme en sicilien aliccïoia,
aricciolà, arricinola.
Le même auteur à un trachurüs fasciatus, que les
pêcheurs nomment arïciola imperiaU.1
Sa membrane branchiale,-n’aurait aussi que trois rayons, son.
anale vingt. Sa caudale est fourchue. Le premier raybn de sa dorsale
- *est comme détaché et retourné vers la'tôtë (il entend sans doute
par la l ’épine couchée, cdHlmunefaux caranx, aux liches, em)- Sa
couleur est jaune^mak il a le ck>S .et^quatreM}^ ;cinqtlàrges bandes
transversales brunâtres. Sa lignejatérale est arquée èmavant. Toutes
, ses nageoires sont jaunes,.
D. 8 — 30 ; A. 20j P. IOj V. S.,
I L’auteur fait observer qu’à sa petitesse près, il ressemble
beaucoup au ju^céderit; et, en supposant qu’il n!a p a t
compté IM if |7ons des ouïes ~à'l’un qu’à l’autre,,,ce
doit être ici_la jeune sériole avec ses bandes noirâtres.
La S é r io l e d e R iv o l i.
#(Seriola R ivoliana, riob.) ?
M. le duc ^le Rivoli a donné au Cabinet du Roi une
sériole de l’Archipel y qui nous paraît différente par l’es-
pèeet de celle que nous venons de décrire. Bg
Elle es t plus courte à proportion. Sa hauteur n ’est que? trois
fois et un tiers dans sa longueur. La bouche est moins fendue ; les
bandes des dents palatines plus étroites; la vomérienne est un peu
plus longue. Sa deuxième dorsale est. plus haute de l’avant, son
premier rayon mo^ptyant les irms, cmqbièmes de la hauteur du
corps sous lui; les çfiailles sont p u s grandes. Nous ne comptons à
1, Rafuiesque, Indice, p. 3'iyxr.“ 1 0 8 5 et ù4pp.,"p. l5Z} n.° i 2 .
cette nageoire, .que ving%hgifaayon^:.mous. La large bande brune
de Ha iempi ayànc.a,^tyf|eva»i dfd ’jrçil; plus marquée qué
suida seiïol e „commune. ’l)phestp, les autres caractères de cette
nouvelle^‘éàgèce^soniles mêmes que ceux de la première.
I n.gj^28kv' *-yp a fffe-"À
^ Notre individu est lo u a de
” La ulvoli a ^pedt j vés^i&uîe du fiel aussi
longue, ifitâïs,,pïus étroite j l ’ëstotaiac plus^Mge‘et plus lo n g u es
ceecums beaucoup moins nombreuaftjue 'ÉeOx-efë'Jfef seriolé ordinaire
; le reste é& leur splanchnol'djgie sé ressemble.
La S ÉRI O^EL|p E D E.
Ç$efiolq jalandi'x, nÆ 1 J |p
1 L’Àfkiitique nourrit, sur U^pôte's^uÿrésil uné sériole
qui ressemble prbtl igjeulemenh/a nmr n^reïïïière esp^e
■dfc l'q Méditerranée; mais,.après un examejiattentif, nous
lui "avons Jroqy^^
le corps plus al<31§f;jles stries de ll^ e r sC ttte ^ ^ ^ ^ u r un e*band e
plus largeyÉe scapulaire plu§laqge;Ja^.b,râp e ramfëriëpre/fef]5bu-
merai moins^dÇlte*;' 'et™,' ‘ce? qui1 ert‘Surtoü.t mi^tàraétefé^Sotable,
les cOTést'de la (fùèuetsprit relevés en une^earènfefcproiumvéeg, sans
. r qn.iit • ÿ ail cepebdantcaneUB. - boucher.
Dtïï A. If20. \
La couleur parait ar gentée pglàHéeÇd e -bleu, plus opSpoins rem-
; | brùnie sür le.o^;îJe®e vois pâ&de, bandeisur lâttempe,|M
La longueurv'de pds indi'ÿMuliw^fl ^-depuis un piea
jusqu’à' trëisr et 'âu-dela.^No’us'lès ajpns^fiçus du Brésil
d’abord par M. dè£Làlahd^et,^%SMteT\ï.Ifrdhc ae Rîffoli
nous en â^mûW un qui êst long de trois pieds “éf demi.