;• C es t , a ce qu’il me M. Bissé
( 2. édition, p. ^ à , n.° 338, et pl. 6 ,vfig. 13)! désigne par
le nom de c'itula Banksii, etlD laquelle il rapporte avec
quelque probabilité le trachurus imperîalis de M.^Rafi-
nesque 1, qui lui^inémè ^ ^ ^ ^ ë iàp ru n ^ de d’ou^rfgé de
CupànrOntitulé : Panphyton fiçulum (t. III, pl. i ^qJ.*
Dans un mémo|&3 manuscrit^ communiqué autrefois a
l’açadémie des "„scieqce^, M. Risso nommait reb pois|pn
caranx magnifique, à cause de la beauté et de I-éelat du
ses couleurs
qu’il décrit, coÆme^ujP^l j t ^ r g e de pigeon sur le'do^ÿésél^n-
dissantés dë FecTaÿ de ef'àâ,'rïéflëtsiBâéi''éâ^ttr
le yèntre, aveè une tache 'noire à Xiès’ mèmhran^
leuses aux cotes de l'a hase delà dorsale *sôfat j'kuhés,^a|i^;hTie’'te»
pectorales. ,-Sçsk nombres soni-fols fmèii£el^lrae%es
- nôtres ; mais sa figure est fautive à-cet .égard; «fille. ne'®,ôn®'eUque
, quatorze rayons à-la deuxième 'd n i^ ^ ^ èu d ’ou^e jàîfanale. ‘
L aiguillon, qui parait isolé' entré la première ..et la?sc|t
cojnde dorsale, et qui n^est que le dernier rayon la
première / dont M. Risso ‘veut faire de caractère "de §tm
ge'hfè bitulefis'é retrouvé1 ainsi dans beaucoup dé eâraïix.
Ce. poisson sè montre sur les cotes de "Niceven M«ai et
en Juin. Sa-fem,elle pond ^ la fin du printemps'. Üesnèce
attqint vingt pouces de longueur;;’on la nommé a^î^ce
/?ei-^i^reàî^|rçéQrimptiâni àê yaurçl. Sa cfiair. est ferme *
tendre et d’un délicat.
La figure du tràchùrus imperialis d é fM. ' Rafinesque
payait un peu plus alongée; mais ckst un défaut commun
à toutes celles^de sôn\mvrage.
1. Caratteri,.yi$%2, n.? 116, et p t 1>J, % . 1.
C $A P . XV. C'ARÀN'X P R O F R E M B tf î D IT S , 6 3
if|i i/'aMenr l«i'dmne plus de1 t«ois<rayons aux branchies; six ray<?ns
. à la1 première: dorsale, vingt-cinq à lé Secondé- ét autant à l’anale;
• les Jè^rbsir.g |p ^ s ^ |u.nefc protubérance sur le muSêkia k cauMe
fodfçhue la ïign*at^ale..ngud?é‘jBf#. -épéneuse dans sâ partie postérieure:;,
le çorps hruh en .dessus une tache noire à l’opercule.
■«Sa taille est de deux pieds.-Les pécheurs siciliens lé
nomment saune irtiperiàli, poùr le distiügtier de leur
Atf&m^oftfinarre, qui est nôtre^m'urel.
. $L,Rafinesque1 a,formé un ^enrejrachurus pour lequel
il n e S p a s que la ligne. latérale soit cuirassé^ , mais
seulement queîl©s^ote& de la queue soient anguleux; et
qu’i l j f ait deux d^âifës sans épines m rayons libres et
seule, anale ,'f expressif Par ©“ il ne jyeut pas.^ans
douté e ic ^ ^ ^ fF d eu x preïnièrfelbépifiés’ de âerriel#raûus,
puisqu’il placé dans^^-'gùnre le -saurel commun, ou cette
sfbée dé premier è*anale est ^îVppàrente?
Ilreompfè quatre e&pèééS de e’ëé trachurus% indépendamment
de celte qu’il regardé, comme le s,aprd ordinaire;
mais la première^SuIe, ou Yimperialis, nous parait a>p~
parténi^â>in‘6“tré gepÉ^càranx,TtëI que'ppu£ le {^g®i?sons.
Le C a r a x x p r i e .
* | Cgranx, plate&$Ui.n@Éi)
La mer des Indes ü aussi une espèce dex éé groupe, apportée
par Peron. Elle re|#émblé beaucoup au lima.
Sa hauteur est du tiers'de sa longueur.- Son épaissfeuédemoitié
‘d e p l hauteur. Sa tête-eÉ quatre fok'dans-^sa’longueur totale; sa
i.V a ra tte r î, p. 4», n.° Ji 1,6, pl. f%. i,
2; : Rafinesque ; îhdiceji’ittiologiàsicîliaM, -f. 20 • et 2 r t