texte ; car nous ne mettons pas en ligne de compté'' son
assertion que la caudale n’est pas échanCrée, sa propre
figure la montre telle, ét il n’a pu s’exprimer ainsi que
par comparaison avec' des caudales’ à longuesvfourchès,
comme celle de l’hippurus. .
Tous ceux qui ont parlé de l’espèce que nous traitons,
jusques et y compri^ Artedi, ne l’ont fait que d’après
Rondelet. Linnæus semble avoir observ-^par lui-même
celle qu’il décrit; mais son identité avec celle de Rondèîet
n’est pas aussi -certaine qu’il lè crôit ; il >né*3ompte qu|§
trente-trois raÿôns à la dorsales; que quatorze a l’anale
que ce même nombre aux pectorales', et il parle dame
mâchoire inférieure montante, d’une bouchqTRë^-îendue,
de pectorales extrêmement pointues (admodum acurni-
natoe ), tous caractères étrangers à nos individus,, et .que
la figure'de Rondelet ne montre pas davantage, Ce qu’il
ajoute d’âpretés au palais, d’une tête caverneuseæfeden-
tëiSf est également inconciliable avcc^oe que nous avfraà
oBservei /
Tout nous montre que le poisson~quil ayait^ous les
yeux était quelque pefcoÿde, peut-être même dé Fâ, famille
cjes-foues cuirassées; mais npüs ne pouvons, pas la q ^ ^ ïT
paitrëy H
Néanmoins c’est d’après Linnæus que Daubqnyon ret
Haüy ont décrit l’espèce-du jeoryphènef-îpompilelKdànSi
rEncyci~opédie. M. de Laeépède a fait-tsâ description sur
Gmelin; il met seulement à la dorsale trente-rcinq rayons 1
1, ypl est le nojjibrp marqué JJÉÉO&s éditions 10 et 12. ■ Gmelin a mû? vingt,
quatre,, majs sans dire sur qqellé îHüÈoritéf ce n’est probablement de sa part qu’une
faute d’impression.