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xajgette espèce paraît être fort fare'idâ'hs le lac Pont-
cliârtrÊÉii. Iüridividu que ndus vênons de décrire n’a que
trois poiîées de longueur; il estlé seul que M. Lesueur ait
pu se procurer. Ce -zélé qbservateur la,entendu désigner
sous le nom,<6 Têtard de Saint-Dominçuç, ^cause de
sa f^|4m1>lancê;jtossiere.’à ^ quelqu£S-uns dè& éléotns
dé cêttG^llc*
'.(j^ioisson aime les eaux ,qipbrâgées sur un fond vaseux,
^page ÿ f t s l'article-au béryx d é c a d a c t y l e , , ^ r ,
&ÜP^s.'.ponv^ns parler d’une 'troisième, et nouvelle especé
de b'ér^,.'d’après un individu un peu mutile,;.à la vérité,
mais qui nous ÿoffert ÿe^aractères' assez précis et, assez
curieuxt^pour nous engager à le faire ^connaître. Il a^été
retiré de f ttJ r a a c d’un dauphin* harponné par M. Dussu-
mi&rêdâfïR les mers de l’Inde'^ par 3 2» latitude sud et-par
5' longitude «drd- dë^aiis. Nous 'croyons poiivoir l’app
e l ^ d’après cette jjcirconstance^
L e Béryx du bàuphin;
(B e r y x delphini, nob.)
Il,a-l’oeil,.assez;grand; les différentes pièces, toperculaires,et les
y «arêtes des branches^ de la .mâchoire inférieure finement dentelées.
Les dents en fin vel%qçs*«Les .deux mandibules laissent entre elles
une petite rêçhancr^^dansî laquelle entre un petit tubercule de
la mâchoire in fé rie u r qui dépasse un peu la supérieure..
La dorsale est unique,,et,a cinq premiers .«ayons grêles,- flexibles
et épineux j le^remier e s tt^ - c o u r t, e n JfW î* * augmentent s»c-
icessivement dé hauteur ^ q u k u r ^ B q iû èm é ^ f p n n ^ ^ S ^ :^ * la
moitié disuprèmier rayon mou, lequel est apssi;,élevé que le corps.
Le second est -un peu raôins haut, et les autres décroissent suc