Des Stromatées étrangers. "
La fiatole ma. connaissance , que dans, la Mediterranne|
| | e ne .trouve aucun • témoignage, authentique
portant qu’eKr a été ■ j^ê^ln^ailleuTs, &at s si LinnæÆet
q’a p r|| lui d’autres MctgMëjit qu qp*] la
trouve dans la mer Roùgey-Çjest paiplL qiua- ^exemple de
Rondelet, ils. ont cru que ce de® î| être 1 (SÊtromateus
de Philan etJd’Alhénéél" *’
■ Cependant la mer- des;; Inde&ypréduit d’autres rnsp ^ cs
de.cev-g!enE&jre t - e n a particulièrement trois,ou quatre
,dans le golfe !êle Rengale, que nosd'Tanoais de/Pondiei^ry
nônnaisséht sous le nom dé pample, les Ai^fâfiÿéiîe
MadrnS et dh ^izagapatam *sousT éèlui^dé'wom/re?,• L’un {èj
Bautre est cofrompûde pampas ou pampus ? lequel uênt
lui-même tÇcelui dé pampano, qui est InÈopcemenu
espagnol eren portugais le nom^®na4 aupê^^i^âJ salpa,
L.), mais quelles colon^ espagnols et plrtùgaâ^â^^Kux
Indçs emploient,,,pour toute sorte de pufesépsècén q >i’iin os&
popr d i f t l g h ^ des; trachinotespdes chétodons, etatn I
iLe s indigènes de la côte de Coromandel
genre vaval, et peux de la cote1 d’Oâixa sancLawàh% ajonotant
des épithètes pour distinguer lefeuspè^lSei^e«/, qui
signifie chauve-souris; s’applique'aussi èfd’.^Htres*r^i^soMs
comprimes^età nagepires hautes, -notamment au choetpdon
teïra. Nos, colons- français désignent. ces;fëspé,çes par la
couleur, et ont une pample noire3 xmçpample grise et
line pample blanche. M. Spnneràt nous lés a données
sous ces noms, et la pample noire en particulier nous a
été envoyée à plusieurs exemplaires par M. Lesçhenault.
Bloèh',iVdrs la M de sou grand ouvrage, a décrit et
l^ept^Mlè^triêts de!i^ds%oissons Séus!Ies noms', de’^ r o -
màtèps nigçr ( p l . f&ànmêus cinereus\pl- 4?é) et
stromaûeus argenteÆÈ( pl. pt M. de- Lacepède a
dcf^né’^un extrait^^^^Sarti-elesf( t. IV, p. 892 et suiv.);
1R H R H B ni l’un ni. l’autre. nVremarqué ^ .j’est que
Bloch^avait déjà donné?^n. :^om«?e«A niger, pl. 160 , et
Basait Confondu avecïilçê pampus) de Slé&ü^éü stromateus
paru d'eïAiÂfiætis, q u ^ '^ ^ e Htouve^qU en ; Amérique et
ustÿh^iaU d’un autrê^ jfouS^génre, ct|mme nous le verrons
bientôt. Aussi Bonnaterrë na-t-il pàîs manque de prendre
teÉfe figure de-Bhkéh pour rejÿrésùmte?r’ 1-e paru.
-p,Ce qui n/est pas moins|^reniarquer, -ciest que ce nom
ête.paru n’a'ppartiént pas-plus au poisson d Amérique qu a
Lëtelui des*'Indes’; IpIfp’eSt le nom .que Margrave donne à
un de^ihifânpomacanthes^!lel!ehoetodon pariij^ét Sloane
n’aybit Apasvdiül' qUefsOn pampus dë portât, mais il avait
simplement fait observer que >î©è pampus est/ Voisin du
paru du Brésil. - i r ~
On ne<d©it pas ^inquiéter de la prodigieuse différence
de couleur .entre ce paru de Bloch et son stromatee noir.
Bloch, qui n’avàit pour modeles que des individus altérés
par la liqueur où la de'ssiecâtio'n'pîhs - enluminàit^souVent
41 sà iantaisie, ’ heureux encdife quand il n’en altérait que
les, couleurs^4!
Russel a donné quatre de^épMromateusi et Euphrasen
deux;1 .’nous essayerons d’éti fixer la synonymie avec ceux
de Blo ch et ,ayec .l,es nôtres y tâche qui n’est pas très-facile
dans un genre où les espèpes-se ressemblent tant.
^oàCes stromatées des Indes: ont le corps en general plus
élevé que notre fiatole, la dorsale et l’anale plus pointues