\ 6 6 LIVRE IX. SCOMBÉROlDES.
offre des espèces de dentelures, mais moins prononcées qu’aux
equula. La -caudale «stjbtfn&uej ses iobes o n t près du quart de
la longueur totale.
B. 7; D. I — 1/2S; A. 2 — 4/21}L'. r. ,
Les écailles sont fort petites et enveloppées d anfl’argenté ^ la
pétu : on n’en yok point à la tête. La ligne latérale a son tiers- antérieur
arüpié vers le dos^ le-reste w d r o i t ; elle se marque pars de
- légères élevures un peu plus sensibles aux côtés -de la. queue. Tout
% ce poissdniest argenté <et a le dos verdâtre, plombé ou violâtre.
Une tadbe dbm j^m b é plus foncé «t quelquefois noirâtre, iselfait
remarquer sur le dessus de la queue, près la base d u la -c£pdale| 'e|' -
s- il y en- a une noire dans l’aisseüe dè la pectorale,; qui manqué-
- quelquefois, et une autre sur:4e bord membraneux de l’opercule.
'Le fond des nageoires .verticales est faunatre.Lâpartle jantérieum de
la seconde dorsale est ppintillée de noirâtre.
™j Le de cette sérioteforme une seule masse creusée en dessus
en gouttière pour le passage de l’oesophage. La partie moyenne se
prolonge en une pointe trièdre qui avance dans le bas de l’abdomen
jusque près du rectnm. La Vésicule du cfiel .est petite qtÆ^eittëe.
L’çesopbagd seîplie et néi se vétricit que sur le bord du lobe du.
< foie. Il y a dix cæcums /autour du pylore,_ deux dans feoe^edmoit,
et huit du côté gauche j de iceux-m les; quatre premiers sont; longs
f%t grêles^ les quatre -autres sont radiés sur; e n z ^ w s s en cercle,
; -et ont l’apparence à l’ouverture de. fabdomèn; defpetits as^ftides j
mais je me suis assuré que ces corps sont rég lle^n t des appHWhces
■Mtecales. L a vessie aérienne est t r è s - g r a ^ ^ m.p*u'?fouidbaçaiï-
^deüt^du premier ûaterépineux de l’ana®^Iies*rfflàs so n t réunis et
donnent dans une longue et étroite vessie urinaire un peu renflée
enS&tseau dans le m il§u, e^dont lés parois, d’un a rg e ^ » R t^ ^ #
»détachent trèsjgettemenEsur cehev de te vessie â-éaeiSn^qui dm,
le b ê la n t a rg e n t pKi. V <jMËË
DéÜs le. Squelèttr la^^crête^itoyenne ^ crâne ^ ê lv e tréiffou
qiiatrp fois plusÿque^s .tetéi^s,*^®' sô n f f l^ , basses ; elle se= bi-
fur^aefeff avant pouf llfssêr un espace aux'pçdicul^ des ifiier-
- maxillaires, quand la. boucbe se retire. ,Il y abomine-dans les
> I M dix vertèbres abdominales et quatorze caudales. Les cotes ,
ceignent tout l’alxdomen, et les six dernières viennent^oller leurs
extrémités inférieures- aux- côtés des> premiers mterépmeux de la 1 queue, en dépassant te premier dftcgfOl» qui est fqrt ggnd et
forte îes pgtites épines de derrière" l’anus ^ leurs appendices sont
fort petits. Le bassin eft comprimé et serré entre la partie mféfïeure
des os de l’épaule.
La tailte de nos individus ne va pas à plus de dix pouces,
Le scomber phloris de Bloch, pl. 33g, noffre d’autre
â lS rfp c ! qpe ia co u l^ r, qui', comme on sait, ^ ’l presque
toujours fausse dans des" figures 'auteur, quand elles
nei représentent pas des poiÉops du pays, parce1 qu il la
donnait telle que lo ^ess’echëmeut ou l’action de la liqueur
l’av|ît faîte. J .
II’peint* llm*poisson devèrt. jaunâtre, lui rougTC la base
de la pectorale et dèl^caiidàte, |g lu i donné tes nombres
suivons, dont le preîmer bieq sq»femeiit ntest pa&.exact.
B. 6 j D? J — 1/2$ ; :A. 2 — ||f f 2"35 P- 16 f e 1# -- -,
Quant à.soû assertion, qu’il i^y a qu’un orifice à chaque
narine, nous, n avons- pas .besoin de dire que nous nea
tena is aucurÉc^ap-te.
EnShn, ce qm a o it’tever tous les doutes, pai &m$m4
à Berlin f individr^Se^Blbch avec notBè iel^ce,; et^je ÿic
suis- assuré' de leur identité. - - * *
Cet individu était long de dix pouces et haut décroîs.
IftSeioii le docteur is e rt, de'qui Blolh le tenait,, c ^ p if c
son venait dè la côte doGuinée. S ^ h a ir esÿ’molle, grasâe-,
@t$e eorr(MaJi*aiséiBieat ^Ijp qui ne fait que la rendre pltis
# agréable aux ip ^ g è ^ s. M. Billard no|tôÿ^t7;au contrairè,
que sa, chair e jp $ h e - et mauvais^. 1