. " Elle doit être »rare ^puisque de tant^ de voyageurs qui'
nous ont procuêë-'récemment des3 pofesoEfe de la ihër des
Indes ; MM. Kuhl et Van HUs'seit èont le^;'setfls>,qui Tarent
rencduTree^ *
. iL e Ru rte,, c'ogR^tr^ ^
KüfâpSMcornûf{Ê3 nôb.)ï 'J •
T .R xnm,tJrum. - Tçara - moddéel Jm jVizagapatam , Jej tové
de PôndicTuëïy, que nous .appelons kurtusm@rhutù&,, mais
que nous çj.oÿons pouvoir qgnsidérex oontme, le^Me de
l’espèeè préc^ffinte,
a*exaetement les mêmes proportions,, la même coupe
mêmes dents, les mêmes épines au préoperculg' et en,ayanL de la
" " uorsâlé,1 IeLmêrues nombres Jfe rayons, les
même .singulière épine du dos; la seule umcroucc que nous gui-»-'
~ slom apèrcçgdi ^ s e s t" qi^ B .avant ou. sur la prémièiv <lës
lames tranchantes de la nûque'l^j^ge- u n e x artiMelneuse ,
* ^rrip rimee.*cfmrbèè^entrant .' et spÆebéurbant un p e u ^ p des.siis
a sOn e^tramm v!et appendice exu^rdinai^Pet dunÊTje ire tïîis
pas d’autrÿêxem^de daas toytela Glassè a .a peu près
en e.inqiiièmê déblai hauteur dyrrrorps. et la
partie voisine du dos a aussi ipèa points noirs. Le .reste du corps J |||
du même’fkwg?gl^pé,dWeeniL changesfa 1.en ffirré e t -eii n,mr<v.
que dans ;le'précèdent^-^
La jEtonne vertébrale présente ,jaussî la même dispoMiidn dés
côtés élargies en barillet côiiique sotrs |Bp|corps des vertèbres.:;/»
'Notre individu n’estj aussi que de quatre^ pqnrges.>,d,e longueur;
çelqif.lEî^L. Rus&el, en ayait cinq et il dit njen; .avoir,
pas vu de plus graçdi Cest aussi fie qu’assure M.flLesçhenaultj,
qui ajputç. qu’on le p?ecLq p^hdant tpute l’année dans la
yade de Pondichéry. Le poisson fr^is est presque transparput.
Il est b ou g manger, ;
ADDITION S',, ET CORllECTIONS
i t i f l l , III,
T O M E S E C O N D .
f fiageï 3 8 ,/apEè$” i b u s â ^ ^ ln jp ie ^ avouiez; i !,
L a L eî^çhe, tru« e.,w
p i trucha^.nob;) ’îj.
î avrm^gecjia du Rict^Èwb^d^fe*wtagohie ' par, les
soins®, M. dJOrbi^^ùnètpbÂhh qui différé non-seule-
mMf qe^él'îe ' d’Europe.,• i^ps 'qéSi autres espaces Voisines
(joueesAlc» I Amérique ^^penfriouaîé, paîrce que
les .éc^iles saya^çh1 sur l’extrémité du museau et ,çou-
viîent la^usporbita-ire, disposition qui donne,à ^poisspn
Tapparen*Gè^âu|a sciéboide.. -,
Mais ses dfents en velours ras aux mfêhdiTeSyau v om e r
e ï aux palatins,, sès d e u x dorsales; efê/les dentelure-s finës
et*^r^éfes/Muï sdrite-orbitairë e t d u b o rd -m o n ta n t d u p ré o p
e rc u le , celles' plus fortds h u 4m breusesi: e t dirigées1 vers
l'extrémité d u m u se au , le 'lo n g d u b d rd fcorizonfâl de Gët
os, l ’épine de l’angle^de l’o p e rcu le , lo ngue e t p o in tu e ,
fixefaÉ'-la vraie p la c '# â i^ c ë poisson dans Lê système ich ty o -
logiqifêb .
La première dorsale a des épines assez fortes ; la troisième est la
? • plus haute,, et triple de là,première. La seconde dorsale est un peu
| | plùs basse. L’anale est cèprtë; la caudale, est légèrement arrondie.
D. 9 _ tyl&i Ai 3/10 j C. l ï ; P. 14vY. l/5v .