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„ ff, LIVRÉ IX. SGOMB&toÏGES.
le ClWhie assiette daps .nos colonies françaises i^Lmé-
r ^ ù e 1^ à^aTnt-l^omiogttjp of» l’&piftlÿe t e comme I l |
gyiéiosçjflf^ il^|üàrtage afts& ay<gjs elle dans les ^olonies
espagnol®1 le nom de corcovaxlo onJfrdvvn.a
Sa forme est mains courte que clans aiimn des pfécédens; son
■ profil un peu concave, mais au total presque verticalj et sa1 cfête
du Crâne disposée demânièi^1 que le sommet de la tête et le point
P le plu® élevé «te la ligne du .dos lui donnent^oeie plâ^wa^pmie
aisqg à reconnaître, À compter dé, ce sommet jusqu’à la deuxième
dorsale, cett#ligne est presque droâyeÇ-wsuîte <pe descend par
'iffie convexité légère jusqu’à la partieP|ï»êle et nue delaqueue. Lx.
ligne du ventre fôrmè uimss pln% contiim et d’urne cbhvmute légère
‘ ' iitèjmfe l i B^Ælie jusqu’à la queue , en ifôrteàquiJwmt lé corps formé
tm ovàlé rêleiëi eri Mjrière, et c p i a e tronqiPen aVant par la ligne
concave du profil. **
Sa%auteur au milieu est un peu moins delà moitié dé sa longueur
totale. Gomme la liga^du yentre remonte tin peu en avant, J^tête,
quoique son sommet saMle plus <ng$|& reste du H|dÊp| au total tiq
neuvî&qg de^mo^sîefiÀaiÿfi^q'^ÿs^3iifiKU du ç'©rps.;&ëpaisséür
çst quatre Ibis et^leiarte dahsdâAauteur. La tête est du »dbiSîIe plus,
haute que large, L’oeil j^ fau milieu. Son diamètre est d’un peu plus
1 ' d%n sëptièmé dé fa hâuféur dé la tfte. Entre l’oeil et le ^ord tranchait
du profil sontles deux orifices de la nariney ë h iô ë ^ l 'pr^é
Tiw de Fautrejd e p&stérieur Un peU plus grand et plus éhrié.La;
fthte Se la b o ^K ' descend «;ès-tapidem^pit en arrière, presque
jusquesous Foeil, dont elle est séparédpar um td u ^ o rh ita ^ rhom-
*bbidal et très-élevî, quinekiisse paraître, dans l’état de rSttaction,
que îé hotri élal§i du"dïfâxillairgi 1^’ pufirtVactio# e n tré s -p é li^ i‘
choses II y a, à chaque'mâehoire Une fiance extrêflPàenttèédïte
° ou plutôt y^e radiée jfc dents /e*|. Vèlourê frfewca®, qui ’&¥' Sentent
« mieux qu’êiîif mPherycrientrLe vcrrncren® une fignp- semblable en
1. Labat,Y©y*îde Desmarchigt, t.%/p.!3*a.«'2. Notes- rçanuscrites & M. I%ey.
ùssÉËm de son extrémité antérieure^ Lè Voile membraneux des mâchoires
est comme- à üordinaÿs^ La JfangUè#, très-Kja-re, étroite,
pointue, est garnie <foeHe jpreféMis|pz ri*de. ^ ^ p r é j^ r c u le a son
anglg*dans sspn ^de L e '^ |p e t e n ’est
émoum,L’o p e r c u l e , f o i s plus haut que long,^Vm arc re%
t r a n tl^ à moitié simérieurélie, son lmyd}r qf finit inférieurement
en pointe, derrière'laquelle le suboperçule monte obliquement.
L’interppçrçuM est assez loifg; tou€ts||$| pièces gont oentièij#* Elles
recouvrent ëj^^Tement la membrane branchioStège, qui;^st fgmdue
jusqu^entgeries angles de*la mâchoire inférieure et est soutenue
par sept rayons. La stapaig^ésdes os de l’épaule -0 dû iM^siiycst*
nirinimP! dans les précéll§lll, et ils soutiennent 8e même la c^pée
aiguë dlFvemtre. La pectorale, attachée au n ^ ié t.d e la hauteurj est
en forme de fau#ar<pée fft» pointue dl pnès dm tie ^ g : la longueur
dix-neuf raÿoiasy»^ premier^jès-co'i^Sfie^finqulème
^te plus long. Les v e n tre s , extrêBaeme:^Pc^àr||sî u’&ut qujg. le
septième, de la longij^ur desHpqgtorales;
première dorsale est excessivement faible et basse. Son second,
soniÉroisième et son quatrième rayonnant même seub assez élevés
»pour avoir une mèr®3ranèÿ®séméïm^isible^en^rerie^ç second
n’a-t-il pas fe dixièm^ deTla hauteur du esq|‘p%.Ee premier et, les
quatre derniers ne sont que dé petites épines; llrsecoOTe eompiqpce
à peu pfèsÿifele milieu deda lignedii d®s. Âpres un rayon epiEteurit
court, càchê'oans son bord antérieur, elle en a un mou, de la
hauteunienriron du quart de celle dujcotps,^^^suivans b a^ ^p t
rapidement jusqu’au^lxi&nêk af>wès lequel ^g^pestent et
égau^lPl y erba en toh^vingt-iàfeux. E’anale correspond à cette
second dorsale ; mais elle n’â avec son, épine j p e dix-nesr f myoïfô
mOus, et 8es premiers ne soq|. %as aussi loi^ s que ceux de la
dorsri«. «
* La portion grêle de la queue a en longueur le dixième de la
|ïd®ngueur total«,» et est£pois fois molls hante j A a d p i' d es lobes d ^
laycàudale est d’un peufptys» du cinqmè'me jls, la longueur totale.
Lel*écai|les. se voieid; mieux dans Cette^ÿèce«jue dans les pré-
eWentés, et même, dans les grands individus, elles sont prononcées