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un peu, plus que l"autre. Sa- ligne latérale eçt. droite survies deux
tiers postérieurs du tFODCj.ejl; y porte quarante-six plaques aiguës.
La-première dorsale est à . peine (l’un cinqijàème moins haute que
le corps. Ses"deuxième, troisième et quatrième ràyons-sont-les plus
longs. La pectorale est en faux, et de plus du quart de.la longueur
~ totMe.“ Les ventrales orit un quart de moins.
B. 7; D. 8 —? y S f f ^ t iine, fausse-Bagecâre ; A. 2 p~ l/24, et une fausse nageoire;
G. H P-'26/ V. Ç.
Le dos a des nuances gorge de'pigeon. Les côti§s' sont, argentés
et irisés. " Lè^dèssohs est d’un blanc mat.“ Il y a iine tâche noire à
fopé^Slé et du neuf à la Sommité dés^plaques. Les' lîîrgéoïres soht
transparentes. La'séeoadte dorsale a du noirâtre vers son bord.
L’anale est. lavée de rose. Il y a du brun-rouge à la caudale.
Cette espèce, selon M-Risso, égale à'peu.prèsTeî'saüflFel/
et atteint fréquemment dix-huit pouces; elle se montre
au mois de Mai, et se-tient dans les moyennes profondeurs.
t e leurra dés Indes, qnae nous décrivons à 4a fin de îce
gjÇQjmer^-esfe. c<éhii qui paraît së rapprocher le plus dèjee
suaréjQUÿ mais ses. proportions sont moins grêles.
L e : Caranx roneleur.
(Çjûranap rfaonch&Sj, Qéoÿ:. y Çuroniti flèæfindripiis, EhrenpT)
La Méditerranée en produit une autre espèce ; mai«
seulement dans sa partie „orientale—; M. Ehrenberg fa-
rapportée d'Alexandrie,, et L’axait nommées d’après eette
ville; mais nous nous sommes assurés que c?est Êa même
dont M. CeofÏF€>y Saint-Hilaire, qui fa aussi observée à
Alexandrie , a publié une figure dans le grand ouvrage
sur l'Égypte £pÈ.'3ù|,î 'figO* '&'&% que son fils a décrite
dans le, texte 4u. même ouvrage: sous, le nom de çaranx
C-HAP* XV, GABA^X t-tOPftÉMEXt DITS. 27
rhonchus ou ronfleur. Seulement dans l’ouvrage d’Égypte
Gn a négligé, de'marquer la séparation du dernier rayon
de la dorsale èt d€ l’anale, qui est cependant bien existante.
v.V - , , , , 7 7 7.
' Ronfleur^eîî la' traduction du nom ax&he chakhoura,
que lui'donnent les pêcheurs d’Alexandrie. |
’-Sformçs^énér^es^oiit àpeu près cefies du saureL Sa hautqur,
la longueur de sk.,tête et celle de ça pectorale, sont environ quatre
feus et demie 4ans sa fongueux totales Sçm èpaif.seuar.est de moitié
de sa, ha^ew-Leldiaiqètye.de -son oeil est du quart (Je la longueur
de ça tête. Le limbe de stfn.préqpercule est arrondi, assez large
M au milieu et^ eiw . Le^bord ?in£érie^r; de sqn ppercule eât^djpit.
’"'Sps dents sont en véloqss ras *t sur d[w bandes ^ r q i t ^ S|,|igne
latérale, sqiï. à peu près la coürbure du ffpè k n’est garnie que. de
petites écailles rondes jusqu&sous le tieyç <5è la deuxième dorsale,
\ . r ou elle dévient! droite, .et-pïend bientôt dés.boucliers. On ne peut
!", gûèr^oepSpmpter plus de yin^hsix, carénés, et aiguillonnés. fiTest
vers leur tiers postérieur qu’ils, sopt le plus larges et le plus saillans,
sans y côuyrir toute, la hauteur du bout ‘de la queue.
D. 8 — 1/2& - I ; A. 2 — 1/24 - ï / c . 17; P. 18; V. 1/6.
Le éos dte de!poisson est d’un plortibé bleuâtre, lies flancs et le
désSÔüs afgéifttë&. Le:dessus du museau, en aVàtit, est téttli de
noirâtre. îl y a une tadhe noire' sur la deuxième dorsale, à la partie
Stfpéfieufe des six premiers ràybxrs? Le rèstê dfes îtagéoirès est
gris (ÿù jaunâtre. On voit atfssi un peu.de iioir à Péchabcrüre de
l’operçuîe.
L’indiyidu de M; Ehrenberg est long de sept pouces. M/ Geoffroy
eû a donitê uù de neuf.
L’espèce se répand aussi dans l’Atlantique, car M. Rang
nous Va envoyée de Cotée.