soprion JtyuQtfâfëlfâjfe. t......
Le MÉsoç-PRiô'ia a DEKTS*jê&Â|i;s.J.ÿ
^(^esSpi^Ôh^B^M^l^riàh. )*
Parmi les derniers -emvois-ifaits • d'e Saint-Domingue par
M. Ricdid/■noksàvons trouve unê^nfetiveliê^è^^^iè de rhé-
soprion,:'voîsine du mesoprion bucbdrtëèla^ ^ J fs ^ ia i’en
dififëfu^,
. par un museau:beaucoup plu%loUg- ce qui" donne ,p lu sse s paee ;au
^ous-orbitaire, qui est effectivement beaucoup plusjiiàut^ çji, ëgtGore
. agrandi parce que t’oeil est- plus petit. Les; cjf ntjs diffèrepitt '^e^eUes
de tous les aufre^s mé§.opi^ons,, en, ce .que la mâchoire supérieure
porte trois fortes .canines, suivies de sëjâe dents coniqueffjïiiéGrois-
santes, ‘sérrëè^ t égüjitrement depuis fe prenlièr'e, qui'-n aÎ!pas da
moitié? d e fa hautelïr ‘des canines; La' mâchoire ittfériëûfè.a1 ünq;
1 preimèieë-fàfi|ie semblables àJcélfês ^h**BliiÈ^^f*qù’eIle
manque de canines* Les dents en velo'ursp|î»n!t,r petites ei,(sui^une
bande lëtr pi te!'-La-hauteur du- corpQ1 égâïe.la lon'gubur' d è fl'lp ë , 'et
u?#§&tdhfehùe que trois" fois£e'tf dèmie dans la fedgùeux4^'ÜôéîKS/La
1 :;^ëtoralë';êSt lariééolée, un peu plu® cburte que là^'téie! IféS’ta ^ n ^
1 u sêpiheux dé la doriialêsdÉilJ'Ôevés-ët dfejgtossêür 'âïédîdcPeiBës’ épines
d'é l’hfijyie-sfèlàrt grossëset peu élevées.' La* caudale es#cê%pée^c#ifétoënt|;
. d. Æ f i L m ^ h r ]
Les réeailles> sont lisses et de médiocre ’ grandeur. J ?en trouve
cinquante Vattigées entre l’ouïe et la caùdîuë. ’*
L’individu desséché,- long de vingp ifet un p'qpcps,q?,a|àîl-
ayoir.eté d’une r-coi^eur uniforme rouge sur'le dosj^quar^
geiîté ou dorp^sops le ypnteè^On ne y oit pas de t?races;
de bandes pu de taches.
T O M E T R O I S I È M E .
Page 76.’ Additionnai cnâpinfé1XX. • •
1 ^ DË, L’A P HR^BfXD È j|E j (A ^ hrevodzrus^ Lesueur).
»q^Sfëlîs'av©ns®éiéi fort long-temrps embarrasses-^ sur la. place
quse*'(à(’dvaif»ébcuper un poisson isimple-m en t/connu par une
é^îaSrteîlieSsoription et un déssiu in^Éfté#5 dans de quatrièmë
pdiïuLiÉë du Jbürn-àl desWèMiî^itfde -Philadelphie, sous dp
'Ü&Wûoi&plïstâUy-anus. Noifj^aV«^is.sfeufeinent eu soin
de faire remarque^^eïbtraitant duugexïre des^/scolo-paides |
que le poisson *#éeaat - par M. Rt-©iljiams ^ebpOiivait appartenir
un genre de la famille desugeiénoïdes / à- cause
dë^^derWs:paldtïn.es;. et nous ceGOnsai-ssipnis alors que ce
poisk)®- devait .être le tgqMfd’un igenrè particulier 5 mais
neÙ'sŸ ne> pouvions en établir’les caractères-^ parce que la
de^lpiion- du naturàBste; américain n’ést pas -assez, dé-
taii'léèV ; I
M. GiH-fefiîs|;p.êvdteicei'singuliér-f ppllson:ida©silesi.étangs;
d’Harro'Wgatë j- endroij' peu éloigiré'rd© Philadelphie^ té-t
1 èbr e pSfy fè l b a in s: que l’om y. væ prend®©, I et qui „’font de
lieu* un. endroit de plaiLsancepCei naturaliste leidonna
comme une nouvelle espèce du genre perça de Linnæusj
niais,.adulant préelser^davantage db ;qm’une pareille ëéfèr-
minatipn -lais^îde'vagubS^iil crut devoir, et! sans:hésitçr.,
<É»mime: il le dit lui-même, en fairé unejespèce.ide notre
genre îscolopsidê j illssétait évidemment mépris sur. les
petiteslépmeâ)du sous-orbitaire pi les:dentelures’ des deux
bords quiqnonl rien; de^semblabl^au(pr(^on^Bment épd
neux du SÔusfODbitaire^désttiScolopsides? Ceux-ci n’ont pas
de!, dnntfe’au pafaii^qcommemous venons de' le dire. Le
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