4 7 4 LIVRE IXV SCOJïI'BÉRQÏBES).
dans l’aisselle de la pectorale, nageoire eoapéeen demi-ovale T
attachée unqigu au-dissousydu milieu de là hauteaq&et qui n’a pas
tôutrà-Êiit4l^|êp!fième del|e||bngueur du qn yiGompte
dix-tsept raÿoiiè, dont *lfe,t>rSsièpie est l^ p lu s long; L’attache des
^ventrales est un peu plus en arriéré que celle des pectoralés. Leur
longueur est d’un cinquième moindre; elles sont très-rapprochées
l’mïfe de Mutre et, pair leur bord interne, adhèrent à l’abdomen et
entre elles, Leur épineTegalè presque leur premier rayon mou- La
. preuiièrendorsale> com meneo vis-à-vis le' milieu de là pectorale, et^
occupe une longueur égale au huitième de celle du poisson. Elle
a non pas sept, mais $éqll$ment huit rayons épineux *èt pointus,
mais si grêles £t si flexibles, q u ^ , peuvent à;peine;;piquerv;||®'-
quatrième,, qui est le n|u s le cinquième dedà hauteur
du corps. Lë dernier est qugjqu^bis presque impérceptible. La
menibiîaneîiqlnrdes^init, :sh|%éle,; qu’cfle^|^^c3ai®et^p moindre
tiraillement. La deuxième dorsale jèomnienç^pur ,ljeibilien dè^la
lo n g u ^ ^ j et-en oc%ipe un peu moins du quart; elle a uneiépine
et vingt-cinq ou vingtTsix rayons licous. Le premier de ceuxiei^est
sans branchés , et d’un peu moins de moitié de la hauteur duemms.
Les autres diminuent gradüelleimeut. Le dèrnier nlaîjpas. le tie^OTe
la hauteur du premie&.tL’.épine. qui précède eeïui?ci,,hr’a qué moine
d^adaautejm L’analelpepond â|ÿoIument à| la; deuxième dorsale
pour la position , pour la forme et' p o ü rl’étenduev’Je lui compte
vingt-sept et vingt-huit rayons mous. En avant de Son épine il y
en a. deux autres. :très-cOui*s, cachés dans là plça-u, et que l’on-me
découvre quavecftde l'attention .et- même en âlaidant jum; pèui du
à scalpel. La caudale est fourchue ' jusqu’aux deux tiers dèi sa1 longueur.,
qui est elle-même ,.cihqtfdi§ et demie dans sa longueur
totale.
Le nombre des écailles»* comptées dé l’ouie à la caudale, est de
plus de qent, et; .il y en a au moins trente raügeës l'owgittminales.
T,a deuxième dorsale et l’anâle. en sont'coqyertes, ainsi que Ses
pièce? operculaires*.la joue et la tempe; mais il n’y en à pqintiau
front, ni au museau, ni aux mâchoires. Elles sont transversalement
ovales, n’ëst-à-di're tçlus hautes que longues,| minces, élàtières,