1 8 6 LIVRE IX. S C 0 MB É RQ'ÉEE'S.
La membrane branchiostège. est assez; large, et soutenue par sept
rayons. Les ouïes sont bien fendues.; La, boucheplsp§t peu. Les deù$
_m â eb o i^ ,§ont légale, longueur,; elîçs’.portent ..qg^jq^s, petites
dents- crochues sqr le bord antérieur d’une bande-de. denjts en
yeloqrsras. Le. chevron du vpmer .^Otes, palatins en Jorft aussi âé
Tort petites. Les épines de la première dorsale s’élèvent au tiers de
la ldngu'êtÉ"totale; 'eflpTsnm très-basses !et rapproèilées, de iSrte
‘ qüe 1b nageoire n!à -de hauteur cjuë' le ^élmènie’âè'-Gëlfe du ctiVps
•sous elle, et dé longueur que le dix-Mbitiêmë*dè la longueur totale
| , duipoissOn.i La seconde dorsale suit-de 'tout 'prèsTfëëtté 'p'Peraièrë
nagedUre épineuse. Sa hauteur égale 1»moitié de îeeüe^duteorps,;
et sa longueur à peu prèsje tiers de celle du,:pdrsson< Jÿa$ialg,>e5,t
: P^u* même forme qjfe,la^àg^da,.dmjsalei.elfe e^t
Précédée^ar deqx5.gmnés. La fea^al^|fourcJbie', a ses, lobes larges
e t arrondis. Le^ ventrales sonriapges -, sans atteindre cependant 'a
l’anus. Lesipêéîoralès sont arrondies.'
B. 1; D. 5^1/25; i f c l6; 18;
Le .corpsF.est çouVërTda tr^-'petkêsi é é ^ ^ j à peine visibles~à
la loupe. Tout'4 lé préopercule en est égalemfetk c&q^é-L .màisJfe
, reste .dç^lâ tete est nu. Ladign'e laterale va de l’^^^^^^m^ieur de
la fente de l’ouïe à la queue’, ê nW m n tu r ^ ^ ^ ^ ^ ^ f f l^ â4t quelques
inflexions; Arrivée sous la ddi|âfê:^ ^ F s’âbfMe: ét^aSsè Æ£
le milieu des cot#s dé la queue ; elle n’est-pasreleviez ët il n’y a
aucune carène en ayant;de la caudale. Le-coipsiest argenté brillant,
un peu plombé sur le dos et traversé $#k$fp,t, bandes bleues
n o ii'lt^ iq u i descendent du dos et>s:’effacentlsdrjle bàs des bahos.
In première ést étroite et .passe sür la tête et lé bord du préeper-
.. .nule. La seconde, fest à la hauteur de l’épaule. La troisième chlore
la petiteidorsale, épineuse. Les trois- rsuivantës"formenfc des?,taches
4'MQiràtres sur la dorsale. La cinquième et la sixième reparaissent
sur lanale. et y forment deux taches noires ,; semblables aus trois
d e là dorsale. La ©àudalé .offre deux petites taches ârrqndiés;, peu
marquées sur 'l’extrgpité de chacun de ses lobes. Le fond de ces
nageoires : est ; jaunâtre. Les ventrales so n t. presque entièrement
CttAP. XVII.; N’AlTCL É R ES. \ 8 7
s;.(noires.’ Les*,pectorales- n’ont ^aucunes taches, et leur couleur est
. iiipàlei ;
, Çesjpoissonis ©|i|de nombreux cæcums!fort courts, le foie petit,
et une; vessie aérienne médioçre. >ƒ;
Telfg; est fa description de notre* J)femiereTespace, qui
â'teté prise dans la mer ""des ÿToluqbes par MM. Quoy et
Gâtiïnlrd l pendant leur! navigation! -avec^M. d’Urvilie.
.1m individus n’ônt qu’un’!pôuçel neuf lignes.
Le NÀIICLÈKE’'RACCOURCIR -
c^uMauGleruSi abreviqtüs, nob.)
est uÉeë seteôndeuesp
qui’ a le corps!iiibinS' comprimé, sans qu’il soir cependant ârrondi.
Ib paraît a-ù&si- plus! trapu/* Les épines^ de l’angle du préopërcule
soht plais, petites. Les dents paraissent un peu plus fortes. Les épines
de la dorsafejplus faibles. La ligne latérale plus droite. Les bandes
plus» .étroites,,
'• ' î)."4 -r l/25fA. aHr^ls; e^T
D’ailleurs,, il ressemble beaucoup au précédent; mais il est facile
à distinguer parce qu’ij jà une épine de moins a la dorsale.
1 La taille de nos individus vàriè^â’un p o u l e t demi à
deux pouces!. Péron en , avài’t déjà Rapporté depuis' long-
teihp's‘| lorsque re^p’écb'fut retrouvée* dans l’Atlantique par
les memes voyageurs qui nous ont procuré la précédente.
L e NauClèRe a ép'jnes courtes.; ,
(NaucleYus hrachycentrüs, nob.)
Cette troisième espèce a des caractères, plus précis que
la seconde.